La pratique de l’esclavage chez les Négro-mauritaniens peut s’observer, au moins, sous deux formes : par tradition et par abus de faiblesse. L’esclavage chez les Négro-mauritaniens est malheureusement un contrepoids à l’esclavagisme maure. Les maures trouvent là un argument pour perpétrer l’esclavage sur l’ensemble des Négro-mauritaniens puisque, d’après eux, toutes les composantes négro-mauritaniennes comportent une couche d’esclaves. Nous pouvons lire à ce sujet, sous la signature de Mohamed Saleck Beheit :
« Ne voulant pas m'étaler sur l'impact de ce phénomène (d’esclavage) dans la société Soninké où, par exemple, les esclaves, forgerons et griots ne sont pas inhumés dans le cimetière des nobles. »
Bousculés et terrorisés par la montée en puissance de la conscience de domination parmi les Négro-mauritaniens, chaque fois qu’un pseudo-intellectuel maure prend la plume, c’est pour dire que l’esclavage n’est pas l’apanage des maures, mais un phénomène traditionnel dont les Noirs de Mauritanie ne sont pas moins responsables. Mais c’est sans pousser la logique jusqu’à son terme, même pas à quelque longueur d’analyse, puisqu’ils ne sauront pas répondre, et notamment ne veulent pas répondre du couperet suspendu sur la tête de quelconque Noir en Mauritanie qui prendrait l’Initiative de la liberté d’expression pour poser la question de la domination raciale sous forme d’esclavage par le monopole de l’Etat par les maures qui bénissent ou maudissent les Noirs selon leur collaboration à l’infamie maure ou non !
Le vent en poupe de la révolution étant imparable quand le peuple fait sienne la lutte sans autre référence que sa misère. Pour cette raison, de plus en plus de menteurs maures sortent de leur trou pour amarrer l’esclavagisme maure à ce qu’ils appellent « esclavage » chez les Noirs. Ils l’appréhendent comme dimension intrinsèque et semblable à l’esclavagisme maure en tant que système de valeur et de pratique politique et sociale. Quelqu’autre analyste dira qu’au niveau du pouvoir, donc foncièrement politique, Noirs et blancs sont aussi esclavagistes. Ecoutez donc monsieur Tawfik Mansour qui estime à une douzaine de milliers les Noirs et Blancs qui détiendraient le pouvoir dans l’asservissement du reste du peuple :
« Blancs et noirs confondus, qui détiennent la quasi-totalité des pouvoirs, combien continuent d’entretenir, chez eux et dans leurs responsabilités sociales, des situations de servitude, sur le modèle traditionnel ou selon des versions plus modernes? »
Nous reviendrons bientôt sur son cas puisqu’il va jusqu’à comparer l’esclavage moderne en France avec l’esclavage maure en Mauritanie : avec des indices de criminalité et de gravité qui s’approchent.
L’imposture intellectuelle maure veut faire passer le phénomène esclavagiste pour un corolaire de la hiérarchisation de la société noire. Ils sont aidés par la facilité avec laquelle les maures corrompent des Noirs qui se prennent pour des Seigneurs en se disant des militants des droits de l’homme en lieu et place de leur basse œuvre d’agent secret au service des maures qui mettent en péril la lutte d’émancipation de leurs frères. Sinon comment expliquer que pendant que coulait encore le sang des Noirs, monsieur Soumaré Abdoul Aziz ferait ses entrées et sorties chez l’ambassadeur de Taya, Sidina Sokhna. Et qu’il a suffi des ébrouements de deux à trois maures pour faire sauter en deux éclats l’OCVIDH et l’AVOMM. Paradoxalement, certains de ces derniers vendus veulent faire accroire qu’ils sont en train de traquer Taya ! Qu’est-ce qu’on doit donc comprendre ?
Fall Moctar
« Ne voulant pas m'étaler sur l'impact de ce phénomène (d’esclavage) dans la société Soninké où, par exemple, les esclaves, forgerons et griots ne sont pas inhumés dans le cimetière des nobles. »
Bousculés et terrorisés par la montée en puissance de la conscience de domination parmi les Négro-mauritaniens, chaque fois qu’un pseudo-intellectuel maure prend la plume, c’est pour dire que l’esclavage n’est pas l’apanage des maures, mais un phénomène traditionnel dont les Noirs de Mauritanie ne sont pas moins responsables. Mais c’est sans pousser la logique jusqu’à son terme, même pas à quelque longueur d’analyse, puisqu’ils ne sauront pas répondre, et notamment ne veulent pas répondre du couperet suspendu sur la tête de quelconque Noir en Mauritanie qui prendrait l’Initiative de la liberté d’expression pour poser la question de la domination raciale sous forme d’esclavage par le monopole de l’Etat par les maures qui bénissent ou maudissent les Noirs selon leur collaboration à l’infamie maure ou non !
Le vent en poupe de la révolution étant imparable quand le peuple fait sienne la lutte sans autre référence que sa misère. Pour cette raison, de plus en plus de menteurs maures sortent de leur trou pour amarrer l’esclavagisme maure à ce qu’ils appellent « esclavage » chez les Noirs. Ils l’appréhendent comme dimension intrinsèque et semblable à l’esclavagisme maure en tant que système de valeur et de pratique politique et sociale. Quelqu’autre analyste dira qu’au niveau du pouvoir, donc foncièrement politique, Noirs et blancs sont aussi esclavagistes. Ecoutez donc monsieur Tawfik Mansour qui estime à une douzaine de milliers les Noirs et Blancs qui détiendraient le pouvoir dans l’asservissement du reste du peuple :
« Blancs et noirs confondus, qui détiennent la quasi-totalité des pouvoirs, combien continuent d’entretenir, chez eux et dans leurs responsabilités sociales, des situations de servitude, sur le modèle traditionnel ou selon des versions plus modernes? »
Nous reviendrons bientôt sur son cas puisqu’il va jusqu’à comparer l’esclavage moderne en France avec l’esclavage maure en Mauritanie : avec des indices de criminalité et de gravité qui s’approchent.
L’imposture intellectuelle maure veut faire passer le phénomène esclavagiste pour un corolaire de la hiérarchisation de la société noire. Ils sont aidés par la facilité avec laquelle les maures corrompent des Noirs qui se prennent pour des Seigneurs en se disant des militants des droits de l’homme en lieu et place de leur basse œuvre d’agent secret au service des maures qui mettent en péril la lutte d’émancipation de leurs frères. Sinon comment expliquer que pendant que coulait encore le sang des Noirs, monsieur Soumaré Abdoul Aziz ferait ses entrées et sorties chez l’ambassadeur de Taya, Sidina Sokhna. Et qu’il a suffi des ébrouements de deux à trois maures pour faire sauter en deux éclats l’OCVIDH et l’AVOMM. Paradoxalement, certains de ces derniers vendus veulent faire accroire qu’ils sont en train de traquer Taya ! Qu’est-ce qu’on doit donc comprendre ?
Fall Moctar
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