COMMUNIQUE
Le 06 janvier 2011, le verdict du jugement trompe l'oeil des militants anti esclavagistes nous tombait sur la tête comme un coup de tonnerre. Notre justice venait encore une fois démontrer sa subordination au pouvoir en condamnant de manière disproportionnée le président de l'IRA Mr Biram Ould Dah Ould Abeid avec deux de ses codétenus à un an d'emprisonnement dont six mois ferme et six autres mois de prison avec sursis pour trois autres détenus assortis d'une forte amende .
L'OCVIDH dénonce cette parodie de justice et constate que notre justice est toujours inféodée au pouvoir exécutif
L'OCVIDH rappelle aux autorités que ces militants de droit de l'homme innocents n'ont fait que leur devoir de dénonciation d'un cas avéré d'esclavage malgré les qualifications que l'on voudrait donner à cet abus sur des filles mineures de 10 et 14 ans et l'esclavagiste Madame Oumoul Leimine semble ne pas être inquiète du fait de la justice à deux vitesses.
L'OCVIDH demande la relaxe immédiate et sans condition de ces militants et des sanctions sévères,conformément à la loi à l'encontre de l'esclavagiste qui serait en totale liberté.
Nous restons attachés à une justice indépendante au service de tous les citoyens Mauritaniens
A tous les militants, restons vigilants et mobilisés jusqu'à la libération de ces vaillants militants de droits humains.
Le président de l'Organisation contre les violations des Droits Humains(OCVIDH)
Mr Diagana Mamadou Youssouf
mail ocvidh001@wanadoo.fr
site www.ocvidh.org
Le 06 janvier 2011, le verdict du jugement trompe l'oeil des militants anti esclavagistes nous tombait sur la tête comme un coup de tonnerre. Notre justice venait encore une fois démontrer sa subordination au pouvoir en condamnant de manière disproportionnée le président de l'IRA Mr Biram Ould Dah Ould Abeid avec deux de ses codétenus à un an d'emprisonnement dont six mois ferme et six autres mois de prison avec sursis pour trois autres détenus assortis d'une forte amende .
L'OCVIDH dénonce cette parodie de justice et constate que notre justice est toujours inféodée au pouvoir exécutif
L'OCVIDH rappelle aux autorités que ces militants de droit de l'homme innocents n'ont fait que leur devoir de dénonciation d'un cas avéré d'esclavage malgré les qualifications que l'on voudrait donner à cet abus sur des filles mineures de 10 et 14 ans et l'esclavagiste Madame Oumoul Leimine semble ne pas être inquiète du fait de la justice à deux vitesses.
L'OCVIDH demande la relaxe immédiate et sans condition de ces militants et des sanctions sévères,conformément à la loi à l'encontre de l'esclavagiste qui serait en totale liberté.
Nous restons attachés à une justice indépendante au service de tous les citoyens Mauritaniens
A tous les militants, restons vigilants et mobilisés jusqu'à la libération de ces vaillants militants de droits humains.
Le président de l'Organisation contre les violations des Droits Humains(OCVIDH)
Mr Diagana Mamadou Youssouf
mail ocvidh001@wanadoo.fr
site www.ocvidh.org
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