
Après sa dernière visite en Libye et alors que Rosso baignait dans la vase, le Président de la République Mohamed Ould Abdel Aziz avait prévu de passer quelques jours de vacances en Espagne ; devant l'indignation générale, il demandait, au protocole, d'annuler le déplacement, laissant sa famille y aller sans lui.
Depuis 17 jours, Madame séjourne donc au Royaume d’Ibérie où l’on bâtit généralement des châteaux d’illusion, ce qui n’empêche l’hospitalité de ses auberges. L'annulation du séjour de Ould Abdel Aziz a permis de revoir les dépenses à la baisse mais la première dame y dépenserait tout de même la rondelette somme de 17.000 euros par jour.
L'épouse du "président des pauvres" est accompagnée d'une suite de 16 personnes dont des tantes, des cousines, des gardes du corps et une mystérieuse accompagnatrice, mi-exorciste mi-voyante, dont la charge consisterait, selon les témoins, à protéger le couple du mauvais œil et des forces maléfiques.
Jusqu'aujourd'hui, le séjour a couté plus de 290.000 euros au trésor public, soit 6 fois l'aide récente du Niger à la Mauritanie.
L'Espagne est le second domicile du couple présidentiel. Il y a quelques mois, le Général Ould Abdel Aziz - à l'époque candidat non déclaré à la présidentielle - y avait expédié son fils ainé. Le rejeton, adepte des rodéos mécaniques sur des véhicules de l'État, devenait, par ses frasques, une source de préoccupation chronique pour son père.
Craignant que l’inconduite du susdit ne ternît son image, le père l'avait confié à la garde de l'ambassadeur de Mauritanie en Espagne muté, pour la circonstance, en nourrice attardée, de luxe.
Les frais onéreux des voyages de l'ex président Sidi Ould Cheikh Abdellahi à l'étranger avaient, à juste titre, servi de prétexte à son futur tombeur, Ould Abdel Aziz, afin de justifier le putsch du 6 août 2008. L'on s’en souvient, juste après sa dernière visite officielle en France, Ould Cheikh Abdellahi s'accordait quelques jours de villégiature en Espagne, durant l’inondation de Tintane. Ce séjour intempestif écornera son image, sous l’effet d’une judicieuse exploitation par le camp de la fronde parlementaire, sous influence des généraux.
Source:
Raqadoumy
Depuis 17 jours, Madame séjourne donc au Royaume d’Ibérie où l’on bâtit généralement des châteaux d’illusion, ce qui n’empêche l’hospitalité de ses auberges. L'annulation du séjour de Ould Abdel Aziz a permis de revoir les dépenses à la baisse mais la première dame y dépenserait tout de même la rondelette somme de 17.000 euros par jour.
L'épouse du "président des pauvres" est accompagnée d'une suite de 16 personnes dont des tantes, des cousines, des gardes du corps et une mystérieuse accompagnatrice, mi-exorciste mi-voyante, dont la charge consisterait, selon les témoins, à protéger le couple du mauvais œil et des forces maléfiques.
Jusqu'aujourd'hui, le séjour a couté plus de 290.000 euros au trésor public, soit 6 fois l'aide récente du Niger à la Mauritanie.
L'Espagne est le second domicile du couple présidentiel. Il y a quelques mois, le Général Ould Abdel Aziz - à l'époque candidat non déclaré à la présidentielle - y avait expédié son fils ainé. Le rejeton, adepte des rodéos mécaniques sur des véhicules de l'État, devenait, par ses frasques, une source de préoccupation chronique pour son père.
Craignant que l’inconduite du susdit ne ternît son image, le père l'avait confié à la garde de l'ambassadeur de Mauritanie en Espagne muté, pour la circonstance, en nourrice attardée, de luxe.
Les frais onéreux des voyages de l'ex président Sidi Ould Cheikh Abdellahi à l'étranger avaient, à juste titre, servi de prétexte à son futur tombeur, Ould Abdel Aziz, afin de justifier le putsch du 6 août 2008. L'on s’en souvient, juste après sa dernière visite officielle en France, Ould Cheikh Abdellahi s'accordait quelques jours de villégiature en Espagne, durant l’inondation de Tintane. Ce séjour intempestif écornera son image, sous l’effet d’une judicieuse exploitation par le camp de la fronde parlementaire, sous influence des généraux.
Source:
Raqadoumy