Arrivé au Burkina Faso,une autre étape de sa longue tourné africaine,le militant antiesclavagiste mauritanien:Biram Dah Abeid a été l’invité samedi onze septembre 2016,de la chaîne nationale burkinaaise(RTBF).
Cette invitation a été pour Biram une occasion d’exprimer sa vision et d’exposer son projet de lutte pour la fin de l’esclave en Mauritanie. Un tas de questions lui a été posé par la présentatrice du journal de 20 heure de la chaîne RTBF.
En répondant aux questions posées, Biram affirme que l’esclave est toujours d’actualité en Mauritanie, et qu’il se manifeste sous ses diverses formes(antique et moderne).
Il ajoute encore que les esclaves en Mauritanie sont aujourd’hui utilisés comme des objets,des marchandises,c’est a dire qu’on peut les louer,les marier ou les faire travailler par la force ou même les vendre.
Des propos très émouvant que beaucoup des mauritanien ont ont jugé extravagants. Mais Monsieur Abeid ne se limite pas là,en parlant aussi de l’existence d’une chartes « négrière »que les »maîtres » des esclaves possèdent dit il, et qui est aujourd’hui défendu par l’État complice.
En ce qui concerne son engagement politique, Biram affirme vouloir continuer toujours sa lutte,jusqu’au bout,tout en appelant la communauté internationale de lui soutenir dans cette lutte.
A vous de juger chers lecteurs.
source: http://maurijet.info
Cette invitation a été pour Biram une occasion d’exprimer sa vision et d’exposer son projet de lutte pour la fin de l’esclave en Mauritanie. Un tas de questions lui a été posé par la présentatrice du journal de 20 heure de la chaîne RTBF.
En répondant aux questions posées, Biram affirme que l’esclave est toujours d’actualité en Mauritanie, et qu’il se manifeste sous ses diverses formes(antique et moderne).
Il ajoute encore que les esclaves en Mauritanie sont aujourd’hui utilisés comme des objets,des marchandises,c’est a dire qu’on peut les louer,les marier ou les faire travailler par la force ou même les vendre.
Des propos très émouvant que beaucoup des mauritanien ont ont jugé extravagants. Mais Monsieur Abeid ne se limite pas là,en parlant aussi de l’existence d’une chartes « négrière »que les »maîtres » des esclaves possèdent dit il, et qui est aujourd’hui défendu par l’État complice.
En ce qui concerne son engagement politique, Biram affirme vouloir continuer toujours sa lutte,jusqu’au bout,tout en appelant la communauté internationale de lui soutenir dans cette lutte.
A vous de juger chers lecteurs.
source: http://maurijet.info
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