
La promotion de la condition féminine dans le monde politique mauritanien est toujours restée, un objectif difficile à concrétiser sur le terrain de la réalité, exception faite aux rares nominations à des postes clés, qui, d’ailleurs, reflètent un manque cruel de représentativité des femmes qui forment aujourd’hui plus de 51% de la population globale du pays.
Avec le démarrage de l’actuel mandat présidentiel du Président de la République Mohamed Ould Abdel Aziz, la femme mauritanienne retrousse ses manches et loue avec chaleur cette main tendue des nouvelles autorités pour que sa situation stationnaire évolue de cette condition éternelle de citoyenne destinée à jouer les seconds rôles, à défaut de se consacrer aux affaires de la maison, à un statut de femme haut responsable, cadre distingué, présente à tous les niveaux de décision de la pyramide Etat.
Lorsque nous avons soulevé la question de la place de la femme dans le futur gouvernement au Président de la République Mohamed Ould Abdel Aziz, au cours de sa première conférence de presse, organisée à la suite de son investiture, sa réponse a été de nous prier d’attendre la formation de celui-ci pour mieux être édifiée sur nos interrogations.
C’est ainsi que 6 femmes ont fait leur entrée dans le gouvernement du Premier ministre Moulaye Ould Mohamed Laghdaf. Une nouveauté, car non seulement l’effectif a augmenté, mais les femmes ont été nommées aux commandes de portefeuilles ministériels d’extrême importance comme les affaires étrangères et la coopération, la fonction publique, l’investissement…ect.
Dans la perspective du renouvellement de la classe administrative, de l’amont en aval, on se pose aujourd’hui la question de savoir combien de femmes seront nommées lors du prochain Conseil des Ministres aux postes de Secrétaires Généraux ou de Directrices centraux d’établissements publics.
Sur un autre plan, notons que dans cette percée très manifeste de la femme dans les postes de grande responsabilité, la Première Dame fait, parfois l’objet d’un intérêt grandissant de la part des citoyens, notamment des pauvres des quartiers périphériques, qui sont certains que le Président des démunis a à ses côtés une Première Dame des pauvres.
Ceci est d’autant plus vrai si l’on sait que dans les pays démocratiques, les Premières Dames jouent un rôle capital d’ordre social et humanitaire pour donner du bémol à l’action politique des Présidents de la République.
Source: le veridique
Avec le démarrage de l’actuel mandat présidentiel du Président de la République Mohamed Ould Abdel Aziz, la femme mauritanienne retrousse ses manches et loue avec chaleur cette main tendue des nouvelles autorités pour que sa situation stationnaire évolue de cette condition éternelle de citoyenne destinée à jouer les seconds rôles, à défaut de se consacrer aux affaires de la maison, à un statut de femme haut responsable, cadre distingué, présente à tous les niveaux de décision de la pyramide Etat.
Lorsque nous avons soulevé la question de la place de la femme dans le futur gouvernement au Président de la République Mohamed Ould Abdel Aziz, au cours de sa première conférence de presse, organisée à la suite de son investiture, sa réponse a été de nous prier d’attendre la formation de celui-ci pour mieux être édifiée sur nos interrogations.
C’est ainsi que 6 femmes ont fait leur entrée dans le gouvernement du Premier ministre Moulaye Ould Mohamed Laghdaf. Une nouveauté, car non seulement l’effectif a augmenté, mais les femmes ont été nommées aux commandes de portefeuilles ministériels d’extrême importance comme les affaires étrangères et la coopération, la fonction publique, l’investissement…ect.
Dans la perspective du renouvellement de la classe administrative, de l’amont en aval, on se pose aujourd’hui la question de savoir combien de femmes seront nommées lors du prochain Conseil des Ministres aux postes de Secrétaires Généraux ou de Directrices centraux d’établissements publics.
Sur un autre plan, notons que dans cette percée très manifeste de la femme dans les postes de grande responsabilité, la Première Dame fait, parfois l’objet d’un intérêt grandissant de la part des citoyens, notamment des pauvres des quartiers périphériques, qui sont certains que le Président des démunis a à ses côtés une Première Dame des pauvres.
Ceci est d’autant plus vrai si l’on sait que dans les pays démocratiques, les Premières Dames jouent un rôle capital d’ordre social et humanitaire pour donner du bémol à l’action politique des Présidents de la République.
Source: le veridique