
Le directeur des opérations à la Banque Mondiale, M. Madani Tall, a été reçu en audience par le président de la République hier mardi au Palais présidentiel à Nouakchott.
Le responsable de la BM devait affirmer à la presse, à l’issue de cette audience qu’il a rencontré le Président de la république pour lui faire part de la reprise, de façon formelle, de la coopération avec la Banque Mondiale et lui annoncer que les décaissements sur les projets existants avaient repris.
«Nous sommes aujourd'hui, dit-il, à 14 millions de dollars de décaissements sur 16 millions qui étaient en suspens depuis août 2008. Nous avons échangé, poursuit-il, avec le président de la république sur les questions liées à la gouvernance économique, cheval de bataille du président qui fait de la lutte contre la corruption et la gabegie une de ses priorités. C'est un gage de confiance sur ces questions qui rassu
re les investisseurs étrangers et nationaux même si le président a fait part, en outre, de ses préoccupations sur les questions des infrastructures routières, de l'énergie et de l'eau potable, de la santé, de l'éducation, etc.»
«Tous ces chantiers sont des chantiers de développement qu'il faut, à la limite, reprendre et sur lesquels il faut s'engager sur le court, moyen et long termes pour contribuer à relever la qualité de vie de l'ensemble des mauritaniens», a souligné le directeur des opérations à la BM.
Et de conclure: «Enfin, nous avons eu des échanges de vues sur les modalités de financements innovants qu'il faut peut-être, encourager en Mauritanie puisque les besoins sont énormes. Il s'agit d'éviter les retards notamment en allant vers des partenaires non traditionnels qui jusqu'ici n'étaient pas très présents en Mauritanie mais aussi en envisageant la mise en place d'un partenariat public-privé, notamment dans le secteur des infrastructures».
source : ani
Le responsable de la BM devait affirmer à la presse, à l’issue de cette audience qu’il a rencontré le Président de la république pour lui faire part de la reprise, de façon formelle, de la coopération avec la Banque Mondiale et lui annoncer que les décaissements sur les projets existants avaient repris.
«Nous sommes aujourd'hui, dit-il, à 14 millions de dollars de décaissements sur 16 millions qui étaient en suspens depuis août 2008. Nous avons échangé, poursuit-il, avec le président de la république sur les questions liées à la gouvernance économique, cheval de bataille du président qui fait de la lutte contre la corruption et la gabegie une de ses priorités. C'est un gage de confiance sur ces questions qui rassu
re les investisseurs étrangers et nationaux même si le président a fait part, en outre, de ses préoccupations sur les questions des infrastructures routières, de l'énergie et de l'eau potable, de la santé, de l'éducation, etc.»
«Tous ces chantiers sont des chantiers de développement qu'il faut, à la limite, reprendre et sur lesquels il faut s'engager sur le court, moyen et long termes pour contribuer à relever la qualité de vie de l'ensemble des mauritaniens», a souligné le directeur des opérations à la BM.
Et de conclure: «Enfin, nous avons eu des échanges de vues sur les modalités de financements innovants qu'il faut peut-être, encourager en Mauritanie puisque les besoins sont énormes. Il s'agit d'éviter les retards notamment en allant vers des partenaires non traditionnels qui jusqu'ici n'étaient pas très présents en Mauritanie mais aussi en envisageant la mise en place d'un partenariat public-privé, notamment dans le secteur des infrastructures».
source : ani