La Diaspora mauritanienne en France, toutes tendances confondues, a tenu à rendre le dernier Hommage posthume au grand défenseur des Droits Humains qu’était DIA Ousmane Samba et combattant infatigable des causes nobles, décédé le 20 mars 2010 à la maison de repos de Ris Orangis.
Lors de cette cérémonie, qui se voulait surtout religieuse, tenue dans l’enceinte de la Bourse du Travail de Massy Palaiseau, une lecture du Coran à la mémoire de notre illustre disparu a été organisée et dirigée par Thierno BA Ousmane Mamadou et Thierno LY Elimane. Cette cérémonie ayant débuté aux environs de 14 heures trente a pris fin vers 16 heures trente.
Ensuite vient le moment des témoignages, chants religieux et poèmes pour honorer la mémoire de notre regretté frère Dia Ousmane Samba.
Ensuite vient le moment des témoignages, chants religieux et poèmes pour honorer la mémoire de notre regretté frère Dia Ousmane Samba.
M. BA Cheikh Oumar, dira dans son témoignage qu’il a connu Ousmane DIA en 1997 et qu’il a tissé une amitié solide avec lui jusqu’au jour de sa disparition et que d’ailleurs il faisait parti de ceux qui ont procédé à son lavage mortuaire.
Madame TOUMBOU Diariétou a tenu à rendre hommage à un homme qui, malgré les difficultés physiques, a refusé de s’avouer vaincu par la maladie. Jusqu’au bout, dira-t-elle, Ousmane Samba DIA n’a pas failli au combat qui était sien.
M. BABA Ould Jiddou a rendu un témoignage sincère allant jusqu’à dire que le combat de Ousmane n’avait pas d’a priori, il ne disait pas que tel ou tel était Harratin, pulaar, wolof ou soninké. M. BABA Ould Jiddou a exhorté tous les mauritaniens à suivre l’exemple de Ousmane DIA afin que naisse une Mauritanie plus égalitaire plus juste et soucieuse du devenir de ses enfants sans exclusive.
M.DIAGANA Mamadou Youssouf dit Ibnou a lu devant l’assistance la lettre témoignage de la FIDH à l’endroit de notre illustre disparu.
M.GANGUE Mamadou, chargé des relations extérieures de la CAMME a rendu hommage à un ami, un frère un homme de cœur et de conviction pour une Mauritanie plus juste.
M. SARR Abou de l’AVOMM, compagnon d’arme, a tenu à rappeler les bons souvenirs de DIA Ousmane Samba qui resteront gravés à jamais dans sa mémoire. Il a fait une demande solennelle devant l’assistance pour que cessent les querelles stériles entre les différentes tendances (partis politiques, associations etc.) afin que nos forces soient unies pour combattre l’injustice dans notre pays.
M. Mohamed Yahya Ould Ciré, président de l’association A.H.M.E, a tenu à faire entendre sa voix par la délégation qui le représentait à la cérémonie d’hommage. Selon ses délégués, M. Mohamed Yahya Ould Ciré tient à rendre hommage à celui qui fut un des meilleurs défenseurs des Droits Humains qu’était DIA Ousmane Samba. Il s’excuse de n’avoir pas pu assister à la cérémonie pour des raisons médicales.
M. LÔ Gourmo, n'ayant pas pu assister à la cérémonie, a tenu à rendre hommage à Ousmane Samba DIA.
M.DIAGANA Abdoulaye a d’abord loué le calme de Ousmane Samba DIA qu’il a connu au tout début de la création de l’OCVIDH.
M. DIAGANA Abdoulaye dira même que Ousmane DIA sortait du cadre même d’un militaire tellement son calme était frappant. Il dira que Massy est devenue un ville des Droits de l’Homme grâce à Ousmane DIA du fait des liens forts qu’il a tissés avec l’administration locale et d’ajouter que si les murs de la salle pouvaient parler, ils auront déclaré qu’une personne manque à l’assistance, et cette personne c’est DIA Ousmane.
Madame MBOW Houraye, ressortissante de Lexeiba, dira qu’elle est en France depuis 1984 périodes où on comptait, à peine, les femmes de Lexeiba au bout des doigts. Elle dira que c’est grâce à Ousmane DIA que l’association des femmes de Lexeiba a vu le jour. « Ousmane dira-t-elle nous a convoquées pour nous demander si on avait une association. On lui répond que non. Il nous dit DIEU a fait que vous êtes nombreuses maintenant, créez une association où vous ferez des cotisations et vous vous inviterez ; ainsi vos enfants vont se connaître et ça vous fera un grand bien. Et l’association fut créée, grâce à Ousmane » et comme pour renforcer ce que venait de dire madame MBOW Houraye, M. Mamadou Saidou WONE, secrétaire général de l’association de Lexeiba, abondera dans le même sens.
Et pour la clôture de la cérémonie, M. DIA Cheikh Tidiane a prononcé le DOU’Ä dédié aux morts.
La cérémonie a été levée à 18 heures quarante cinq.
Le bureau exécutif de l’ocvidh, ses adhérents et l’ensemble de la diaspora prient le Maître incontesté des Cieux de concéder une place de choix à notre illustre disparu tout en lui accordant sa Clémence.
Fasse Dieu que le combat pour une Mauritanie juste et égalitaire pour lequel il est mort ne soit pas vain, Ämine.
Madame TOUMBOU Diariétou a tenu à rendre hommage à un homme qui, malgré les difficultés physiques, a refusé de s’avouer vaincu par la maladie. Jusqu’au bout, dira-t-elle, Ousmane Samba DIA n’a pas failli au combat qui était sien.
M. BABA Ould Jiddou a rendu un témoignage sincère allant jusqu’à dire que le combat de Ousmane n’avait pas d’a priori, il ne disait pas que tel ou tel était Harratin, pulaar, wolof ou soninké. M. BABA Ould Jiddou a exhorté tous les mauritaniens à suivre l’exemple de Ousmane DIA afin que naisse une Mauritanie plus égalitaire plus juste et soucieuse du devenir de ses enfants sans exclusive.
M.DIAGANA Mamadou Youssouf dit Ibnou a lu devant l’assistance la lettre témoignage de la FIDH à l’endroit de notre illustre disparu.
M.GANGUE Mamadou, chargé des relations extérieures de la CAMME a rendu hommage à un ami, un frère un homme de cœur et de conviction pour une Mauritanie plus juste.
M. SARR Abou de l’AVOMM, compagnon d’arme, a tenu à rappeler les bons souvenirs de DIA Ousmane Samba qui resteront gravés à jamais dans sa mémoire. Il a fait une demande solennelle devant l’assistance pour que cessent les querelles stériles entre les différentes tendances (partis politiques, associations etc.) afin que nos forces soient unies pour combattre l’injustice dans notre pays.
M. Mohamed Yahya Ould Ciré, président de l’association A.H.M.E, a tenu à faire entendre sa voix par la délégation qui le représentait à la cérémonie d’hommage. Selon ses délégués, M. Mohamed Yahya Ould Ciré tient à rendre hommage à celui qui fut un des meilleurs défenseurs des Droits Humains qu’était DIA Ousmane Samba. Il s’excuse de n’avoir pas pu assister à la cérémonie pour des raisons médicales.
M. LÔ Gourmo, n'ayant pas pu assister à la cérémonie, a tenu à rendre hommage à Ousmane Samba DIA.
M.DIAGANA Abdoulaye a d’abord loué le calme de Ousmane Samba DIA qu’il a connu au tout début de la création de l’OCVIDH.
M. DIAGANA Abdoulaye dira même que Ousmane DIA sortait du cadre même d’un militaire tellement son calme était frappant. Il dira que Massy est devenue un ville des Droits de l’Homme grâce à Ousmane DIA du fait des liens forts qu’il a tissés avec l’administration locale et d’ajouter que si les murs de la salle pouvaient parler, ils auront déclaré qu’une personne manque à l’assistance, et cette personne c’est DIA Ousmane.
Madame MBOW Houraye, ressortissante de Lexeiba, dira qu’elle est en France depuis 1984 périodes où on comptait, à peine, les femmes de Lexeiba au bout des doigts. Elle dira que c’est grâce à Ousmane DIA que l’association des femmes de Lexeiba a vu le jour. « Ousmane dira-t-elle nous a convoquées pour nous demander si on avait une association. On lui répond que non. Il nous dit DIEU a fait que vous êtes nombreuses maintenant, créez une association où vous ferez des cotisations et vous vous inviterez ; ainsi vos enfants vont se connaître et ça vous fera un grand bien. Et l’association fut créée, grâce à Ousmane » et comme pour renforcer ce que venait de dire madame MBOW Houraye, M. Mamadou Saidou WONE, secrétaire général de l’association de Lexeiba, abondera dans le même sens.
Et pour la clôture de la cérémonie, M. DIA Cheikh Tidiane a prononcé le DOU’Ä dédié aux morts.
La cérémonie a été levée à 18 heures quarante cinq.
Le bureau exécutif de l’ocvidh, ses adhérents et l’ensemble de la diaspora prient le Maître incontesté des Cieux de concéder une place de choix à notre illustre disparu tout en lui accordant sa Clémence.
Fasse Dieu que le combat pour une Mauritanie juste et égalitaire pour lequel il est mort ne soit pas vain, Ämine.
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