Dans ce meeting organisé dans la moughataa d’Arafat, Ould Daddah a ajouté qu’il « n’ y a pas de pouvoir en Mauritanie mais seulement un individu qui dispose de tout, ce qui pousse le RFD à ne plus demander des réformes mais à accorder la priorité à la sauvegarde de la Mauritanie ».
Ould Daddah a évoqué par la suite la situation du secteur de la santé, qu’il a qualifié de « mort clinique », ajoutant que l’Etat et son administration sont paralysés à cause de la centralisation de toutes les décisions entre les mains du président Ould Abdel Aziz, précisant que chaque ministre ou responsable avoue à ceux à qui il a confiance qu’il ne « dispose d’aucune prérogative et ne peut rien faire ».
Le président du Rfd a lancé un appel pressant au président Ould Abdel Aziz et au Premier ministre d’entamer « des réformes sérieuses » dans les domaines politique, économique et sociale, sinon, le changement deviendra inéluctable ». Il a, dans ce cadre, appelé aussi les jeunes à agir pacifiquement pour « sauver la Mauritanie de la déchéance ».
De son côté, le vice-président du Rfd, Mohamed Abdarrahmane Ould Moine, a déclaré que la Mauritanie « traverse une période creuse de son histoire » et que le pouvoir « est obligé de mener des réformes profondes rapidement ou à se préparer à faire face à ce qui est arrivé en Egypte et en Tunisie à Moubarak et à Ben Ali ».
Il a donné, en exemple de « la dérive autoritaire du pouvoir, la promesse faite par Ould Abdel Aziz à la fille du prisonnier Ahmed Ould Khattry de le libérer, ce qui signifie, ajoute Ould Moine, qu’il n’ y a « ni loi ni justice et que et Ould Abdel Aziz est le seul en mesure d’emprisonner de libérer ».
Ould Moine a poursuivi en disant que ce meeting qui est le début d’une série de manifestations similaires que le Rfd compte organiser, « est un message fort à Ould Abdel Aziz pour qu’il entame des réformes véritables, et éviter ainsi le changement violent », selon son expression.
Enfin, l’ex officier Mohamed Lemine Ould El Waer a appelé Ould Abdel Aziz « à sep réparer à partir au plus vite » car « le changement est une chose inéluctable ».
Source : Sahara Medias
Ould Daddah a évoqué par la suite la situation du secteur de la santé, qu’il a qualifié de « mort clinique », ajoutant que l’Etat et son administration sont paralysés à cause de la centralisation de toutes les décisions entre les mains du président Ould Abdel Aziz, précisant que chaque ministre ou responsable avoue à ceux à qui il a confiance qu’il ne « dispose d’aucune prérogative et ne peut rien faire ».
Le président du Rfd a lancé un appel pressant au président Ould Abdel Aziz et au Premier ministre d’entamer « des réformes sérieuses » dans les domaines politique, économique et sociale, sinon, le changement deviendra inéluctable ». Il a, dans ce cadre, appelé aussi les jeunes à agir pacifiquement pour « sauver la Mauritanie de la déchéance ».
De son côté, le vice-président du Rfd, Mohamed Abdarrahmane Ould Moine, a déclaré que la Mauritanie « traverse une période creuse de son histoire » et que le pouvoir « est obligé de mener des réformes profondes rapidement ou à se préparer à faire face à ce qui est arrivé en Egypte et en Tunisie à Moubarak et à Ben Ali ».
Il a donné, en exemple de « la dérive autoritaire du pouvoir, la promesse faite par Ould Abdel Aziz à la fille du prisonnier Ahmed Ould Khattry de le libérer, ce qui signifie, ajoute Ould Moine, qu’il n’ y a « ni loi ni justice et que et Ould Abdel Aziz est le seul en mesure d’emprisonner de libérer ».
Ould Moine a poursuivi en disant que ce meeting qui est le début d’une série de manifestations similaires que le Rfd compte organiser, « est un message fort à Ould Abdel Aziz pour qu’il entame des réformes véritables, et éviter ainsi le changement violent », selon son expression.
Enfin, l’ex officier Mohamed Lemine Ould El Waer a appelé Ould Abdel Aziz « à sep réparer à partir au plus vite » car « le changement est une chose inéluctable ».
Source : Sahara Medias
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