Nouakchott, 23 juillet 2025 – Dans un contexte politique tendu marqué par les débats autour du dialogue national en cours, le président de l’Initiative pour la Résurgence du Mouvement Abolitionniste (IRA), Biram Ould Dah Ould Abeid, s’est rendu ce mercredi au siège de l’AJD/MR (Alliance pour la Justice et la Démocratie / Mouvement pour la Réconciliation) pour s’entretenir avec son homologue Ba Mamadou Bocar, chef de file du parti.
Cette rencontre entre deux figures majeures de l’opposition mauritanienne s’est articulée autour d’un point central : l’évaluation du processus de dialogue politique engagé par les autorités. D’une même voix, les deux leaders ont exprimé leur profonde réserve à l’égard du cadre actuel de ce dialogue, qu’ils considèrent comme « une coquille vide, dénuée de toute crédibilité démocratique » et « sans les garanties minimales d’inclusion et de transparence ».
Pour Biram Dah Abeid et Ba Mamadou Bocar, la configuration actuelle du dialogue ne répond ni aux aspirations des forces politiques pluralistes ni aux attentes des citoyens en quête de changement réel. Ils dénoncent un simulacre de concertation orchestré, selon eux, pour légitimer des choix unilatéraux du pouvoir en place.
Au-delà du constat partagé, la réunion a permis d’approfondir une position commune et de définir une stratégie concertée face aux étapes à venir. Les deux partis entendent renforcer leur coordination et mobiliser d’autres composantes de l’opposition démocratique en vue d’imposer un véritable dialogue national, inclusif, équilibré et fondé sur le respect des libertés fondamentales.
Ce rapprochement stratégique entre l’IRA et l’AJD/MR intervient dans un climat où les voix dissidentes peinent à se faire entendre dans les instances officielles du processus en cours. En se réunissant publiquement, Biram Dah Abeid et Ba Mamadou Bocar envoient un signal clair : l’unité des forces progressistes demeure possible, face à ce qu’ils perçoivent comme une dérive autoritaire du pouvoir.
Leurs partisans, tout comme de nombreux observateurs de la scène politique mauritanienne, attendent désormais de voir si cette dynamique d’union débouchera sur la création d’un front élargi de contestation ou sur de nouvelles initiatives susceptibles de peser sur l’avenir institutionnel du pays.
Source: https://rapideinfo.mr
Cette rencontre entre deux figures majeures de l’opposition mauritanienne s’est articulée autour d’un point central : l’évaluation du processus de dialogue politique engagé par les autorités. D’une même voix, les deux leaders ont exprimé leur profonde réserve à l’égard du cadre actuel de ce dialogue, qu’ils considèrent comme « une coquille vide, dénuée de toute crédibilité démocratique » et « sans les garanties minimales d’inclusion et de transparence ».
Pour Biram Dah Abeid et Ba Mamadou Bocar, la configuration actuelle du dialogue ne répond ni aux aspirations des forces politiques pluralistes ni aux attentes des citoyens en quête de changement réel. Ils dénoncent un simulacre de concertation orchestré, selon eux, pour légitimer des choix unilatéraux du pouvoir en place.
Au-delà du constat partagé, la réunion a permis d’approfondir une position commune et de définir une stratégie concertée face aux étapes à venir. Les deux partis entendent renforcer leur coordination et mobiliser d’autres composantes de l’opposition démocratique en vue d’imposer un véritable dialogue national, inclusif, équilibré et fondé sur le respect des libertés fondamentales.
Ce rapprochement stratégique entre l’IRA et l’AJD/MR intervient dans un climat où les voix dissidentes peinent à se faire entendre dans les instances officielles du processus en cours. En se réunissant publiquement, Biram Dah Abeid et Ba Mamadou Bocar envoient un signal clair : l’unité des forces progressistes demeure possible, face à ce qu’ils perçoivent comme une dérive autoritaire du pouvoir.
Leurs partisans, tout comme de nombreux observateurs de la scène politique mauritanienne, attendent désormais de voir si cette dynamique d’union débouchera sur la création d’un front élargi de contestation ou sur de nouvelles initiatives susceptibles de peser sur l’avenir institutionnel du pays.
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