La France compte reconvertir une partie de la dette publique mauritanienne en investissements à hauteur de 17 millions d’euros, pour la réalisation d’importants projets de développement.
Cette exonération du lourd fardeau de la dette et de ses intérêts à l’égard de Paris, augure un printemps prometteur de la coopération bilatérale entre la France et la Mauritanie pour les prochaines années.
Le mandat quinquennal du président de la République Mohamed Ould Abdel Aziz reçoit là un bon souffle qui lui permettra d’aller à pas sûrs vers la réalisation de ses engagements électoraux.
Ould Abdel Aziz gagne ainsi un important point dans sa volonté de relancer de plus belle le partenariat politique et socioéconomique entre Nouakchott et les pays riches, particulièrement l’Hexagone, l’Espagne et Washington.
Cette reconversion (de la dette rééchelonnée), évaluée à 17 millions d’euros, touchera principalement les secteurs clés du développement dont la santé, l’éducation, l’approvisionnement en eau potable, l’électricité, la formation professionnelle …etc.
Des secteurs sur lesquels Mohamed Ould Abdel Aziz axe son programme politique, qui des années durant sont restés stationnaires sinon déliquescents. Avec la nouvelle donne de lutte contre le détournement des fonds alloués à ces secteurs, l’investissement accordé par Paris devra cette fois donner d’excellents résultats sur le train de vie des populations.
Par ailleurs, notons qu’à l’instar de la Banque africaine de développement, du Fonds Monétaire international et de la Banque mondiale, qui avaient décidé de reprendre leurs activités en Mauritanie, après le retour de l’ordre constitutionnel en août dernier, Paris s’engage quant à elle de manière forte et résolue dans cette même voie. L’Union européenne n’est pas en reste, car elle avait promis elle aussi de reprendre progressivement sa coopération avec Nouakchott.
Source : Le divan
Cette exonération du lourd fardeau de la dette et de ses intérêts à l’égard de Paris, augure un printemps prometteur de la coopération bilatérale entre la France et la Mauritanie pour les prochaines années.
Le mandat quinquennal du président de la République Mohamed Ould Abdel Aziz reçoit là un bon souffle qui lui permettra d’aller à pas sûrs vers la réalisation de ses engagements électoraux.
Ould Abdel Aziz gagne ainsi un important point dans sa volonté de relancer de plus belle le partenariat politique et socioéconomique entre Nouakchott et les pays riches, particulièrement l’Hexagone, l’Espagne et Washington.
Cette reconversion (de la dette rééchelonnée), évaluée à 17 millions d’euros, touchera principalement les secteurs clés du développement dont la santé, l’éducation, l’approvisionnement en eau potable, l’électricité, la formation professionnelle …etc.
Des secteurs sur lesquels Mohamed Ould Abdel Aziz axe son programme politique, qui des années durant sont restés stationnaires sinon déliquescents. Avec la nouvelle donne de lutte contre le détournement des fonds alloués à ces secteurs, l’investissement accordé par Paris devra cette fois donner d’excellents résultats sur le train de vie des populations.
Par ailleurs, notons qu’à l’instar de la Banque africaine de développement, du Fonds Monétaire international et de la Banque mondiale, qui avaient décidé de reprendre leurs activités en Mauritanie, après le retour de l’ordre constitutionnel en août dernier, Paris s’engage quant à elle de manière forte et résolue dans cette même voie. L’Union européenne n’est pas en reste, car elle avait promis elle aussi de reprendre progressivement sa coopération avec Nouakchott.
Source : Le divan
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