
Fille du célèbre et discret ministre des Affaires étrangères du président Moktar, Naha Mint Hamdi Ould Mouknass, promue ministre des Affaires étrangères dans l’actuel gouvernement, est la première femme à occuper un tel poste dans les pays du monde arabe. Un record pour une dame qui a fait ses premiers pas en politique, carrément forcée par le destin, au lendemain du décès de son père qui a laissé ses empreintes indélébiles sur la diplomatie de notre pays.
La plus âgée de ses enfants (deux garçons et deux filles), elle a hérité de ce père, passionné par l’éducation et la réussite de sa progéniture, un parti politique, l’UDP, mais un carnet d’adresses d’or et des relations chaleureuses et fraternelles avec un grand nombre de chefs d’Etats dans le monde. Un héritage inépuisable et apparemment solide.
Contre vents et marées, la jeune fille a réussi, à coup de sacrifices, d’efforts inlassables et de beaucoup d’argent, à conserver le legs de son papa: le parti UDP.
Déçue par Sidi Ould Cheikh Abdellahi, qu’elle prenait pour son père, Mint Mouknass va très vite monter le bateau de la contestation contre lui en s’alliant au général Aziz qui montait une fronde parlementaire qui allait, en définitive, l’amener aux commandes du pays.
Au lendemain de la ‘’rectification’’, elle prit son bâton de pèlerin et visita toutes les capitales du continent plaidant la cause du général qui la récompense aujourd’hui par l’octroi d’un département de souveraineté, certainement très symbolique pour la fille de Hamdi qui, dans la tradition de son père, aurait joué un rôle important dans le rapprochement du général avec le guide libyen, Mouammar Kadhafi, l’un des soutiens déclarés de la rectification.
Source :Biladi
La plus âgée de ses enfants (deux garçons et deux filles), elle a hérité de ce père, passionné par l’éducation et la réussite de sa progéniture, un parti politique, l’UDP, mais un carnet d’adresses d’or et des relations chaleureuses et fraternelles avec un grand nombre de chefs d’Etats dans le monde. Un héritage inépuisable et apparemment solide.
Contre vents et marées, la jeune fille a réussi, à coup de sacrifices, d’efforts inlassables et de beaucoup d’argent, à conserver le legs de son papa: le parti UDP.
Déçue par Sidi Ould Cheikh Abdellahi, qu’elle prenait pour son père, Mint Mouknass va très vite monter le bateau de la contestation contre lui en s’alliant au général Aziz qui montait une fronde parlementaire qui allait, en définitive, l’amener aux commandes du pays.
Au lendemain de la ‘’rectification’’, elle prit son bâton de pèlerin et visita toutes les capitales du continent plaidant la cause du général qui la récompense aujourd’hui par l’octroi d’un département de souveraineté, certainement très symbolique pour la fille de Hamdi qui, dans la tradition de son père, aurait joué un rôle important dans le rapprochement du général avec le guide libyen, Mouammar Kadhafi, l’un des soutiens déclarés de la rectification.
Source :Biladi