Le nombre élevé de la population des noirs de Mauritanie à toujours été une source de tracas et d’inquiétudes pour les gouvernements qui ont jusqu'à présent gouverné notre pays. Les noires de la Mauritanie sont des personnes civilisées, pacifiques, instruites et animées de la foi musulmane mais, hélas les gouvernements mauritaniens qui se sont succédé aux trônes n’ont jamais pris cette population comme un capital tangible de la république mais, comme un fardeau contrariant et incommode à leur désinvolture.
Malgré tout les traitements ségrégatifs et congédiant qu’a subi cette population, elle est restée fière et fidèle à leur nation. L’entrave que représente la population des Noirs se traduit par l’échec des recensements des populations qui se sont déroulés dans notre pays tous les dix ans depuis l’indépendance à nos jours. Au préalable pour que notre pays soit légitiment un pays arabe il faudrait que la population arabe soit une majorité écrasante par rapport aux populations non arabe.
Malheureusement ce statut désirée des dirigeants de notre pays ne reflète pas la réalité démographique du pays, d’où les méli-méloo et les contradictions dans tout les projets de recensement.
D’abord Maitre Moktar Ould Daddah avait tenté de procéder par une intervention mécanique et baconienne pour changer le constituant social et démographique de note pays pour redonner le pays sa juste valeur de pays Arabe. Ce faisant, il nomme Mr Kadjata kane comme ministre de femme et des conditions féminines ; celle-ci sans comprendre la malice et la ruse du président Daddah, elle sillonne la région du fleuve sous l’ordre du président de la république pour sensibiliser les populations du fleuve de rompre la pratique de la polygamie.
Car selon le président la polygamie, seulement pratiquée par les noires, est la source primordiale de prolifération de « cette espèce non grata » dans notre pays. Un droit reconnu par Allah dans le sein Coran, entre en conflit avec chauvinisme du président marabout. Rapidement cette procédé se voue à l échec, car à son retour de sa mission, Mme Kane trouve que son mari a épousé une deuxième femme en guise de punition.
Après l’échec de la stratégie de Daddah, d’utiliser Mme kane comme modulateur démographique, commence à penser à importer une population exogène pour rehausser la structure démographique de la population Maure et il déclare dans son discoure d’Atar en hiver1973 que le Sahara occidental est une partie intégrante des territoires mauritaniens, utilisant comme argument que les Sahraouis parlent la même langue, , et ont la même culture que les Maures de Mauritanie.
En se moment là Maitre Wade l’actuel président du Sénégal, était dans l’opposition et déclare en revanche que si l’argument avancé par Daddah est valable, si le Sénégal réclame le sud de la Mauritanie utilisant le même argument, ceci devrait être suffisamment fondé pour que la Mauritanie cède cette rive au Sénégal car la population du sud de la Mauritanie parle la même langue et procède la même culture que le nord du Sénégal.
Cette angoisse démographique mène notre pays à la guerre de Sahara où des milliers de braves combattants noirs périssent pour une cause qui ne les arrange absolument pas. Mais leurs nationalisme, leur civisme, et leur amour a la partie ne les permettaient de laisser la Mauritanie être avalée par le Maroc et l’Algérie.
En Novembre 1978 notre pays connaît encore une nouvelle tentative de recensement. Cette fois-ci les Harratines seront recensés comme Arabe pour donner à ces derniers un avantage de majorité. S’il s’agit de décompte, les Harratines sont considéré comme arabe, et s’il s’agit de partager le gâteau du cota des Arabe, les harratines se retrouvent avec des tâches esclavagistes les plus bas de la nation.
Malgré cette manœuvre les résultats des recensements étaient encore aussi désastreux pour les maures que le pensait le gouvernement mauritanien, raison pour laquelle les recensements de 1978 n’ont jamais vu le jour et sont restés un mystère encore inconnu.
En Décembre 1988 la Mauritanie s’engage encore à une aventure de recensements financés par la Banque Mondiale, car cette fois-ci les Arabes de notre pays se sédentarisent petit à petit ; en effet la stabilité familiale inouïe ou rare chez les maures renforce la procréation.
Désastreux et jamais rendu public, les résultats de ce recensement poussent Ould Taya 1989 à expulser des villages entiers au Sénégal après l’impitoyable expulsion des noirs autochtones par le pond aérien vers le Sénégal ; 120.000 noires intellectuels et actifs se retrouvent en vagabondage dans le pays de Njol Siggui Doxot (Douf).
Après cette opération drastique et injuste de séries de d’altérations démographiques mortelles a subséquemment été perpétrées contre les Noirs, à savoir les massacres des noires qui s’approchait au fleuve ou que l’on trouvaient entrain de ramasser du bois mort pour leur cuisines, et les tortures et exécutions sommaires des Militaires Noirs dans les camps de détention de Jreida, Inal et autres.
En 1998 sachant qu’une partie importante de Notre actif démographique vie a l’exile au Sénégal, au Mali, et dans certains pays occidentaux, Taya introduit cette fois ci le RANVEC pour les expulser de la nationalité mauritanienne sous prétexte qu’il veut assainir l’état civil mauritanien. Cette opération, non seulement a échoué de rendre les noirs minoritaires, mais elle a créé plus d’erreurs et d’aberrations dans l’Etat Civil.
Au moment de la formation des agents recenseurs, on leur avait donné une instruction, de recenser toute personne présente dans le territoire mauritanien. Après être dispatchés dans leur lieux de recensement respectif, les Préfets des départements du fleuve changent cette instruction et exigent la présentation de la carte d’identité Nationale alors que chez les maures au nord cette exigence n’est pas appliquée.
Les recensements à cratère raciale qui se déroulent aujourd’hui dans note pays ne sont qu’une continuité d’une politique d’expulsion et épuration des Noirs. Les noirs sont majoritaires et resteront majoritaires en Mauritanie malgré les tentatives vicieuses des gouvernements qui se sont succédé au trône de notre pays. Ceci se démontre par des évidences empiriques. Les départements du sud à la tète desquels celui de Mbagne sont les plus peuplés de la Mauritanie.
Les noirs se marient à l’âge de 25 chez les garçons et à l’âge 17 ans chez les filles, alors que les Maures ne se marient jamais sauf s’ils sont riches d’où leur course aveuglée vers l’enrichissement. La pratique de la polygamie est normale chez les noirs tandis que le maures le plus brave n’ose pas le faire. Tous les Noirs sont sédentaires et familiale ment stables, alors que chez les maures la majorité est nomades ; un phénomène qui n’est pas favorable à la postérité.
Incontestablement beaucoup de Mauritanien pensent que les Harratines tous seuls font une majorité écrasantes, cette perception est fausse. Les harratines sont une majorité psychologue, d’une part ils ne voyage pas alors que la moitié de la population mauritanienne vie à l’étranger.
Les harratines font les travaux de dehors dans les villes qui fait qu’ils sont apparents. En guise d’illustration si on visite paris on a l’impression que les Magrébins sont majoritaires car ils sont dans les boutiques, les restaurants, les cafés, et les taches qui s’effectuent à l’air libre. Si on visite New York ou Washington on a également l’impression que les Noirs Américains sont majoritaires car il sont dans Drive Through, les Danc’ and Donnets, les Subways..etc.
S’est très difficile de donner des chiffres exacts en évoquant la structure ethnique et démographique de notre pays, mais les réalités du pays sont loin d’être en faveurs des Arabes d’où ces tentatives perpétuelles de diminution et de rabais des Noirs. Pourtant seule les Noirs (Harattines, poular, soninke et wolof) sont capables de diriger notre pays vers un avenir glorieux et rayonnant où tout citoyen mauritanien peut vivre librement avec sa dignité personnelle. Je suis un Maure qui vie a étranger le prophète, PESL nous enseigne "قول الحق ﻮلو كان ﻣﺭﺍ ﻋﻟﻰ ﻧﻔﺴﻚ"
cridem
Malgré tout les traitements ségrégatifs et congédiant qu’a subi cette population, elle est restée fière et fidèle à leur nation. L’entrave que représente la population des Noirs se traduit par l’échec des recensements des populations qui se sont déroulés dans notre pays tous les dix ans depuis l’indépendance à nos jours. Au préalable pour que notre pays soit légitiment un pays arabe il faudrait que la population arabe soit une majorité écrasante par rapport aux populations non arabe.
Malheureusement ce statut désirée des dirigeants de notre pays ne reflète pas la réalité démographique du pays, d’où les méli-méloo et les contradictions dans tout les projets de recensement.
D’abord Maitre Moktar Ould Daddah avait tenté de procéder par une intervention mécanique et baconienne pour changer le constituant social et démographique de note pays pour redonner le pays sa juste valeur de pays Arabe. Ce faisant, il nomme Mr Kadjata kane comme ministre de femme et des conditions féminines ; celle-ci sans comprendre la malice et la ruse du président Daddah, elle sillonne la région du fleuve sous l’ordre du président de la république pour sensibiliser les populations du fleuve de rompre la pratique de la polygamie.
Car selon le président la polygamie, seulement pratiquée par les noires, est la source primordiale de prolifération de « cette espèce non grata » dans notre pays. Un droit reconnu par Allah dans le sein Coran, entre en conflit avec chauvinisme du président marabout. Rapidement cette procédé se voue à l échec, car à son retour de sa mission, Mme Kane trouve que son mari a épousé une deuxième femme en guise de punition.
Après l’échec de la stratégie de Daddah, d’utiliser Mme kane comme modulateur démographique, commence à penser à importer une population exogène pour rehausser la structure démographique de la population Maure et il déclare dans son discoure d’Atar en hiver1973 que le Sahara occidental est une partie intégrante des territoires mauritaniens, utilisant comme argument que les Sahraouis parlent la même langue, , et ont la même culture que les Maures de Mauritanie.
En se moment là Maitre Wade l’actuel président du Sénégal, était dans l’opposition et déclare en revanche que si l’argument avancé par Daddah est valable, si le Sénégal réclame le sud de la Mauritanie utilisant le même argument, ceci devrait être suffisamment fondé pour que la Mauritanie cède cette rive au Sénégal car la population du sud de la Mauritanie parle la même langue et procède la même culture que le nord du Sénégal.
Cette angoisse démographique mène notre pays à la guerre de Sahara où des milliers de braves combattants noirs périssent pour une cause qui ne les arrange absolument pas. Mais leurs nationalisme, leur civisme, et leur amour a la partie ne les permettaient de laisser la Mauritanie être avalée par le Maroc et l’Algérie.
En Novembre 1978 notre pays connaît encore une nouvelle tentative de recensement. Cette fois-ci les Harratines seront recensés comme Arabe pour donner à ces derniers un avantage de majorité. S’il s’agit de décompte, les Harratines sont considéré comme arabe, et s’il s’agit de partager le gâteau du cota des Arabe, les harratines se retrouvent avec des tâches esclavagistes les plus bas de la nation.
Malgré cette manœuvre les résultats des recensements étaient encore aussi désastreux pour les maures que le pensait le gouvernement mauritanien, raison pour laquelle les recensements de 1978 n’ont jamais vu le jour et sont restés un mystère encore inconnu.
En Décembre 1988 la Mauritanie s’engage encore à une aventure de recensements financés par la Banque Mondiale, car cette fois-ci les Arabes de notre pays se sédentarisent petit à petit ; en effet la stabilité familiale inouïe ou rare chez les maures renforce la procréation.
Désastreux et jamais rendu public, les résultats de ce recensement poussent Ould Taya 1989 à expulser des villages entiers au Sénégal après l’impitoyable expulsion des noirs autochtones par le pond aérien vers le Sénégal ; 120.000 noires intellectuels et actifs se retrouvent en vagabondage dans le pays de Njol Siggui Doxot (Douf).
Après cette opération drastique et injuste de séries de d’altérations démographiques mortelles a subséquemment été perpétrées contre les Noirs, à savoir les massacres des noires qui s’approchait au fleuve ou que l’on trouvaient entrain de ramasser du bois mort pour leur cuisines, et les tortures et exécutions sommaires des Militaires Noirs dans les camps de détention de Jreida, Inal et autres.
En 1998 sachant qu’une partie importante de Notre actif démographique vie a l’exile au Sénégal, au Mali, et dans certains pays occidentaux, Taya introduit cette fois ci le RANVEC pour les expulser de la nationalité mauritanienne sous prétexte qu’il veut assainir l’état civil mauritanien. Cette opération, non seulement a échoué de rendre les noirs minoritaires, mais elle a créé plus d’erreurs et d’aberrations dans l’Etat Civil.
Au moment de la formation des agents recenseurs, on leur avait donné une instruction, de recenser toute personne présente dans le territoire mauritanien. Après être dispatchés dans leur lieux de recensement respectif, les Préfets des départements du fleuve changent cette instruction et exigent la présentation de la carte d’identité Nationale alors que chez les maures au nord cette exigence n’est pas appliquée.
Les recensements à cratère raciale qui se déroulent aujourd’hui dans note pays ne sont qu’une continuité d’une politique d’expulsion et épuration des Noirs. Les noirs sont majoritaires et resteront majoritaires en Mauritanie malgré les tentatives vicieuses des gouvernements qui se sont succédé au trône de notre pays. Ceci se démontre par des évidences empiriques. Les départements du sud à la tète desquels celui de Mbagne sont les plus peuplés de la Mauritanie.
Les noirs se marient à l’âge de 25 chez les garçons et à l’âge 17 ans chez les filles, alors que les Maures ne se marient jamais sauf s’ils sont riches d’où leur course aveuglée vers l’enrichissement. La pratique de la polygamie est normale chez les noirs tandis que le maures le plus brave n’ose pas le faire. Tous les Noirs sont sédentaires et familiale ment stables, alors que chez les maures la majorité est nomades ; un phénomène qui n’est pas favorable à la postérité.
Incontestablement beaucoup de Mauritanien pensent que les Harratines tous seuls font une majorité écrasantes, cette perception est fausse. Les harratines sont une majorité psychologue, d’une part ils ne voyage pas alors que la moitié de la population mauritanienne vie à l’étranger.
Les harratines font les travaux de dehors dans les villes qui fait qu’ils sont apparents. En guise d’illustration si on visite paris on a l’impression que les Magrébins sont majoritaires car ils sont dans les boutiques, les restaurants, les cafés, et les taches qui s’effectuent à l’air libre. Si on visite New York ou Washington on a également l’impression que les Noirs Américains sont majoritaires car il sont dans Drive Through, les Danc’ and Donnets, les Subways..etc.
S’est très difficile de donner des chiffres exacts en évoquant la structure ethnique et démographique de notre pays, mais les réalités du pays sont loin d’être en faveurs des Arabes d’où ces tentatives perpétuelles de diminution et de rabais des Noirs. Pourtant seule les Noirs (Harattines, poular, soninke et wolof) sont capables de diriger notre pays vers un avenir glorieux et rayonnant où tout citoyen mauritanien peut vivre librement avec sa dignité personnelle. Je suis un Maure qui vie a étranger le prophète, PESL nous enseigne "قول الحق ﻮلو كان ﻣﺭﺍ ﻋﻟﻰ ﻧﻔﺴﻚ"
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