Lutter contre le terrorisme ce n’est pas seulement lutter contre les djihadistes à nos frontières en laissant à l’intérieur s’installer un discours sympathisant qu'on entend à plein régime sortant des téléphones du petit peuple dans les boutiques, au marché le long des rues jusque chez les petits vendeurs de cigarettes et de cartes téléphoniques, c’est aussi lutter à l’intérieur de nos frontières contre tout ce qui sème la terreur dans la vie du citoyen lambda.
Aller à l’hôpital national donne froid dans le dos, inscrire ses enfants à l’école publique donne des sueurs froides, penser à l’avenir politique, économique et social désespère, vivre à Nouakchott au quotidien c’est déprimant au premier vent de sable ou dès qu’il pleut, voilà que marcher pour se balader ou rentrer chez soi devient dangereux.
La plupart des victimes s’en remettent avec quelques contusions, d’autres plus à plaindre sont dans le coma ou en meurent sur-le-champ sans que personne ne parle de cette terreur semée par-ci par-là tous les soirs en toute impunité par des bandes de jeunes désoeuvrés nés pourtant à l’abri du besoin.
Frapper pour le plaisir, culture de l’impunité…
Source: www.chezvlane.com
Aller à l’hôpital national donne froid dans le dos, inscrire ses enfants à l’école publique donne des sueurs froides, penser à l’avenir politique, économique et social désespère, vivre à Nouakchott au quotidien c’est déprimant au premier vent de sable ou dès qu’il pleut, voilà que marcher pour se balader ou rentrer chez soi devient dangereux.
La plupart des victimes s’en remettent avec quelques contusions, d’autres plus à plaindre sont dans le coma ou en meurent sur-le-champ sans que personne ne parle de cette terreur semée par-ci par-là tous les soirs en toute impunité par des bandes de jeunes désoeuvrés nés pourtant à l’abri du besoin.
Frapper pour le plaisir, culture de l’impunité…
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