Les négationnistes maures de la Shoas vont proliférer. En indexant Taya, et en oubliant toute l’actuelle junte et les complices paraétatiques de la presse privée beïdane, de l’opposition beïdane en général, surtout de l’agro-business de la dépossession des terres des Négro-mauritaniens, ou saoudiens ou arabes en général. Les négationnistes vont aussi exalter les mesures étatiques mauresques taillées sur mesure de leur volonté de noyer les injustices subies par les déportés, je veux dire l’inutile Agence raciste d’insertion des réfugiés( ANAIR) qui ne répond à aucun terme de l’accord tripartite sur le droit des réfugiés de recouvrer leurs biens, avec le Sénégal qui s’en fout, et la HCR qui s’en moque également.
Pendant que les peulhs vont se terrer comme des lapins ou se livrer à des bavardages des plus bêtes et incompréhensibles.
Les négationnistes maures de cette espèce vont proliférer, pendant que des instances supérieures de notre lutte se confrontent sur la voie et le moyen à utiliser pour descendre sur le champ de la révolution, la rébellion, l’insurrection ou l’assassinat ciblé de nos meurtriers de haine raciale.
Au niveau des soldats, officiers et autres, à la lecture de l’interview (OCVIDH.ORG, 26/06/10) du président de la Coordination des Anciens Militaires Mauritaniens d’Europe (CAMME), nous pressentons nettement ce doute : à savoir d’épuiser avec les maures les voies de la raison avant de passer à l’assaut physique, sanglant et de non retour du chaos de l’anéantissement.
Au niveau des intellectuels, avec la dernière sortie si pitoyable de N’gaïdé Abderahmane qui a choisi le bruit public corrompu à la vertu du silence douloureux vipérin de la morsure réactive, nous comprenons des questions de principe à expédier d’ordre plus égoïstes qu’altruiste de l’acceptation de la souffrance dans la controverse dissimulée interne pour le règlement pratique du commun affront contre la communauté Négro-mauritanienne exercé par les musulmans arabo-berbères si antéislamique, si antécoranique , dès lors qu’un Noir veut faire prévaloir que la couleur de la peau ne préjuge pas d’infériorité matérielle et morale aux yeux de Dieu et du monde.
Reste dans tout cela ce qu’a si bien indiqué monsieur Boye Alassane et qu’à négligé les Forces de libération africaine de la Mauritanie, leur peuple, leur race, leur communauté. les FLAMM auraient tout réussi, et que Dieu nous nous en garde et pouvait pas être de leur côté, du moment qu’Elles allaient perpétrer l’esclavage de leur noblesse sur leur paria noire à l’identique des maures et des anciens temps qui sont révolus. Gardez-vous donc mesdames et messieurs des Flammes de demander au bon Dieu des choses qui sont révolues. Ce n’est pas malin. Vous vivez dans la société de masse du vingt-et-uniè me siècle ; ne combattez pas l’esclavage et l’apartheid sans que vos anciennes catégories sociales de pêcheurs, artisans, esclaves n’en soient la pierre de lance. Sans quoi, nous ne réussirons rien. D’où la pertinence de l’Initiative de Résurgence du mouvement Abolitionniste de l’esclavage de monsieur Birame Dah Abeid qui raisonne en termes simple et trop dangereux : être Noir équivaut à être esclave ; esclave égale Noir. Sauf l’implication égalitaire de tous les Négro-mauritaniens les armes à la main la cervelle brûlée et le cœur enflammé. Tous égaux devant Dieu et Azrael. Nous revenons à dire que ni intellectuel préoccupé comme N’gaidé de question ontologique ou de subjectivité, voire de susceptibilité , de liberté individuelle au point de fusiller le soldat Boye, ni ce dernier peu compréhensible et décevant d’une élocution sans tenant ni aboutissant qui requerrait plus de silence de sa part que le futile bavardage.
Le bloc de l’humiliation et de la souffrance des Négro-mauritaniens est identique devant leurs bourreaux qui leur font face en ce moment dans un défi infernal. Nous opposons aux soldats de première de l’armée de la république des maures, et des officiers subalternes pour êtres nègres dans cette armée, et intellectuels in opérant dans l’ordre de la question pratique qui nous occupe. Monsieur N’gaïdé comprendra parfaitement ce dernier point théorico-pratique !
Tout ça ne tient pas d’une Initiative sincère, tout ça ne fait pas ressurgir le noble sang peulh souillé par les maures, tout ça ne va pas faire abolir l’esclavage et l’apartheid en Mauritanie. Dieu sait que dans nos villages sénégalo-mauritaniens existent encore des noblesses peules collectives et individuées : le sabre en écharpe qui trancherait la tête de n’importe qui voudrait les soumettre à un ordre qui ne respecte pas leurs normes. C’est la raison pour laquelle le gouvernement sénégalais avait pris la mesure exceptionnelle de faire retirer, par la gendarmerie, aux peulhs ou toucouleurs (je ne connais pas la différence) leur sabre lors des évènements de 1989, pour éviter leur réplique expéditive face à des situations qu’ils jugeraient outrageantes contre leur dignité. Je me demande si ces peulhs ont quelque chose en commun avec les nôtres si bizarres et bavards de la Mauritanie.
Source:Fall Moctar
Pendant que les peulhs vont se terrer comme des lapins ou se livrer à des bavardages des plus bêtes et incompréhensibles.
Les négationnistes maures de cette espèce vont proliférer, pendant que des instances supérieures de notre lutte se confrontent sur la voie et le moyen à utiliser pour descendre sur le champ de la révolution, la rébellion, l’insurrection ou l’assassinat ciblé de nos meurtriers de haine raciale.
Au niveau des soldats, officiers et autres, à la lecture de l’interview (OCVIDH.ORG, 26/06/10) du président de la Coordination des Anciens Militaires Mauritaniens d’Europe (CAMME), nous pressentons nettement ce doute : à savoir d’épuiser avec les maures les voies de la raison avant de passer à l’assaut physique, sanglant et de non retour du chaos de l’anéantissement.
Au niveau des intellectuels, avec la dernière sortie si pitoyable de N’gaïdé Abderahmane qui a choisi le bruit public corrompu à la vertu du silence douloureux vipérin de la morsure réactive, nous comprenons des questions de principe à expédier d’ordre plus égoïstes qu’altruiste de l’acceptation de la souffrance dans la controverse dissimulée interne pour le règlement pratique du commun affront contre la communauté Négro-mauritanienne exercé par les musulmans arabo-berbères si antéislamique, si antécoranique , dès lors qu’un Noir veut faire prévaloir que la couleur de la peau ne préjuge pas d’infériorité matérielle et morale aux yeux de Dieu et du monde.
Reste dans tout cela ce qu’a si bien indiqué monsieur Boye Alassane et qu’à négligé les Forces de libération africaine de la Mauritanie, leur peuple, leur race, leur communauté. les FLAMM auraient tout réussi, et que Dieu nous nous en garde et pouvait pas être de leur côté, du moment qu’Elles allaient perpétrer l’esclavage de leur noblesse sur leur paria noire à l’identique des maures et des anciens temps qui sont révolus. Gardez-vous donc mesdames et messieurs des Flammes de demander au bon Dieu des choses qui sont révolues. Ce n’est pas malin. Vous vivez dans la société de masse du vingt-et-uniè me siècle ; ne combattez pas l’esclavage et l’apartheid sans que vos anciennes catégories sociales de pêcheurs, artisans, esclaves n’en soient la pierre de lance. Sans quoi, nous ne réussirons rien. D’où la pertinence de l’Initiative de Résurgence du mouvement Abolitionniste de l’esclavage de monsieur Birame Dah Abeid qui raisonne en termes simple et trop dangereux : être Noir équivaut à être esclave ; esclave égale Noir. Sauf l’implication égalitaire de tous les Négro-mauritaniens les armes à la main la cervelle brûlée et le cœur enflammé. Tous égaux devant Dieu et Azrael. Nous revenons à dire que ni intellectuel préoccupé comme N’gaidé de question ontologique ou de subjectivité, voire de susceptibilité , de liberté individuelle au point de fusiller le soldat Boye, ni ce dernier peu compréhensible et décevant d’une élocution sans tenant ni aboutissant qui requerrait plus de silence de sa part que le futile bavardage.
Le bloc de l’humiliation et de la souffrance des Négro-mauritaniens est identique devant leurs bourreaux qui leur font face en ce moment dans un défi infernal. Nous opposons aux soldats de première de l’armée de la république des maures, et des officiers subalternes pour êtres nègres dans cette armée, et intellectuels in opérant dans l’ordre de la question pratique qui nous occupe. Monsieur N’gaïdé comprendra parfaitement ce dernier point théorico-pratique !
Tout ça ne tient pas d’une Initiative sincère, tout ça ne fait pas ressurgir le noble sang peulh souillé par les maures, tout ça ne va pas faire abolir l’esclavage et l’apartheid en Mauritanie. Dieu sait que dans nos villages sénégalo-mauritaniens existent encore des noblesses peules collectives et individuées : le sabre en écharpe qui trancherait la tête de n’importe qui voudrait les soumettre à un ordre qui ne respecte pas leurs normes. C’est la raison pour laquelle le gouvernement sénégalais avait pris la mesure exceptionnelle de faire retirer, par la gendarmerie, aux peulhs ou toucouleurs (je ne connais pas la différence) leur sabre lors des évènements de 1989, pour éviter leur réplique expéditive face à des situations qu’ils jugeraient outrageantes contre leur dignité. Je me demande si ces peulhs ont quelque chose en commun avec les nôtres si bizarres et bavards de la Mauritanie.
Source:Fall Moctar
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