La Coordination de l’Opposition Démocratique (COD) qui peine depuis quelques temps à s’organiser, a dépassé le plus grand problème sur lequel elle butait : la présidence de la coalition et le choix de celui qui va la diriger, son statut et de son mandat. Bien sûr, la partie se jouait entre deux personnalités Messaoud et Ahmed. Le premier se targuant de la légitimité que lui offrent son score à la présidentielle et son combat contre le putsch, croyait que la présidence de la coalition lui revient de droit. D’autant plus que son rival préside l’institution de l’opposition démocratique.
Pour le second, la dernière élection présidentielle était entachée d’irrégularités et ne reflète point la réalité de sa popularité sur le terrain. En plus de cela, il y a la légitimité historique, le long combat, l’implantation de son parti dans le pays et le nombre de députés qu’il possède à l’assemblée nationale.
Après beaucoup de réunions et de conciliabules, la coordination a réussi à dépasser ce problème en instituant une présidence tournante de deux mois entre les trois pôles la constituant : le FNDD, le RFD et les autre portillons.
A tout seigneur tout honneur, L premier mandat reviendra au président de l’Assemblée Nationale. Il doit être intronisé ce jour, lundi.
source: Biladi
Pour le second, la dernière élection présidentielle était entachée d’irrégularités et ne reflète point la réalité de sa popularité sur le terrain. En plus de cela, il y a la légitimité historique, le long combat, l’implantation de son parti dans le pays et le nombre de députés qu’il possède à l’assemblée nationale.
Après beaucoup de réunions et de conciliabules, la coordination a réussi à dépasser ce problème en instituant une présidence tournante de deux mois entre les trois pôles la constituant : le FNDD, le RFD et les autre portillons.
A tout seigneur tout honneur, L premier mandat reviendra au président de l’Assemblée Nationale. Il doit être intronisé ce jour, lundi.
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