
La culture de la fanfaronnade,de la légèreté n'a jamais été étrangère à notre pays qui en un laps de temps adopte un style ,une mode mais sans jamais en exploiter les contours.
Au cours des élections,des initiatives crèvent les écrans de notre TVM en mal de programme mais disparaissent aussitôt que la campagne se termine ,si bien que l'on se demande sur la nature de leur existence.
Dans cette perspective les raisons sont à chercher dans les tripes d'une politique inconsistante dont les porteurs ne semblent pas saisir la charge d'engagement investie dans le programme et non dans l'homme tout court.
En voulant accompagner ,un programme ,l'initiative doit au préalable se fondre à celui-ci,par un sacerdoce qui accompagnerait la mise en place de tous les éléments dynamiques qui peuvent changer l'existant. par delà le folklore qui sied bien aux candidats et qui accueillent ses initiatives comme si elles les délivreraient des griffes de l'adversaire alors qu'elles ne sont que des "capteurs des fonds de campagne",ces organisations doivent jouer les prolongations à défaut d'avoir du souffle pour s'attaquer aux côté de leur idole aux grands problèmes de développement. Dans des schémas de développement qui traduisent une vision, les chefs,les concepteur sont davantage besoin de ces initiatives qui en fait ,adoptent un profil de volontariat qui accompagne les politiques dans leur appropriation par les populations. une initiative qui se veut comme contribution au changement doit vivre et faire vivre les idéaux pour lesquelles elle se bat,aussi par la pertinence de ses propositions que lui confère sa proximité avec les populations ,elle doit pouvoir jouer un rôle d'interface entre les bénéficiaires et les décideurs. Après la campagne, comme si le glas a sonné et que les sirènes devenues aphones les troubadours et autres chasseurs de primes se sont tapés pleines les poches ,il ne reste que les autres en quête du pain quotidien tapis comme d'habitude dans la misère. Cet état de fait, n’est que l'expression d'un non engagement qui fait que ,le mauritanien entretien des rapports mécaniques ,fugitifs avec ce qui peut de terminer son avenir et porter crédit à ,la défense de ses idées. Dans cette course effrénée de constitution de ces initiatives encouragées par une certaine presse publique, montre davantage le manque d'assise et de notoriété au plan des audiences. Enfouis sous le silence parce que n'ayant rien à défendre,les initiateurs travaillent peut être en coulisse pour se tailler une place .En bons sous marins ,ont-ils besoin de scaphandre pour se protéger sinon enfiler le turban et monnayer sa personne à tous les coups.
seybane diagana
source: Riminfo
Au cours des élections,des initiatives crèvent les écrans de notre TVM en mal de programme mais disparaissent aussitôt que la campagne se termine ,si bien que l'on se demande sur la nature de leur existence.
Dans cette perspective les raisons sont à chercher dans les tripes d'une politique inconsistante dont les porteurs ne semblent pas saisir la charge d'engagement investie dans le programme et non dans l'homme tout court.
En voulant accompagner ,un programme ,l'initiative doit au préalable se fondre à celui-ci,par un sacerdoce qui accompagnerait la mise en place de tous les éléments dynamiques qui peuvent changer l'existant. par delà le folklore qui sied bien aux candidats et qui accueillent ses initiatives comme si elles les délivreraient des griffes de l'adversaire alors qu'elles ne sont que des "capteurs des fonds de campagne",ces organisations doivent jouer les prolongations à défaut d'avoir du souffle pour s'attaquer aux côté de leur idole aux grands problèmes de développement. Dans des schémas de développement qui traduisent une vision, les chefs,les concepteur sont davantage besoin de ces initiatives qui en fait ,adoptent un profil de volontariat qui accompagne les politiques dans leur appropriation par les populations. une initiative qui se veut comme contribution au changement doit vivre et faire vivre les idéaux pour lesquelles elle se bat,aussi par la pertinence de ses propositions que lui confère sa proximité avec les populations ,elle doit pouvoir jouer un rôle d'interface entre les bénéficiaires et les décideurs. Après la campagne, comme si le glas a sonné et que les sirènes devenues aphones les troubadours et autres chasseurs de primes se sont tapés pleines les poches ,il ne reste que les autres en quête du pain quotidien tapis comme d'habitude dans la misère. Cet état de fait, n’est que l'expression d'un non engagement qui fait que ,le mauritanien entretien des rapports mécaniques ,fugitifs avec ce qui peut de terminer son avenir et porter crédit à ,la défense de ses idées. Dans cette course effrénée de constitution de ces initiatives encouragées par une certaine presse publique, montre davantage le manque d'assise et de notoriété au plan des audiences. Enfouis sous le silence parce que n'ayant rien à défendre,les initiateurs travaillent peut être en coulisse pour se tailler une place .En bons sous marins ,ont-ils besoin de scaphandre pour se protéger sinon enfiler le turban et monnayer sa personne à tous les coups.
seybane diagana
source: Riminfo