
Encore une fois les résultats du baccalauréat sont catastrophique 18 % des candidats sont admis une hécatombe sous d’autres cieux .mais une chose somme toute normale chez nous depuis ces derniers trois ans les pourcentages des admis au baccalauréat comme au brevet ne font que chuter juste résultats des assises sur l’éducation organisée en 2013 on se rappelle qu »a l’époque ,les Etats généraux de l’éducations nationales avaient été organisés ,sans tambours ni trompettes . les autorités publique qui ont l’habitude de vociférer à la moindre étincelle, avaient gardé le silence.
L’opinion nationale elle aussi avait Sembé donner le dos à l’événement. Il faut bien le reconnaitre : les états généraux qui étaient pourtant attendus avec la plus grandes impatience n’ont pas bénéficié de l’attention requise . la bataille de l’éducation que tout le monde redoutait n’a pas donc eu lieu .
Faute de combattants et de débatteurs malgré tout des conclusions auraient été ficelées les dés risquent donc d’être pipés pour beaucoup et la citoyenneté d’autres en deviendra de plus en plus précaire pourquoi ?
La réponse est simple pour le moins averti d’entre nous : les forces vives d déterminantes dans le pays avaient décidé de ne pas y aller ,commentant ainsi le péché de laisser l’avenir de nos enfants et le devenir de notre pays entre les mains d’un groupe réduit de personnes qui ne mesurent pas , forcement la gravité de leurs responsabilité .
Surtout la plus part des participant ( en tout cas de ceux que les medias de l’Etat ont mis en avant dans leurs très sélectifs micros-trottoirs ) n’ont pas ,dans leurs propos ,dérogé à la réglé qui a fait sombrer l’éducation en Mauritanie l’école n’est plus ni moins qu’un creuset pour affirmer l’identité de notre pays .
La langue arabe est la langue officielle. elle doit suppléer à toute les autres langues, particulièrement le français et dans leur grande verve , ils font appel , systématiquement , à l’article 6 de la constitution, seul article de ce texte dont ils exigent, illico presto l’application intégrale pourtant , partout dans le monde , l’éducation est plus grande que l’identité elle transcende l’idéologie du fait de sa noble mission de vecteur de savoir de lumière et d’ouverture avant toute autre chose.
A ce titre ,elle est intimement liée à trois donnes cardinales dans l’existence de l’homme , donc de la société : la liberté , le sentiment d’égalité et ;l’efficience .ceci étant notre pays doit voir la réalité d’en face .il est increvable de réformer le mal pour enfoncer davantage le système ,en s’obstinant à reconduire , par de trente ans d’errance éducative en d’autre termes , l’arabisation à outrance qui a montré ses limites , causé beaucoup de mal au pays en terme de compétitivité sciencetifique , intellectuelle, économique et de cohésion sociale comme l’exigent les tenants de l’ordre dominant , n’est pas une bonne chose .
L’usage d’une langue unique enclave et abrutit refuser de s’ouvrir aux autres est ainsi suicidaire. la solution la plus sage serait d’élargir l’horizon de notre panel afin de permettre à nos enfants d’avoir accès des leur jeune âge , à tous les atouts éducatifs et scientifiques possibles.
Ici un système multilingue, fondé et sur l’arabe , sur les langue nationales et sur deux autres langues étrangères , en l’occurrence le français et l’anglais est plus que judicieux .
Une seule langue fut-elle celle de l’identité de certains mais pas de tous comme seule ou dominante langue d’éducation est tout simplement contre –productif inonder la Mauritanie d’analphabètes ne comprenant qu’une seule langue et exiger en suite de leur trouver des débouchées est tout simplement une aberration.
D’où les vociférations répétées de Aziz contre les littéraire évitant soigneusement de crever l’abcès , par crainte de choquer les puissants qui tiennent à leur acquis identitaire , intimement lié , selon eux , à la seule langue qu’ils comprennent , adulent et vénèrent
En tout état de cause , la tenue des travaux des états généraux de l’éducation, leur clôture organisée en catimini et le black –out total fait sur leurs résultat nous laissent perplexes le silence observé de puis lors par nos intellectuels qui avaient à réfléchir sur futur du secteur de l’éducation.
Amar ould Beja
Source: http://lauthentic.info
L’opinion nationale elle aussi avait Sembé donner le dos à l’événement. Il faut bien le reconnaitre : les états généraux qui étaient pourtant attendus avec la plus grandes impatience n’ont pas bénéficié de l’attention requise . la bataille de l’éducation que tout le monde redoutait n’a pas donc eu lieu .
Faute de combattants et de débatteurs malgré tout des conclusions auraient été ficelées les dés risquent donc d’être pipés pour beaucoup et la citoyenneté d’autres en deviendra de plus en plus précaire pourquoi ?
La réponse est simple pour le moins averti d’entre nous : les forces vives d déterminantes dans le pays avaient décidé de ne pas y aller ,commentant ainsi le péché de laisser l’avenir de nos enfants et le devenir de notre pays entre les mains d’un groupe réduit de personnes qui ne mesurent pas , forcement la gravité de leurs responsabilité .
Surtout la plus part des participant ( en tout cas de ceux que les medias de l’Etat ont mis en avant dans leurs très sélectifs micros-trottoirs ) n’ont pas ,dans leurs propos ,dérogé à la réglé qui a fait sombrer l’éducation en Mauritanie l’école n’est plus ni moins qu’un creuset pour affirmer l’identité de notre pays .
La langue arabe est la langue officielle. elle doit suppléer à toute les autres langues, particulièrement le français et dans leur grande verve , ils font appel , systématiquement , à l’article 6 de la constitution, seul article de ce texte dont ils exigent, illico presto l’application intégrale pourtant , partout dans le monde , l’éducation est plus grande que l’identité elle transcende l’idéologie du fait de sa noble mission de vecteur de savoir de lumière et d’ouverture avant toute autre chose.
A ce titre ,elle est intimement liée à trois donnes cardinales dans l’existence de l’homme , donc de la société : la liberté , le sentiment d’égalité et ;l’efficience .ceci étant notre pays doit voir la réalité d’en face .il est increvable de réformer le mal pour enfoncer davantage le système ,en s’obstinant à reconduire , par de trente ans d’errance éducative en d’autre termes , l’arabisation à outrance qui a montré ses limites , causé beaucoup de mal au pays en terme de compétitivité sciencetifique , intellectuelle, économique et de cohésion sociale comme l’exigent les tenants de l’ordre dominant , n’est pas une bonne chose .
L’usage d’une langue unique enclave et abrutit refuser de s’ouvrir aux autres est ainsi suicidaire. la solution la plus sage serait d’élargir l’horizon de notre panel afin de permettre à nos enfants d’avoir accès des leur jeune âge , à tous les atouts éducatifs et scientifiques possibles.
Ici un système multilingue, fondé et sur l’arabe , sur les langue nationales et sur deux autres langues étrangères , en l’occurrence le français et l’anglais est plus que judicieux .
Une seule langue fut-elle celle de l’identité de certains mais pas de tous comme seule ou dominante langue d’éducation est tout simplement contre –productif inonder la Mauritanie d’analphabètes ne comprenant qu’une seule langue et exiger en suite de leur trouver des débouchées est tout simplement une aberration.
D’où les vociférations répétées de Aziz contre les littéraire évitant soigneusement de crever l’abcès , par crainte de choquer les puissants qui tiennent à leur acquis identitaire , intimement lié , selon eux , à la seule langue qu’ils comprennent , adulent et vénèrent
En tout état de cause , la tenue des travaux des états généraux de l’éducation, leur clôture organisée en catimini et le black –out total fait sur leurs résultat nous laissent perplexes le silence observé de puis lors par nos intellectuels qui avaient à réfléchir sur futur du secteur de l’éducation.
Amar ould Beja
Source: http://lauthentic.info