Des présumés terroristes islamistes détenus à Nouakchott a proposé samedi un dialogue avec le gouvernement mauritanien. Dans des courriers adressés aux médias, ces détenus ont demandé au gouvernement d’ouvrir un dialogue pour mette fin à ce qu’ils ont appelé "la crise existante entre eux et le pouvoir".
Dans ces lettres, les activistes salafistes Haroun Ould Habib, Alioune Ould Mohamed Ghoulam et Abdellahi Ould Mohamed Sidiya Ould Bouh, ont affirmé qu’ils "emboîtent le pas aux oulémas (érudits musulmans) qui rejettent catégoriquement la violence destructrice avec tous les maux qu’elle infligent à la société".
Ils expliquent que le salafisme n’est pas synonyme de violence, soulignant toutes les violences enregistrées ces dernières années en Mauritanie, ont eu lieu après leur détention.
Le 12 novembre courant, 25 sur 60 détenus présumés terroristes de la prison centrale de Nouakchott avaient affirmé dans une lettre qu’ils étaient "contre toute activité ou organisation qui peut constituer une menace pour la paix dans en Mauritanie".
Ils avaient en même temps précisé qu’ils "ne sont affiliés à aucune organisation à l’intérieur ou à l’extérieur du pays", avant de souligner leur attachement à l’intégrité et à la sécurité de leur pays.
Les autorités de Nouakchott avaient affirmé pour leur part leur disponibilité au dialogue avec les détenus islamistes pour consolider la solution sécuritaire, qui n’a pas encore donné de résultats probants dans le domaine de la lutte contre le terrorisme en Mauritanie.
Source : Afriscoop
Dans ces lettres, les activistes salafistes Haroun Ould Habib, Alioune Ould Mohamed Ghoulam et Abdellahi Ould Mohamed Sidiya Ould Bouh, ont affirmé qu’ils "emboîtent le pas aux oulémas (érudits musulmans) qui rejettent catégoriquement la violence destructrice avec tous les maux qu’elle infligent à la société".
Ils expliquent que le salafisme n’est pas synonyme de violence, soulignant toutes les violences enregistrées ces dernières années en Mauritanie, ont eu lieu après leur détention.
Le 12 novembre courant, 25 sur 60 détenus présumés terroristes de la prison centrale de Nouakchott avaient affirmé dans une lettre qu’ils étaient "contre toute activité ou organisation qui peut constituer une menace pour la paix dans en Mauritanie".
Ils avaient en même temps précisé qu’ils "ne sont affiliés à aucune organisation à l’intérieur ou à l’extérieur du pays", avant de souligner leur attachement à l’intégrité et à la sécurité de leur pays.
Les autorités de Nouakchott avaient affirmé pour leur part leur disponibilité au dialogue avec les détenus islamistes pour consolider la solution sécuritaire, qui n’a pas encore donné de résultats probants dans le domaine de la lutte contre le terrorisme en Mauritanie.
Source : Afriscoop
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