Selon des documents divulgués par Wikileaks, le sénateur de Mbout Youssouf Sylla, fervent opposant au coup d’Etat contre Sidi Ould Cheikh Abdellahi, aurait sollicité l’ambassade d’Israël à l’époque pour l’aider à évincer Mohamed Ould Abdel Aziz, auteur du putsch.
D’après le site libanais source du site al akhbar , le sénateur aurait entrepris plusieurs démarches auprès de l’ambassade des Etats Unis d’Amérique pour les dissuader de soutenir Ould Abdel Aziz et pour aider un front dont il se serait autoproclamé chef, à démettre le général de ses fonctions de chef de l’Etat. Dans la même perspective, il se serait rendu en France, en Espagne et au Portugal.
D’après cette note confidentielle, émanant du chargé d’affaires à l’ambassade des Etats unis, en date du 9 avril 2009, Youssouf Sylla aurait suggéré la destitution de Mohamed Ould Abdel Aziz pendant la période de la campagne électorale où il serait sensé se déplacer sans la garde présidentielle.
Selon la même note, Youssouf Sylla aurait souhaité une rencontre avec l’ambassade d’Israël à Nouakchott pour soutenir son front. D’après lui, cinq véhicules tout terrain, quelques armes de type kalachnikov, une arme lourde et une cinquantaine d’hommes suffiraient à destituer Mohamed Ould Abdel Aziz et faire revenir Sidi Ould Cheikh Abdellahi, précisant que les généraux Ould Ghazouani et Ould Hadi prendraient la fuite aux premiers coups de feu.
Selon une autre note confidentielle de l’ambassadeur des Etats unis, Youssouf Sylla qui se serait présenté comme étant le chef du groupe aurait pris contacts avec des groupes maliens, sans les nommer pour aider son front dans l’attaque armée qu’il aurait envisagée sur Nouakchott pour destituer Mohamed Ould Abdel Aziz.
Comme il aurait annoncé vouloir se rendre en Algérie pour obtenir une aide militaire et financière. Il aurait aussi pris contact avec des membres du Flam au Sénégal dont il serait moins confiant de part la position du Président Wade par rapport à la crise politique en Mauritanie à l’époque. En réponse à cette proposition, l’ambassadeur aurait fait savoir au sénateur que les Etats Unis d’Amérique ne cautionnent pas un changement issu d’une guerre civile.
On retiendra par ailleurs que le soutien de Youssouf Sylla à ce même Président, Mohamed Ould Abdel Aziz après sa victoire à la présidentielle, avait fait la une !
source!leveridique.info
D’après le site libanais source du site al akhbar , le sénateur aurait entrepris plusieurs démarches auprès de l’ambassade des Etats Unis d’Amérique pour les dissuader de soutenir Ould Abdel Aziz et pour aider un front dont il se serait autoproclamé chef, à démettre le général de ses fonctions de chef de l’Etat. Dans la même perspective, il se serait rendu en France, en Espagne et au Portugal.
D’après cette note confidentielle, émanant du chargé d’affaires à l’ambassade des Etats unis, en date du 9 avril 2009, Youssouf Sylla aurait suggéré la destitution de Mohamed Ould Abdel Aziz pendant la période de la campagne électorale où il serait sensé se déplacer sans la garde présidentielle.
Selon la même note, Youssouf Sylla aurait souhaité une rencontre avec l’ambassade d’Israël à Nouakchott pour soutenir son front. D’après lui, cinq véhicules tout terrain, quelques armes de type kalachnikov, une arme lourde et une cinquantaine d’hommes suffiraient à destituer Mohamed Ould Abdel Aziz et faire revenir Sidi Ould Cheikh Abdellahi, précisant que les généraux Ould Ghazouani et Ould Hadi prendraient la fuite aux premiers coups de feu.
Selon une autre note confidentielle de l’ambassadeur des Etats unis, Youssouf Sylla qui se serait présenté comme étant le chef du groupe aurait pris contacts avec des groupes maliens, sans les nommer pour aider son front dans l’attaque armée qu’il aurait envisagée sur Nouakchott pour destituer Mohamed Ould Abdel Aziz.
Comme il aurait annoncé vouloir se rendre en Algérie pour obtenir une aide militaire et financière. Il aurait aussi pris contact avec des membres du Flam au Sénégal dont il serait moins confiant de part la position du Président Wade par rapport à la crise politique en Mauritanie à l’époque. En réponse à cette proposition, l’ambassadeur aurait fait savoir au sénateur que les Etats Unis d’Amérique ne cautionnent pas un changement issu d’une guerre civile.
On retiendra par ailleurs que le soutien de Youssouf Sylla à ce même Président, Mohamed Ould Abdel Aziz après sa victoire à la présidentielle, avait fait la une !
source!leveridique.info
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