Tout le monde savait que le président de la République n’est pas content de certains ministres de l’actuel gouvernement et il n’a pas mâché ses mots pour le leur dire lors de la dernière session du conseil des ministres où le Rais aurait tapé fortement sur la table. On apprend également aussi que Ould Abdel Aziz a le même sentiment envers certains membres de son Cabinet (Dircab, Chargés de mission et Conseillers).
A l’exception d’un ou de deux, tous les autres auraient profondément déçu le chef de l’Etat qui envisagerait fortement l’option de leur mise à l’écart. Des indiscrétions indiquent que Ould abdel Aziz compte virer ce beau monde dès qu’il aurait fini de régler leurs comptes à certains ministres qui sont incapables de donner forme au projet de société pour lequel il a été élu.
L’on se rappelle qu’au cours d’une interview accordée récemment à l’hebdomadaire Jeune Afrique, le Rais avait dit qu’il était lui-même obligé de tout contrôler. Une manière de dire que ses proches collaborateurs ne jouent pas pleinement leur rôle comme il se doit.
Nombreux sont ceux qui ne comprennent pas les critères sur lesquels le chef de l’état avait choisi ses conseillers et son DIRCAB. Ils sont impopulaires, sans base électorales et pour leur majorité avaient collaboré avec le régime contre lequel Ould Abdel Aziz avait lancé le mouvement de la rectification. Le rôle du cabinet et ses conseillers semble se limiter à éloigner le président de sa majorité surtout les élus et les intellectuels qui ont une réelle base électorale.
Le chef de l’état se débarrassera les jours à venir de son entourage duquel il ne semble pas satisfait du tout et dont certains ne rentrent plus dans ses bureaux.
Source: http://www.leveridique
A l’exception d’un ou de deux, tous les autres auraient profondément déçu le chef de l’Etat qui envisagerait fortement l’option de leur mise à l’écart. Des indiscrétions indiquent que Ould abdel Aziz compte virer ce beau monde dès qu’il aurait fini de régler leurs comptes à certains ministres qui sont incapables de donner forme au projet de société pour lequel il a été élu.
L’on se rappelle qu’au cours d’une interview accordée récemment à l’hebdomadaire Jeune Afrique, le Rais avait dit qu’il était lui-même obligé de tout contrôler. Une manière de dire que ses proches collaborateurs ne jouent pas pleinement leur rôle comme il se doit.
Nombreux sont ceux qui ne comprennent pas les critères sur lesquels le chef de l’état avait choisi ses conseillers et son DIRCAB. Ils sont impopulaires, sans base électorales et pour leur majorité avaient collaboré avec le régime contre lequel Ould Abdel Aziz avait lancé le mouvement de la rectification. Le rôle du cabinet et ses conseillers semble se limiter à éloigner le président de sa majorité surtout les élus et les intellectuels qui ont une réelle base électorale.
Le chef de l’état se débarrassera les jours à venir de son entourage duquel il ne semble pas satisfait du tout et dont certains ne rentrent plus dans ses bureaux.
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