Oui pour la tolérance zéro contre la promotion de contre-valeurs, véhiculées par un discours immoral ; téméraire qui ne cessent de nous rappeler à l’ordre, comme si nous n’étions pas tous mauritaniens.Voilà un pays ou, on minimise tout. Regard croisé sur un héritage qui perdure. (Voir notre chronique Toile de Fond).
Oui ! car ce sont les tenants d’un tel discours qui font la part belle à la triche, valorisant le népotisme, la corruption, la prévarication et les magouilles de toutes sortes. Oui pour la tolérance zéro contre l’exhibition indécente et ostentatoire de signes de richesse et d’opulence d’un bien le plus souvent mal acquis.
Il n’existe aucune loi en Mauritanie qui sanctionne cet état de fait, car tous les malfrats s’en sortent toujours avec une promotion. Sous le slogan de « Président des pauvres », l’actuel locataire du palais gris ; là-dessus ; n’appelait-il pas les mauritaniens à commencer par balayer devant leurs portes ? Car, c’est bien l’Etat qui doit rétablir l’ordre, la discipline et le respect des lois en commençant par le sommet.
Il lui faut, au risque d’être impopulaire aux yeux de la société, sévir, sans cruauté inutile ne faiblesse coupable. Oui pour la tolérance zéro quand les arbres, les murs, coins et recoins de la voirie publique sont transformés en pissotières, avec des gens qui se soulagent en pleine rue en y vidant leurs vessies ou en y faisant leurs besoins à volonté.
La faute revient à l’Etat qui n’a pas installer les commodités pour les citoyens à cet effet. Incapables de comprendre que la saleté est le reflet de la personnalité, nous évoluons pourtant dans un univers de grasse. Les eaux usées et les détritus jonchent la voie publique avec l’existence ou sans de poubelles ou de vidoirs.
Dans ce pays, combien de fois a-t-on vu des « bonnes volontés », « monsieur bons offices », ou « médiateurs », intercéder à la faveur d’un fautif convaincu et d’un coupable reconnu, pour le soustraire à l’expiation d’une peine fort méritée, au prix de quelques billets de banque ; une pratique courante qui favorise, et perpétue l’impunité.
Voilà un legs qui perdure et qui est hélas, loin de l’approche de la mutation d’une Mauritanie nouvelle.
ADN
©Cridem 2017
-------
Source : Rédaction Cridem
Oui ! car ce sont les tenants d’un tel discours qui font la part belle à la triche, valorisant le népotisme, la corruption, la prévarication et les magouilles de toutes sortes. Oui pour la tolérance zéro contre l’exhibition indécente et ostentatoire de signes de richesse et d’opulence d’un bien le plus souvent mal acquis.
Il n’existe aucune loi en Mauritanie qui sanctionne cet état de fait, car tous les malfrats s’en sortent toujours avec une promotion. Sous le slogan de « Président des pauvres », l’actuel locataire du palais gris ; là-dessus ; n’appelait-il pas les mauritaniens à commencer par balayer devant leurs portes ? Car, c’est bien l’Etat qui doit rétablir l’ordre, la discipline et le respect des lois en commençant par le sommet.
Il lui faut, au risque d’être impopulaire aux yeux de la société, sévir, sans cruauté inutile ne faiblesse coupable. Oui pour la tolérance zéro quand les arbres, les murs, coins et recoins de la voirie publique sont transformés en pissotières, avec des gens qui se soulagent en pleine rue en y vidant leurs vessies ou en y faisant leurs besoins à volonté.
La faute revient à l’Etat qui n’a pas installer les commodités pour les citoyens à cet effet. Incapables de comprendre que la saleté est le reflet de la personnalité, nous évoluons pourtant dans un univers de grasse. Les eaux usées et les détritus jonchent la voie publique avec l’existence ou sans de poubelles ou de vidoirs.
Dans ce pays, combien de fois a-t-on vu des « bonnes volontés », « monsieur bons offices », ou « médiateurs », intercéder à la faveur d’un fautif convaincu et d’un coupable reconnu, pour le soustraire à l’expiation d’une peine fort méritée, au prix de quelques billets de banque ; une pratique courante qui favorise, et perpétue l’impunité.
Voilà un legs qui perdure et qui est hélas, loin de l’approche de la mutation d’une Mauritanie nouvelle.
ADN
©Cridem 2017
-------
Source : Rédaction Cridem