La grande mosquée de Kaédi, située à Gattaga, a été construite vers l’an 1366 de l’hégire. Son architecture s’inspire du model soudano-sahélien que l’on retrouve dans la plupart des anciennes cités islamiques en Afrique au Sud du Sahara. Au fil des ans, la mosquée s’est dégradée. Elle est aujourd’hui menacée d’effondrement. Les kaédiens ont décidé de réhabiliter cet édifice religieux. Coup global du projet : 42 000 000 UM
Jusque dans un passé très récent, ce haut lieu de culte fédérait, pour la prière du vendredi, toutes les communautés de tous les horizons de Kaédi et même des villages environnants.
La partie ancienne du bâtiment, construite en argile, connaît ces dernières années des dégradations importantes qui, selon de nombreux avis «risquent de mettre en péril les vies humaines».
Suite à ce constat inquiétant, les habitants de la capitale du Gorgol, toutes communautés confondues, ont tenu des réunions de réflexion.
De ces réunions, naîtra un comité de pilotage afin d’évaluer les travaux de restauration et d’assurer le suivi technique.
Ce comité est composé de leaders d’opinions et d’experts en travaux publiques. Ce comité a jugé utile d’effectuer un diagnostic technique général de la mosquée.
Cette étude a, à son tour, confirmé les risques encourus par ce monument et prouvé que sa plus grande partie, qui est construite en banco, se trouve dans un état de vétusté avancée.
Sur la base des recommandations des experts, les leaders d’opinions ont, de manière consensuelle, décidé de procéder à la réhabilitation de la mosquée et de son environnement au lieu de sa démolition. Cette solution aura l’avantage non seulement de répondre au souci de sécurité mais aussi de pouvoir conserver l’architecture originale de la mosquée.
Ce projet a été présenté aux pouvoirs publics, notamment aux ministères des Affaires islamiques et de la Culture
L’idée de réhabilitation d’un haut lieu de culte patrimoine architectural avec une Mahadra séculaire a été bien reçue par ces autorités.
Par ailleurs, les communautés de Kaédi ont entamé une collecte de fonds auprès de tous les fidèles musulmans en lançant un appel pour appui à toutes les bonnes volontés.
Pour d’avantage d’information vous pouvez vous adresser à Tidiane Youssouf Diagana, ingénieur architecte, président du comité de pilotage au numéro : 00 222 632 50 94.
Source : ainrim.com.
Jusque dans un passé très récent, ce haut lieu de culte fédérait, pour la prière du vendredi, toutes les communautés de tous les horizons de Kaédi et même des villages environnants.
La partie ancienne du bâtiment, construite en argile, connaît ces dernières années des dégradations importantes qui, selon de nombreux avis «risquent de mettre en péril les vies humaines».
Suite à ce constat inquiétant, les habitants de la capitale du Gorgol, toutes communautés confondues, ont tenu des réunions de réflexion.
De ces réunions, naîtra un comité de pilotage afin d’évaluer les travaux de restauration et d’assurer le suivi technique.
Ce comité est composé de leaders d’opinions et d’experts en travaux publiques. Ce comité a jugé utile d’effectuer un diagnostic technique général de la mosquée.
Cette étude a, à son tour, confirmé les risques encourus par ce monument et prouvé que sa plus grande partie, qui est construite en banco, se trouve dans un état de vétusté avancée.
Sur la base des recommandations des experts, les leaders d’opinions ont, de manière consensuelle, décidé de procéder à la réhabilitation de la mosquée et de son environnement au lieu de sa démolition. Cette solution aura l’avantage non seulement de répondre au souci de sécurité mais aussi de pouvoir conserver l’architecture originale de la mosquée.
Ce projet a été présenté aux pouvoirs publics, notamment aux ministères des Affaires islamiques et de la Culture
L’idée de réhabilitation d’un haut lieu de culte patrimoine architectural avec une Mahadra séculaire a été bien reçue par ces autorités.
Par ailleurs, les communautés de Kaédi ont entamé une collecte de fonds auprès de tous les fidèles musulmans en lançant un appel pour appui à toutes les bonnes volontés.
Pour d’avantage d’information vous pouvez vous adresser à Tidiane Youssouf Diagana, ingénieur architecte, président du comité de pilotage au numéro : 00 222 632 50 94.
Source : ainrim.com.
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