Quand cela surviendra-t-il ? Qui sont les ministres sortants ? Qui sont les heureux élus sur lesquels Ould Abdel Aziz jettera son dévolu pour les remplacer ? Ce sont là les questions qui taraudent l’esprit de tous ceux qui s’intéressent à la vie politique nationale ?
Nous ne sommes pas dans le secret des Dieux mais il est tout à fait logique, pour bon nombre d’observateurs de la scène politique national que le président de la République procède à un changement de gouvernement.
D’après des indiscrétions en provenance du Palais présidentiel, la date de ce chambardement est même déjà arrêtée : cela se passera juste après le retour du Raïs du voyage qu’il entreprendra en Libye dans le cadre d’une médiation initiée par l’Union Africaine. Les mêmes sources indiquent que le tiers des membres du gouvernement seront remerciés.
veridique
Du coup, l’actuel Premier ministre Dr Moulaye Ould Mohamed Laghdaf perd son strapontin mais il sera reconduit par le président de la République qui le chargera de former une nouvelle équipe peut être plus agressive que l’actuelle dont certains membres restent curieusement guindés.
Dans la foulée de ce changement au moins deux partis de la majorité présidentielle feront leur entrée au gouvernement. Il s’agit du parti PRDR et du parti ADIL malgré le fait que ce dernier ait récemment gelé son adhésion à ce regroupement. Les autres formations politiques de la majorité seront comme l’AJD/MR, qui viennent de rallier avec armes et bagages les soutiens de Aziz resteront sur les carreaux.
Motif ? Seules les formations représentées à l’assemblée nationale auront ce privilège d’entrer au gouvernement. Les autres attendront comme du reste les partis de l’opposition dont certains caressent (secrètement) le rêve de voir la formation d’un gouvernement élargi. Option visiblement qui ne semble pas à l’ordre du jour pour Ould abdel Aziz qui se plait à répéter à celui qui veut l’entendre que l’opposition est faite pour s’opposer pas pour gouverner.
Nous ne sommes pas dans le secret des Dieux mais il est tout à fait logique, pour bon nombre d’observateurs de la scène politique national que le président de la République procède à un changement de gouvernement.
D’après des indiscrétions en provenance du Palais présidentiel, la date de ce chambardement est même déjà arrêtée : cela se passera juste après le retour du Raïs du voyage qu’il entreprendra en Libye dans le cadre d’une médiation initiée par l’Union Africaine. Les mêmes sources indiquent que le tiers des membres du gouvernement seront remerciés.
veridique
Du coup, l’actuel Premier ministre Dr Moulaye Ould Mohamed Laghdaf perd son strapontin mais il sera reconduit par le président de la République qui le chargera de former une nouvelle équipe peut être plus agressive que l’actuelle dont certains membres restent curieusement guindés.
Dans la foulée de ce changement au moins deux partis de la majorité présidentielle feront leur entrée au gouvernement. Il s’agit du parti PRDR et du parti ADIL malgré le fait que ce dernier ait récemment gelé son adhésion à ce regroupement. Les autres formations politiques de la majorité seront comme l’AJD/MR, qui viennent de rallier avec armes et bagages les soutiens de Aziz resteront sur les carreaux.
Motif ? Seules les formations représentées à l’assemblée nationale auront ce privilège d’entrer au gouvernement. Les autres attendront comme du reste les partis de l’opposition dont certains caressent (secrètement) le rêve de voir la formation d’un gouvernement élargi. Option visiblement qui ne semble pas à l’ordre du jour pour Ould abdel Aziz qui se plait à répéter à celui qui veut l’entendre que l’opposition est faite pour s’opposer pas pour gouverner.
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