Nul n’ignore que de 1986 en 1991 la communauté négro-africaine a connu des épisodes noires : arrestations et détentions arbitraires, tortures, disparation, assassinat, génocide, déportations, confiscation des biens de toutes sortes, vols, viols…les maux sont indescriptibles en détail.
Et il n’y a pas un seul négro-africain qui n’a pas été infecté ou affecté par ce mal. Nul n’ignore aussi que durant toute cette période la politique de l’état mauritanien était d’éliminer par tous les moyens les cadres, les officiers, les sous-officiers et hommes de troupes négro-africains dans toutes les forces de sécurité et défense .
Ce qui fut fait. Actuellement tous les mauritaniens savent que la communauté négro-africaine est sous représentée dans ce secteur et qu’une politique n’est envisagée pour leur retour.
Un état qui se veut moderne et démocratique devrait promouvoir les communautés sous représentées dans les postes de responsabilités comme cela se fait aussi dans certaines institutions internationales. Dans toutes les régions et dans tous les départements du pays les postes de responsabilités militaires sont majoritairement beidanisées allant du commandement militaire en passant par la gendarmerie, la garde nationale à la police.
Ceux qui en doutent peuvent suivre l’actualité nationale sur la TVM pour quelques jours. Ils se rendront à l’évidence. Les reformes constatées au sein de l’armée ne vont nullement dans le sens du changement de cette situation. L’école militaire nouvellement créée n’a recruté que les enfants des officiers et de ceux qui tiennent les hauts des pavés.
En Mauritanie, il est instauré des responsabilités pour telle ou telle catégorie de race ou de tribu. Ce qui n’a aucun fondement démocratique ou scientifique. Et les mauritaniens vivent au quotidien.
M .won
cridem
Et il n’y a pas un seul négro-africain qui n’a pas été infecté ou affecté par ce mal. Nul n’ignore aussi que durant toute cette période la politique de l’état mauritanien était d’éliminer par tous les moyens les cadres, les officiers, les sous-officiers et hommes de troupes négro-africains dans toutes les forces de sécurité et défense .
Ce qui fut fait. Actuellement tous les mauritaniens savent que la communauté négro-africaine est sous représentée dans ce secteur et qu’une politique n’est envisagée pour leur retour.
Un état qui se veut moderne et démocratique devrait promouvoir les communautés sous représentées dans les postes de responsabilités comme cela se fait aussi dans certaines institutions internationales. Dans toutes les régions et dans tous les départements du pays les postes de responsabilités militaires sont majoritairement beidanisées allant du commandement militaire en passant par la gendarmerie, la garde nationale à la police.
Ceux qui en doutent peuvent suivre l’actualité nationale sur la TVM pour quelques jours. Ils se rendront à l’évidence. Les reformes constatées au sein de l’armée ne vont nullement dans le sens du changement de cette situation. L’école militaire nouvellement créée n’a recruté que les enfants des officiers et de ceux qui tiennent les hauts des pavés.
En Mauritanie, il est instauré des responsabilités pour telle ou telle catégorie de race ou de tribu. Ce qui n’a aucun fondement démocratique ou scientifique. Et les mauritaniens vivent au quotidien.
M .won
cridem
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