La question des réfugiés venant de la région du Sahel en Afrique vers la wilaya du Hodh Charghi est devenue une menace pour la sécurité nationale en raison du grand nombre de personnes déplacées, a déclaré un haut responsable de la gendarmerie mauritanienne, ajoutant que la situation nécessite une pause sérieuse et un suivi attentif.
Les remarques du colonel Ismaïl Ould El Atigh ont été faites lors d’un séminaire organisé par le Centre d’expertise et de conseil du Sahel dans la capitale Nouakchott sur les défis de la migration et du déplacement vers la Mauritanie et ses implications pour la sécurité nationale, à la lumière de l’escalade du terrorisme et de l’instabilité dans les pays voisins.
La wilaya du Hodh Charghi, frontalière du Mali, abrite le camp de réfugiés d’Ambré, le plus grand du genre dans la région du Sahel, a indiqué M. Ould Atigh.
La wilaya, qui comprend 37 municipalités et 2 600 communautés rurales, compte 100 000 citoyens mauritaniens et 300 000 réfugiés, dont 120 000 dans le seul camp de Mberra.
Source : Madar
Les remarques du colonel Ismaïl Ould El Atigh ont été faites lors d’un séminaire organisé par le Centre d’expertise et de conseil du Sahel dans la capitale Nouakchott sur les défis de la migration et du déplacement vers la Mauritanie et ses implications pour la sécurité nationale, à la lumière de l’escalade du terrorisme et de l’instabilité dans les pays voisins.
La wilaya du Hodh Charghi, frontalière du Mali, abrite le camp de réfugiés d’Ambré, le plus grand du genre dans la région du Sahel, a indiqué M. Ould Atigh.
La wilaya, qui comprend 37 municipalités et 2 600 communautés rurales, compte 100 000 citoyens mauritaniens et 300 000 réfugiés, dont 120 000 dans le seul camp de Mberra.
Source : Madar
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