L’opposant mauritanien, Moustapha Ould Limam Chavi'i, a confié à Alakhbar que l’enrôlement en cours constitue un danger et une menace pour la cohésion sociale.
"Avec ce recensement, la Mauritanie vit un concept discriminatoire similaire à celui de l’ivoirité véhiculé dans les années 90, par l’ancien président ivoirien Henri Konan Bédié pour barrer la route à une candidature d’Alassane Dramane Ouattara",a déclaré Moustapha Limame Chavi'i.
Pour Ould Limam Chavi’i, que l'entière responsabilité de la mort du jeune Lamine Mangane à Maghama incombe au régime d’Ould Abdel Aziz.
Il a également appelé tous les mauritaniens à resserrer leurs rangs pour faire échouer la stratégie d’Ould Abdel Aziz, "fondée sur la politique de diviser pour mieux régner".
Il a incité les mauritaniens à faire partir le régime d’Ould Abdel Aziz, qui, selon lui, œuvre pour déstabiliser la coexistence pacifique entre les différentes communautés nationales.
« On peut se taire sur la dilapidation de nos biens publics, et sur les pratiques de malversation commises par le pouvoir au vu et au su de tout le monde. Mais, il n’ya pas de raison qu’on nous perturbe notre cohésion sociale, qui constitue la soupape de notre stabilité » a-t-il conclu.
source: Alakbar
"Avec ce recensement, la Mauritanie vit un concept discriminatoire similaire à celui de l’ivoirité véhiculé dans les années 90, par l’ancien président ivoirien Henri Konan Bédié pour barrer la route à une candidature d’Alassane Dramane Ouattara",a déclaré Moustapha Limame Chavi'i.
Pour Ould Limam Chavi’i, que l'entière responsabilité de la mort du jeune Lamine Mangane à Maghama incombe au régime d’Ould Abdel Aziz.
Il a également appelé tous les mauritaniens à resserrer leurs rangs pour faire échouer la stratégie d’Ould Abdel Aziz, "fondée sur la politique de diviser pour mieux régner".
Il a incité les mauritaniens à faire partir le régime d’Ould Abdel Aziz, qui, selon lui, œuvre pour déstabiliser la coexistence pacifique entre les différentes communautés nationales.
« On peut se taire sur la dilapidation de nos biens publics, et sur les pratiques de malversation commises par le pouvoir au vu et au su de tout le monde. Mais, il n’ya pas de raison qu’on nous perturbe notre cohésion sociale, qui constitue la soupape de notre stabilité » a-t-il conclu.
source: Alakbar
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