Les indicateurs politiques, économiques et sécuritaires de la Mauritanie semblent tirés vers le rouge. - Sur le plan politique, le dialogue tant attendu entre la majorité et l’opposition semble s’éloigner dans l’horizon lointain.
Entre une majorité qui semble avoir perdu le nord et une opposition qui peine à suivre le rythme d’une même cadence, le climat politique bouillonne sous le regard fataliste des pauvres citoyens dont nul ne s’intéresse aux souffrances ne serait ce que pour des motivations électoralistes.
Une majorité qui s’effrite et hostile a tout partage du gâteau avec une opposition qui semble placer la barre du dialogue très haute pour réussir sa négociation a la participation a la gestion des affaires. Des opposants d’hier devenus aujourd’hui dissous dans le gouffre de la majorité et des partisans de la majorité d’hier, nostalgiques des privilèges lointains.
- Sur le plan économique, des projets monstres sont lances mais le panier de la ménagère ne cesse de s’affaiblir. D’énormes fonds ont été et continuent d’être récupères dans le programme de la lutte contre la corruption et la gabegie, l’exploration et l’exploitation hasardeuse des richesses naturelles et minières, les grands infrastructures aménagés ou en voie mais le quotidien de la majorité des mauritaniens ne cesse de se détériorer malgré la modeste opération de solidarité conçu par une équipe interministérielle digne d’une équipe des gestionnaires d’une ONG locale opérant dans un quartier pauvre.
La grogne sociale suivie des manifestations dans tous les secteurs est un indicateur du mal vivre des citoyens. Si les salaries n’arrivent plus a joindre les deux bouts, il faudra imaginer les conditions des chômeurs ou des gens sans emploi permanent. Le bras de fer suppose entre le pouvoir et les hommes d’affaires puissants du pays pourra tourner au vinaigre si des compromis ne sont pas trouves.
- Sur le plan sécuritaire, notre pays n’a jamais été aussi menace. Les mauritaniens sont entrain de s’entretuer car il semblerait que la majorité des combattants d’AQMI sont des mauritaniens. Certes, sans sécurité, aucun développement n’est envisageable. Les mauritaniens doivent s’unir et parler le même langage pour s’accorder a une stratégie consensuelle face a la lutte contre le terrorisme qui est devenue une guerre ouverte. Même s’il y’ a un agenda non dit dans cette lutte contre le terrorisme, le temps n’est plus aux critiques des opérations militaires menées par les forces armées.
Beaucoup de mauritaniens sont entrain d’endosser la responsabilité de cette situation critique du pays au Président de la république ce qui est normal car il est le magistrat suprême du pays mais le problème est que le système ne veut pas disparaitre. Nous sommes dirigés par des gens qui ne se retrouvent que dans la médiocrité, l’instabilité et le chaos.
Le système résiste au changement. La résistance au changement perdure et notre Président a le choix entre deux alternatives : bousculer les habitudes et débarquer toute résistance a son projet ou laisser le pouvoir pour voir comment nos experts compétents dans les affaires pourront diriger ce pays et le développer comme ils prétendent s’ils arrivaient au pouvoir.
cridem
Entre une majorité qui semble avoir perdu le nord et une opposition qui peine à suivre le rythme d’une même cadence, le climat politique bouillonne sous le regard fataliste des pauvres citoyens dont nul ne s’intéresse aux souffrances ne serait ce que pour des motivations électoralistes.
Une majorité qui s’effrite et hostile a tout partage du gâteau avec une opposition qui semble placer la barre du dialogue très haute pour réussir sa négociation a la participation a la gestion des affaires. Des opposants d’hier devenus aujourd’hui dissous dans le gouffre de la majorité et des partisans de la majorité d’hier, nostalgiques des privilèges lointains.
- Sur le plan économique, des projets monstres sont lances mais le panier de la ménagère ne cesse de s’affaiblir. D’énormes fonds ont été et continuent d’être récupères dans le programme de la lutte contre la corruption et la gabegie, l’exploration et l’exploitation hasardeuse des richesses naturelles et minières, les grands infrastructures aménagés ou en voie mais le quotidien de la majorité des mauritaniens ne cesse de se détériorer malgré la modeste opération de solidarité conçu par une équipe interministérielle digne d’une équipe des gestionnaires d’une ONG locale opérant dans un quartier pauvre.
La grogne sociale suivie des manifestations dans tous les secteurs est un indicateur du mal vivre des citoyens. Si les salaries n’arrivent plus a joindre les deux bouts, il faudra imaginer les conditions des chômeurs ou des gens sans emploi permanent. Le bras de fer suppose entre le pouvoir et les hommes d’affaires puissants du pays pourra tourner au vinaigre si des compromis ne sont pas trouves.
- Sur le plan sécuritaire, notre pays n’a jamais été aussi menace. Les mauritaniens sont entrain de s’entretuer car il semblerait que la majorité des combattants d’AQMI sont des mauritaniens. Certes, sans sécurité, aucun développement n’est envisageable. Les mauritaniens doivent s’unir et parler le même langage pour s’accorder a une stratégie consensuelle face a la lutte contre le terrorisme qui est devenue une guerre ouverte. Même s’il y’ a un agenda non dit dans cette lutte contre le terrorisme, le temps n’est plus aux critiques des opérations militaires menées par les forces armées.
Beaucoup de mauritaniens sont entrain d’endosser la responsabilité de cette situation critique du pays au Président de la république ce qui est normal car il est le magistrat suprême du pays mais le problème est que le système ne veut pas disparaitre. Nous sommes dirigés par des gens qui ne se retrouvent que dans la médiocrité, l’instabilité et le chaos.
Le système résiste au changement. La résistance au changement perdure et notre Président a le choix entre deux alternatives : bousculer les habitudes et débarquer toute résistance a son projet ou laisser le pouvoir pour voir comment nos experts compétents dans les affaires pourront diriger ce pays et le développer comme ils prétendent s’ils arrivaient au pouvoir.
cridem
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