Les invitations pour le grand combat de l’année viennent d’être distribuées. Ce grand rendez-vous, entre la force que symbolise le pouvoir du général Ould Abdel Aziz et la conviction du militantisme incarnée par le messie de l’IRA Biram ould Abeid, aura lieu le 27 et 28 novembre à Inal.
L’événement placé sous le signe des exactions racistes et injustes des 28 soldats négros-Mauritanien verra la participation des hommes de justice, de paix et des organisations de Droit de l’Homme.
Pour le roi de l’arène de la contestation et leader de l’écurie des défenseurs des Droit de l’Homme, Ould Abeid, ce combat rentre dans la longue liste des injustices racistes et esclavagistes de l’Etat Mauritanien. Le chef de fil de la génération des Inconditionnels Résistants Abolitionnistes (I.R.A) compte de nombreux supporteurs et fans au sein de la communauté Harratine marginalisée et constituante l’écrasante majorité du peuple.
Il y a aussi les négro-Mauritanien qui voient désormais en lui un fervent défenseur des opprimés quid l’ethnie ou la race. Les soutiens se renforcent de jours en jours depuis que nombre ont pris conscience du danger que représente le nouveau recensement d’état civil diligenté par l’état et dont la composition de l’équipe ne fait penser à autre chose que la discrimination et le racisme.
De son coté, le tombeur de SIDIOCA et cauchemar de l’opposition, le général et actuel président de la génération Mauritanie Nouvelle compte sur son ministre des affaires islamiques pour lui faire un état des lieux sur le nombre d’hommes que l’état Mauritanien à déjà enterré suite à un hypercut raciste ou « martyrique » des pouvoirs depuis l’indépendance. Aziz compte ainsi sur le soutien des familles des victimes et probablement des éventuels bourreaux de la République.
Pour les observateurs et journalistes de notre ring, le dernier combat entre le messie de l’IRA et le pouvoir d’Aziz et ayant conduit à une sanction de quelques mois de prison du fils de Nelson Mandela s’explique essentiellement par un très mauvais arbitrage. Ainsi, en attendant de voir clairement l’arsenal tactique et stratégique de nos deux lutteurs, aucune erreur n’est permise.
Que la justice, la vérité et la sincérité l’emporte sur le raciste et l’injuste pour la naissance de la Mauritanie de nos rêves. Que Dieu accueille nos morts au paradis. Et nous nous renouvelons nos condoléances.
Cissé housseynou Birama
L’avocat du peuple et le plus proche conseillé
Source : Cissé housseynou Birama
L’événement placé sous le signe des exactions racistes et injustes des 28 soldats négros-Mauritanien verra la participation des hommes de justice, de paix et des organisations de Droit de l’Homme.
Pour le roi de l’arène de la contestation et leader de l’écurie des défenseurs des Droit de l’Homme, Ould Abeid, ce combat rentre dans la longue liste des injustices racistes et esclavagistes de l’Etat Mauritanien. Le chef de fil de la génération des Inconditionnels Résistants Abolitionnistes (I.R.A) compte de nombreux supporteurs et fans au sein de la communauté Harratine marginalisée et constituante l’écrasante majorité du peuple.
Il y a aussi les négro-Mauritanien qui voient désormais en lui un fervent défenseur des opprimés quid l’ethnie ou la race. Les soutiens se renforcent de jours en jours depuis que nombre ont pris conscience du danger que représente le nouveau recensement d’état civil diligenté par l’état et dont la composition de l’équipe ne fait penser à autre chose que la discrimination et le racisme.
De son coté, le tombeur de SIDIOCA et cauchemar de l’opposition, le général et actuel président de la génération Mauritanie Nouvelle compte sur son ministre des affaires islamiques pour lui faire un état des lieux sur le nombre d’hommes que l’état Mauritanien à déjà enterré suite à un hypercut raciste ou « martyrique » des pouvoirs depuis l’indépendance. Aziz compte ainsi sur le soutien des familles des victimes et probablement des éventuels bourreaux de la République.
Pour les observateurs et journalistes de notre ring, le dernier combat entre le messie de l’IRA et le pouvoir d’Aziz et ayant conduit à une sanction de quelques mois de prison du fils de Nelson Mandela s’explique essentiellement par un très mauvais arbitrage. Ainsi, en attendant de voir clairement l’arsenal tactique et stratégique de nos deux lutteurs, aucune erreur n’est permise.
Que la justice, la vérité et la sincérité l’emporte sur le raciste et l’injuste pour la naissance de la Mauritanie de nos rêves. Que Dieu accueille nos morts au paradis. Et nous nous renouvelons nos condoléances.
Cissé housseynou Birama
L’avocat du peuple et le plus proche conseillé
Source : Cissé housseynou Birama
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