La faculté des sciences de l'université de Nouakchott est actuellement en état de siège. Tout a commencé en fin de matinée, lorsque des étudiants négro-mauritaniens sont arrivée à proximité du périmètre de l'université, en brandissant des pancartes hostiles à la volonté d'arabiser l'administration, telle qu'exprimée lors d'un précédent discours du premier ministre.
Peu après, des étudiants de l'ethnie Bidhane (arabo-berbères) arrivent du coté opposé, en brandissant d'autres pancartes soutenant le premier ministre. L'affrontement était inévitable.
Les force de police anti-émeute sont arrivé sur place et ont aspergé les insurgé de grenade lacrymogène et ont procédé à l'arrestation de 5 étudiants.
Les négro-africains se sont alors réfugié à l'intérieur de la faculté des sciences ou la police continue de les asperger de grenade, selon le correspondant de Taqadoumy sur place.
La police leurs a signifié qu'il leur est interdit de sortir groupé et que seul les sorties individuelles sont autorisé. Le face à face est toujours en court.
Taqadoumy a pu entrer en contact avec un délégué du Syndicat national des étudiants mauritaniens (SNEM, non-autorisé), auquel appartient les manifestants négro-africains. Il déclare que cette manifestation intervient suite à un courrier resté sans réponse, adressé par le syndicat au recteur de l'université, dans lequel les étudiants s'inquiétaient des retombées négatives de l'arabisation sur leur avenir.
Source: Taqadoumy
Peu après, des étudiants de l'ethnie Bidhane (arabo-berbères) arrivent du coté opposé, en brandissant d'autres pancartes soutenant le premier ministre. L'affrontement était inévitable.
Les force de police anti-émeute sont arrivé sur place et ont aspergé les insurgé de grenade lacrymogène et ont procédé à l'arrestation de 5 étudiants.
Les négro-africains se sont alors réfugié à l'intérieur de la faculté des sciences ou la police continue de les asperger de grenade, selon le correspondant de Taqadoumy sur place.
La police leurs a signifié qu'il leur est interdit de sortir groupé et que seul les sorties individuelles sont autorisé. Le face à face est toujours en court.
Taqadoumy a pu entrer en contact avec un délégué du Syndicat national des étudiants mauritaniens (SNEM, non-autorisé), auquel appartient les manifestants négro-africains. Il déclare que cette manifestation intervient suite à un courrier resté sans réponse, adressé par le syndicat au recteur de l'université, dans lequel les étudiants s'inquiétaient des retombées négatives de l'arabisation sur leur avenir.
Source: Taqadoumy
Actualités













