Je commencerai par les aveux D’Ibrahima Moctar Sarr, président du parti AJD/MR, un homme que j’estimais beaucoup, mais il s’est laissé aller dans les carcans de divertissements divers. Son mea-culpa est le suivant : « On a commis une erreur en 2005, la deuxième erreur, c’est quand Ould Abdel Aziz a pris le pouvoir. Les vrais responsables du piétinement du dossier de passif humanitaire, c’est nous les politiciens. Les marches de soutien n’ont jamais été faites contre l’esclavage ni pour le retour des déportés. »
Oui Monsieur Ibrahima Moctar Sarr, je me suis personnellement investi avec corps et âme pour essayer voir au moins de freiner vos erreurs en vain. Les têtes brulées qui vous entourent, avaient des calculettes selon eux en science politique pour comptabiliser le nombre d’effectif de postes ministériels qui seront occupés par la direction de L’AJD/MR. Ils ne vous ont laissé aucune chance, le minimum de temps vital nécessaire à la réflexion et la consultation. A chaque fois, j’ai essayé de tirer la sonnette d’alarme à votre attention, vos militants s’acharnaient sur ma personne d’une façon terrible, horrible d’une violence inouïe, avec une haine viscérale , n’épargnant ni mes parents, ni ma vie privée, ni mes amis, ni mes contacts à plus forte raison la communauté haratine dans son ensemble dont je suis issu qu’ils diabolisaient en les imputant d’être responsable des exécutions et les déportations de 1989 pour séduire le nouveau général putschiste Mohamed Ould Abdel Aziz. Malheureusement, la gourmandise mêlait dans l’amateurisme politique de règlement de compte avec la communauté haratine est à l’origine de ce désastre politique oubliant que nous partageons la même souffrance. L’unité des victimes ne peut se faire avec des poignards au dos, il faut accepter de s’unir autour de la vérité et le bon sens. Si la vérité nous unit, jamais une politique ou un pouvoir ne pourra nous désunir à l’avenir. Je suis soulagé dans mon âme et conscience avec vos propos, GUEL HARDANEL, terme péjoratif pour me fustiger que vos partisans utilisaient, n’était pas l’ennemi public de Sarr Ibrahima ni de L’AJD/MR.
La Rupture symbolique de la jeunesse noire avec leurs aînés negres au service du ventre plein, négre content se poursuivra. Une tournée du président du sénat Mauritanien, Mr Bâ Mamadou Dit M’baré sous la bannière de L’UPR , le parti du général fou furieux Mohamed Ould Abdel Aziz nous laisse à le croire. Tous les ingrédients sont réunis dans l’échec cuisant de cette fameuse tournée. Je vous propose de lire le résumé des informations qui se sont infiltrés sur le déplacement du président du sénat sur ce lien : http://haratine.blogspot.com/2011/12/ba-mamadou-dit-mbare-le-negre-de.html
Les noirs vivent depuis l’indépendance de la république « islamique » de Mauritanie dans des conditions exécrables avec la bénédiction des nègres au service du ventre, ils sont contents surtout tant pis pour le reste. Nos droits sont bafoués au quotidien, notre dignité piétinée, la majorité haratine croulent sous l’esclavage primitif, les exécutions sommaires et déportations massives vers d’autres pays voisins. Tout ça avec le sordide slogan, nous sommes tous des musulmans en nous montrant du doigt, toi le nègre Mauritanien souffre, crève et pardonne sinon on t’écrasera sans aucune forme de justice. Comment peut-on pardonner dans un état dit démocratique, de droit sans situer la responsabilité de chaque criminel? Comment la démocratie peut elle être enracinée dans un pays réfutant les principaux fondements de celle-ci, à savoir la justice et l’égalité devant la loi suprême ?
La confiance ne règne plus entre la nouvelle et l’ancienne génération à cause des problèmes que je viens de soulever ci-dessus, d’autant plus ils ont planqué nos revendications pour le plaisir du ventre plein, nègre content avec des avantages personnelles octroyaient par le système hégémonique qui gouverne le pays pour endormir l’opinion internationale. La crédibilité, la morale et la docilité de nos politiciens, des chiens tenus en laisse sont battus en brèche par leur comportement comme une odeur nauséabonde chez le citoyen offensé, opprimé au quotidien. Pour survivre, les citoyens ont besoin d’un minimum vital de droit et du social pour exister. Nous avons su que des hommes du pouvoir s’introduisaient dans des mosquées et arrachaient les hauts parleurs des imams au cours de leurs prêches pour casser l’élan des jeunes protestataires du mouvement « Touche Pas à Ma Nationalité », à Nouakchott, Kaédi, Maghama, Selibaby etc….
La théorie religieuse sur laquelle se base les autorités pour endormir le peuple est la suivante: vous êtes pauvre, Dieu l’a voulu ainsi, vous êtes esclave, Dieu l’a voulu ainsi, vous êtes déporté, c’est Dieu qui l’a voulu, en rajoutant mektoub, « c’est écrit ». Nous constatons que depuis la création de la Mauritanie, les autorités adoptent des très bonnes lois non pas pour mettre à l’abri où protéger le citoyen mais uniquement dans le but de se couvrir. La rhétorique sur l’abolition de l’esclavage est là pour appuyer mes propos. En 1981, Le colonel Mohamed Khouna Ould Haïdalla charge les imams du pays de lui proposer un texte religieux s’appuyant sur la charia « loi islamique » pour interdire les pratiques de l’esclavage sur le sol Mauritanien. Les imams proposèrent l’ordonnance du texte suivant :
Article 1 : L’esclavage sous toutes ses formes est aboli définitivement sur toute L’étendue du territoire de la République Islamique de Mauritanie.
Article 2 : Conformément à la charia, cette abolition donnera lieu à une Compensation au profit des ayant droits. Article 3 : Une Commission Nationale composée d’oulémas, d’économistes et D’administrateurs, sera instituée par décret pour étudier les modalités Pratiques de cette compensation. Ces modalités seront fixées par Décret une fois l’étude achevée.Vous pouvez consulter cette ordonnance jamais appliquée sur ce lien : http://www.haratine.com/Texte_juridique1.htm
En gros l’état doit indemniser les esclavagistes au profit des victimes, sinon aux victimes de racheter leur liberté. La Loi 2007-048 relative à l’abolition de l'esclavage fut adoptée à l’unanimité par l’assemblée nationale sous la présidence de Messaoud Ould Boulkheir, un président parachuté par l’ex-président Sidi Ould Cheikh Abdallahi, qui a été emporté par le putsch du général Mohamed Ould Abdel Aziz suite à un accord négocié du soutien de ce dernier au 2ème tour de l’élection présidentielle en 2007. Aussitôt placé, le général Ould Aziz monte au créneau pour secourir les esclavagistes qui se sentaient menacer par l’avance notable d'une loi incriminant la pratique de leur main d’œuvre gratuite. Qui sont ces esclavagistes ? C’est le sommet du pouvoir, le président de la république islamique de Mauritanie, les ministres, les administrateurs civils et militaires, les juges et l’appareil judiciaire, les forces de l’ordre, les chefs de tribus et la société civile, mais aussi certains dirigeants de partis politiques. L’association des haratine de Mauritanie en Europe a dressée des listes de personnalités que vous pouvez consulter sur le lien suivant : http://www.haratine.com/liste1.htm
Le général Ould Abdel Aziz dira dans un show médiatique: « à ma connaissance, il n'y a pas d'esclavage. N'est esclave que celui qui veut l'être. C'est simple. On parle d'esclavage un peu partout. On parle de discrimination, on parle de castes en Mauritanie, mais celui qui veut l'être ça vient de lui. La loi ne protège pas les esclavagistes et ne peut pas protéger les esclavagistes. C'est clair. On continue à parler de l'esclavage. Dans tous les cas qu'on a essayé de sortir, il se trouve qu'il existe une parfaite symbiose entre les mauritaniens et qu'il y a des familles qui confient leurs enfants à d'autres familles et qu'il y a des situations peut être, qui nous ont précédés nous tous, et qui nous subissons actuellement. »
Contradiction flagrante dans les propos du général Aziz, quand il dit la loi ne protège pas les esclavagistes. Comment peut-il le justifier, d’autant plus la loi est ignorée par les victimes? Quels sont les moyens que son pouvoir a mis en place pour combattre le phénomène depuis son accession au pouvoir ? Pourquoi veulent-ils criminaliser dans la constitution un phénomène qui n’existe pas ? Vous l’aurez compris, c’est une démarche de couverture juridique de l’état, ni plus ni moins. Nous connaissons les énormes moyens qu’il a déployés pour envoyer les militants de l’organisation IRA-Mauritanie en prison sur faux et usage de faux.
Pourquoi son pouvoir refuse de reconnaitre IRA alors que cette organisation est reconnue au niveau international ? Les différents chefs de l’état qu’a connu la Mauritanie ont tous usés le discours selon lequel les problèmes Mauritaniens, se règlent en Mauritanie pas à l’extérieur. Ceux qui vont à l’extérieur pour parler de la situation des droits de l’homme, cherchent à ternir l’image du pays. Je pense qu’ils doivent faire l’effort de reconnaitre, de combattre nos problèmes, ensuite reconnaitre les ONG et associations abolitionnistes sur le sol Mauritanien. Le plus désolant dans cette histoire, est que l’état de la république « islamique » de Mauritanie a toujours favorisé la création des associations cartables inféodée au pouvoir pour détourner les aides internationales destinées aux victimes de l’esclavage et du racisme dans le but d’enrichir les maîtres arabo-berbères.
La communauté internationale, l’ONU sont au courant, rien n’a été fait pour freiner les autorités Mauritaniennes en les obligeant à respecter leurs engagements. Il y a eu la visite de Mme Gulnara Shahinian experte des Nations Unies sur les formes de l’esclavage en Mauritanie, lisez-le sur ce lien :http://www.haratine.com/communique254.htm
Je vous remercie en vous souhaitant bonnes fêtes de fin d’année.
Diko hanoune/ Secrétaire général de L’association des haratine de Mauritanie en Europe(A.H.M.E).
Oui Monsieur Ibrahima Moctar Sarr, je me suis personnellement investi avec corps et âme pour essayer voir au moins de freiner vos erreurs en vain. Les têtes brulées qui vous entourent, avaient des calculettes selon eux en science politique pour comptabiliser le nombre d’effectif de postes ministériels qui seront occupés par la direction de L’AJD/MR. Ils ne vous ont laissé aucune chance, le minimum de temps vital nécessaire à la réflexion et la consultation. A chaque fois, j’ai essayé de tirer la sonnette d’alarme à votre attention, vos militants s’acharnaient sur ma personne d’une façon terrible, horrible d’une violence inouïe, avec une haine viscérale , n’épargnant ni mes parents, ni ma vie privée, ni mes amis, ni mes contacts à plus forte raison la communauté haratine dans son ensemble dont je suis issu qu’ils diabolisaient en les imputant d’être responsable des exécutions et les déportations de 1989 pour séduire le nouveau général putschiste Mohamed Ould Abdel Aziz. Malheureusement, la gourmandise mêlait dans l’amateurisme politique de règlement de compte avec la communauté haratine est à l’origine de ce désastre politique oubliant que nous partageons la même souffrance. L’unité des victimes ne peut se faire avec des poignards au dos, il faut accepter de s’unir autour de la vérité et le bon sens. Si la vérité nous unit, jamais une politique ou un pouvoir ne pourra nous désunir à l’avenir. Je suis soulagé dans mon âme et conscience avec vos propos, GUEL HARDANEL, terme péjoratif pour me fustiger que vos partisans utilisaient, n’était pas l’ennemi public de Sarr Ibrahima ni de L’AJD/MR.
La Rupture symbolique de la jeunesse noire avec leurs aînés negres au service du ventre plein, négre content se poursuivra. Une tournée du président du sénat Mauritanien, Mr Bâ Mamadou Dit M’baré sous la bannière de L’UPR , le parti du général fou furieux Mohamed Ould Abdel Aziz nous laisse à le croire. Tous les ingrédients sont réunis dans l’échec cuisant de cette fameuse tournée. Je vous propose de lire le résumé des informations qui se sont infiltrés sur le déplacement du président du sénat sur ce lien : http://haratine.blogspot.com/2011/12/ba-mamadou-dit-mbare-le-negre-de.html
Les noirs vivent depuis l’indépendance de la république « islamique » de Mauritanie dans des conditions exécrables avec la bénédiction des nègres au service du ventre, ils sont contents surtout tant pis pour le reste. Nos droits sont bafoués au quotidien, notre dignité piétinée, la majorité haratine croulent sous l’esclavage primitif, les exécutions sommaires et déportations massives vers d’autres pays voisins. Tout ça avec le sordide slogan, nous sommes tous des musulmans en nous montrant du doigt, toi le nègre Mauritanien souffre, crève et pardonne sinon on t’écrasera sans aucune forme de justice. Comment peut-on pardonner dans un état dit démocratique, de droit sans situer la responsabilité de chaque criminel? Comment la démocratie peut elle être enracinée dans un pays réfutant les principaux fondements de celle-ci, à savoir la justice et l’égalité devant la loi suprême ?
La confiance ne règne plus entre la nouvelle et l’ancienne génération à cause des problèmes que je viens de soulever ci-dessus, d’autant plus ils ont planqué nos revendications pour le plaisir du ventre plein, nègre content avec des avantages personnelles octroyaient par le système hégémonique qui gouverne le pays pour endormir l’opinion internationale. La crédibilité, la morale et la docilité de nos politiciens, des chiens tenus en laisse sont battus en brèche par leur comportement comme une odeur nauséabonde chez le citoyen offensé, opprimé au quotidien. Pour survivre, les citoyens ont besoin d’un minimum vital de droit et du social pour exister. Nous avons su que des hommes du pouvoir s’introduisaient dans des mosquées et arrachaient les hauts parleurs des imams au cours de leurs prêches pour casser l’élan des jeunes protestataires du mouvement « Touche Pas à Ma Nationalité », à Nouakchott, Kaédi, Maghama, Selibaby etc….
La théorie religieuse sur laquelle se base les autorités pour endormir le peuple est la suivante: vous êtes pauvre, Dieu l’a voulu ainsi, vous êtes esclave, Dieu l’a voulu ainsi, vous êtes déporté, c’est Dieu qui l’a voulu, en rajoutant mektoub, « c’est écrit ». Nous constatons que depuis la création de la Mauritanie, les autorités adoptent des très bonnes lois non pas pour mettre à l’abri où protéger le citoyen mais uniquement dans le but de se couvrir. La rhétorique sur l’abolition de l’esclavage est là pour appuyer mes propos. En 1981, Le colonel Mohamed Khouna Ould Haïdalla charge les imams du pays de lui proposer un texte religieux s’appuyant sur la charia « loi islamique » pour interdire les pratiques de l’esclavage sur le sol Mauritanien. Les imams proposèrent l’ordonnance du texte suivant :
Article 1 : L’esclavage sous toutes ses formes est aboli définitivement sur toute L’étendue du territoire de la République Islamique de Mauritanie.
Article 2 : Conformément à la charia, cette abolition donnera lieu à une Compensation au profit des ayant droits. Article 3 : Une Commission Nationale composée d’oulémas, d’économistes et D’administrateurs, sera instituée par décret pour étudier les modalités Pratiques de cette compensation. Ces modalités seront fixées par Décret une fois l’étude achevée.Vous pouvez consulter cette ordonnance jamais appliquée sur ce lien : http://www.haratine.com/Texte_juridique1.htm
En gros l’état doit indemniser les esclavagistes au profit des victimes, sinon aux victimes de racheter leur liberté. La Loi 2007-048 relative à l’abolition de l'esclavage fut adoptée à l’unanimité par l’assemblée nationale sous la présidence de Messaoud Ould Boulkheir, un président parachuté par l’ex-président Sidi Ould Cheikh Abdallahi, qui a été emporté par le putsch du général Mohamed Ould Abdel Aziz suite à un accord négocié du soutien de ce dernier au 2ème tour de l’élection présidentielle en 2007. Aussitôt placé, le général Ould Aziz monte au créneau pour secourir les esclavagistes qui se sentaient menacer par l’avance notable d'une loi incriminant la pratique de leur main d’œuvre gratuite. Qui sont ces esclavagistes ? C’est le sommet du pouvoir, le président de la république islamique de Mauritanie, les ministres, les administrateurs civils et militaires, les juges et l’appareil judiciaire, les forces de l’ordre, les chefs de tribus et la société civile, mais aussi certains dirigeants de partis politiques. L’association des haratine de Mauritanie en Europe a dressée des listes de personnalités que vous pouvez consulter sur le lien suivant : http://www.haratine.com/liste1.htm
Le général Ould Abdel Aziz dira dans un show médiatique: « à ma connaissance, il n'y a pas d'esclavage. N'est esclave que celui qui veut l'être. C'est simple. On parle d'esclavage un peu partout. On parle de discrimination, on parle de castes en Mauritanie, mais celui qui veut l'être ça vient de lui. La loi ne protège pas les esclavagistes et ne peut pas protéger les esclavagistes. C'est clair. On continue à parler de l'esclavage. Dans tous les cas qu'on a essayé de sortir, il se trouve qu'il existe une parfaite symbiose entre les mauritaniens et qu'il y a des familles qui confient leurs enfants à d'autres familles et qu'il y a des situations peut être, qui nous ont précédés nous tous, et qui nous subissons actuellement. »
Contradiction flagrante dans les propos du général Aziz, quand il dit la loi ne protège pas les esclavagistes. Comment peut-il le justifier, d’autant plus la loi est ignorée par les victimes? Quels sont les moyens que son pouvoir a mis en place pour combattre le phénomène depuis son accession au pouvoir ? Pourquoi veulent-ils criminaliser dans la constitution un phénomène qui n’existe pas ? Vous l’aurez compris, c’est une démarche de couverture juridique de l’état, ni plus ni moins. Nous connaissons les énormes moyens qu’il a déployés pour envoyer les militants de l’organisation IRA-Mauritanie en prison sur faux et usage de faux.
Pourquoi son pouvoir refuse de reconnaitre IRA alors que cette organisation est reconnue au niveau international ? Les différents chefs de l’état qu’a connu la Mauritanie ont tous usés le discours selon lequel les problèmes Mauritaniens, se règlent en Mauritanie pas à l’extérieur. Ceux qui vont à l’extérieur pour parler de la situation des droits de l’homme, cherchent à ternir l’image du pays. Je pense qu’ils doivent faire l’effort de reconnaitre, de combattre nos problèmes, ensuite reconnaitre les ONG et associations abolitionnistes sur le sol Mauritanien. Le plus désolant dans cette histoire, est que l’état de la république « islamique » de Mauritanie a toujours favorisé la création des associations cartables inféodée au pouvoir pour détourner les aides internationales destinées aux victimes de l’esclavage et du racisme dans le but d’enrichir les maîtres arabo-berbères.
La communauté internationale, l’ONU sont au courant, rien n’a été fait pour freiner les autorités Mauritaniennes en les obligeant à respecter leurs engagements. Il y a eu la visite de Mme Gulnara Shahinian experte des Nations Unies sur les formes de l’esclavage en Mauritanie, lisez-le sur ce lien :http://www.haratine.com/communique254.htm
Je vous remercie en vous souhaitant bonnes fêtes de fin d’année.
Diko hanoune/ Secrétaire général de L’association des haratine de Mauritanie en Europe(A.H.M.E).
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