L’Ami d’Origine Contrôlé était l’ami d’Aziz, bien avant tout, c’est-à-dire du temps de l’essentiel : Aziz était alors chef du Basep c’est tout. A cette époque, Taya était parti, Ely faisait ses petites affaires pendant la transition croyant être le plus fin de la place sans savoir qu’il avait pris de l’âge et que juste à côté un certain Aziz s’apprêtait à donner au maître, une leçon de stratégie militaire sans parler juste après d’une leçon de politique nationale et internationale.
Toujours est-il que pendant tout ce temps, A.O.C en bon journaliste très introduit partout jusqu’aux casernes, faisait régulièrement son footing avec maître Aziz qui courait jadis au stade le plus simplement du monde jusqu’au jour où sa voiture a été visitée pendant ce temps, emportant un ordinateur portable des plus savants…
Peu importe… maître A.O.C, à défaut de marcher au pas à côté de l’ami Aziz, courait à ses côtés en bonne intelligence. L’idylle prometteuse courait son plein jusqu’au jour où Aziz quitta la piste de course pour s’envoler au royaume des gens d’en haut. Là maître A.O.C sachant courir mais pas voler de ces ailes-là dans l’espace des pégases du Basep, maître A.O.C rêva sur terre de ne rien perdre de l’ami s'élevant.
C’était compter sans les terribles lois du pouvoir en nos cieux où plus vous montez en grade jusqu’au général moins vous n’avez le temps de cultiver votre jardin amical, estimant qu’il peut végéter à sa guise car rien n’est plus pur qu’un jardin sauvage !
Maître A.O.C, esthète de son état, habitué aux palais de Dakar à Tunis, ne l’entendit pas de cette oreille et décida en bon journaliste de faire tâter de la plume son ami du stade, histoire de lui dire « éwa, si tu renies notre amitié, ma plume honorera ce point en toute amitié ! ». Depuis maître A.O.C qui n’écrivait plus d’édito depuis une époque n’ayant plus le temps d’écrire à force d’être en tournée journalistique dans la sous-région sans trop qu’on sache pour quel butin intellectuel, maître A.O.C devint soudain un opposant terrible à la prolixe plume sans pitié !
On l’imagine écrivant en se disant « doe chov l’ac » en pensant châtier de la sorte son ami perdu de vue. Que d’articles formidables ! Que de touches ! Tout l’attirail et l’arsenal du général A.O.C y passa ! On a tout lu et tout vu ! Que de magnifiques piques acérées bien lancées avec un art consommé du tir à la cible ! Que de roquettes en Le et La ! Waouh ! On allait voir ce qu’on allait voir et on a vu ce qu’on devait voir !
Ne manquait plus que la reddition de la victime car quiconque reçoit pareille charge venant d’un tel ténor de la plume ne peut que demander grâce… en faisant le nécessaire pour entretenir comme il se doit pareille amitié…
Hélas pour maître A.O.C, Aziz n’a rien ni du politique désarmé qui craint les charges verbeuses ni de l’ennemi de la liberté d’expression. Bien au contraire ! On dirait qu’Aziz se régale de voir toutes ces armées de papier l’attaquer avec tout l’exercice de leur talent et tout le métier de leur bonne foi.
« Faire et laisser dire » semble la seule devise d’Aziz.
Devise face à laquelle, c’est l’assiégeant qui finit par demander grâce ! C’est la seule leçon des épisodes successifs d’Aziz et les plumes. Sauf que maître A.O.C est trop engagé pour s’avouer dépité, ruiné dans une guerre où les artifices explosent comme des pétards mouillés, alors maître A.O.C, le général du Le, continue sa guerre contre Aziz pour l’honneur en espérant que l’ami de jadis saura voir que son ami ne le hait point mais qu’il se doit de marquer sa dignité froissée par une distance incompréhensible !
Malgré cet exemple éloquent, voici que Hanane menace Aziz de quitter la majorité présidentielle pour rejoindre l’opposition…
Had mayeu smae mat ev’ou…
chezvlane
Toujours est-il que pendant tout ce temps, A.O.C en bon journaliste très introduit partout jusqu’aux casernes, faisait régulièrement son footing avec maître Aziz qui courait jadis au stade le plus simplement du monde jusqu’au jour où sa voiture a été visitée pendant ce temps, emportant un ordinateur portable des plus savants…
Peu importe… maître A.O.C, à défaut de marcher au pas à côté de l’ami Aziz, courait à ses côtés en bonne intelligence. L’idylle prometteuse courait son plein jusqu’au jour où Aziz quitta la piste de course pour s’envoler au royaume des gens d’en haut. Là maître A.O.C sachant courir mais pas voler de ces ailes-là dans l’espace des pégases du Basep, maître A.O.C rêva sur terre de ne rien perdre de l’ami s'élevant.
C’était compter sans les terribles lois du pouvoir en nos cieux où plus vous montez en grade jusqu’au général moins vous n’avez le temps de cultiver votre jardin amical, estimant qu’il peut végéter à sa guise car rien n’est plus pur qu’un jardin sauvage !
Maître A.O.C, esthète de son état, habitué aux palais de Dakar à Tunis, ne l’entendit pas de cette oreille et décida en bon journaliste de faire tâter de la plume son ami du stade, histoire de lui dire « éwa, si tu renies notre amitié, ma plume honorera ce point en toute amitié ! ». Depuis maître A.O.C qui n’écrivait plus d’édito depuis une époque n’ayant plus le temps d’écrire à force d’être en tournée journalistique dans la sous-région sans trop qu’on sache pour quel butin intellectuel, maître A.O.C devint soudain un opposant terrible à la prolixe plume sans pitié !
On l’imagine écrivant en se disant « doe chov l’ac » en pensant châtier de la sorte son ami perdu de vue. Que d’articles formidables ! Que de touches ! Tout l’attirail et l’arsenal du général A.O.C y passa ! On a tout lu et tout vu ! Que de magnifiques piques acérées bien lancées avec un art consommé du tir à la cible ! Que de roquettes en Le et La ! Waouh ! On allait voir ce qu’on allait voir et on a vu ce qu’on devait voir !
Ne manquait plus que la reddition de la victime car quiconque reçoit pareille charge venant d’un tel ténor de la plume ne peut que demander grâce… en faisant le nécessaire pour entretenir comme il se doit pareille amitié…
Hélas pour maître A.O.C, Aziz n’a rien ni du politique désarmé qui craint les charges verbeuses ni de l’ennemi de la liberté d’expression. Bien au contraire ! On dirait qu’Aziz se régale de voir toutes ces armées de papier l’attaquer avec tout l’exercice de leur talent et tout le métier de leur bonne foi.
« Faire et laisser dire » semble la seule devise d’Aziz.
Devise face à laquelle, c’est l’assiégeant qui finit par demander grâce ! C’est la seule leçon des épisodes successifs d’Aziz et les plumes. Sauf que maître A.O.C est trop engagé pour s’avouer dépité, ruiné dans une guerre où les artifices explosent comme des pétards mouillés, alors maître A.O.C, le général du Le, continue sa guerre contre Aziz pour l’honneur en espérant que l’ami de jadis saura voir que son ami ne le hait point mais qu’il se doit de marquer sa dignité froissée par une distance incompréhensible !
Malgré cet exemple éloquent, voici que Hanane menace Aziz de quitter la majorité présidentielle pour rejoindre l’opposition…
Had mayeu smae mat ev’ou…
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