Suite à la publication d'une dépêche intitulée "Aziz nomme un planton bien né, n°2 de la Cour des Comptes", une source autorisée a contacté Taqadoumy, afin d'apporter les éclairages suivants aux éléments publiées par notre rédaction :
1- Moustapha Ould Ely Salem est titulaire de deux diplômes de maitrises, l'un en Charia (loi islamique) obtenu en 2006 et l'autre en Droit profane décroché en 2007 ;
2- Début 2007, il a effectué un stage de 3 mois et une période d’essai d'une durée équivalente, au sein de la Cour des Comptes ; suite à cela, il est admis attaché au cabinet du Président de la même institution. Deux mois plus tard, il y devient chef de service des relations publiques et de la coopération.
Il y a une semaine, il devient l'un des adjoints du commissaire du gouvernement auprès de la Cour des Comptes, selon les procédures normales (article 11, loi 93/19 promulgé le 26 janvier 1993, modifé par l'order de loi N° 062007, du 12 janvier 2007).
3- Il n'a ni domicile ni véhicule de fonction et ne touche pas 600.000 ouguiyas mensuels mais recevait une simple prime.
4- La fonction s’avère de pure valeur statutaire car son titulaire n'est pas considéré membre de la Cour des Comptes. Il n'assiste même pas aux conseils de celle-ci.
5- Avant sa promotion, il était proposé parmi d'autre à ce poste et semble la devoir à ses deux diplômes dans deux spécialités requises ; par ailleurs, la Cour des Comptes revendique, aujourd’hui, la quête de sang neuf, afin de répondre aux nouveaux défis, notamment la lutte contre la gabegie engagée par le Président de la République Mohamed Ould Abdel Aziz, avec plus ou moins de fermeté.
6- Le décret de Bâ Mbaré est en date de 23 juin 2009, donc 24h avant l'atterrissage forcé de l'hélicoptère de Ould abdel Aziz.
7- La lecture de la biographie du Général est faite d'après la biographie écrite par sa compagnie et publiée dans son programme électoral. Le Conseil Constitutionnel fait seulement la lecture en de référant aux biographies des candidats.
Source : Taqadoumy
1- Moustapha Ould Ely Salem est titulaire de deux diplômes de maitrises, l'un en Charia (loi islamique) obtenu en 2006 et l'autre en Droit profane décroché en 2007 ;
2- Début 2007, il a effectué un stage de 3 mois et une période d’essai d'une durée équivalente, au sein de la Cour des Comptes ; suite à cela, il est admis attaché au cabinet du Président de la même institution. Deux mois plus tard, il y devient chef de service des relations publiques et de la coopération.
Il y a une semaine, il devient l'un des adjoints du commissaire du gouvernement auprès de la Cour des Comptes, selon les procédures normales (article 11, loi 93/19 promulgé le 26 janvier 1993, modifé par l'order de loi N° 062007, du 12 janvier 2007).
3- Il n'a ni domicile ni véhicule de fonction et ne touche pas 600.000 ouguiyas mensuels mais recevait une simple prime.
4- La fonction s’avère de pure valeur statutaire car son titulaire n'est pas considéré membre de la Cour des Comptes. Il n'assiste même pas aux conseils de celle-ci.
5- Avant sa promotion, il était proposé parmi d'autre à ce poste et semble la devoir à ses deux diplômes dans deux spécialités requises ; par ailleurs, la Cour des Comptes revendique, aujourd’hui, la quête de sang neuf, afin de répondre aux nouveaux défis, notamment la lutte contre la gabegie engagée par le Président de la République Mohamed Ould Abdel Aziz, avec plus ou moins de fermeté.
6- Le décret de Bâ Mbaré est en date de 23 juin 2009, donc 24h avant l'atterrissage forcé de l'hélicoptère de Ould abdel Aziz.
7- La lecture de la biographie du Général est faite d'après la biographie écrite par sa compagnie et publiée dans son programme électoral. Le Conseil Constitutionnel fait seulement la lecture en de référant aux biographies des candidats.
Source : Taqadoumy
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