24 août 2010 -]b Son excellence Biram Dah Abeid : « Nous considérons que les Noirs se retrouvent, avec les Haratines, dans le camp des victimes, dans le camp des misères [...] C’est la minorité arabo-berbère qui gère »
Chapitre 2. Des Nègres qu’on insulte
Claude K ou Claude Cafard : quelle différence quand il nous traite de Nègre en nous rappelant le marché aux esclaves de Gorée des siècles derniers. La Mauritanie actuelle est un marché aux esclaves : Les maures trafiquent les Noirs, les tuent, les emprisonnent, les attachent, à leur bon gré, comme au bon vieux temps dans d’autres parties du monde. Mais de la part d’un Cafard, c’est de bonne guerre. Il espère protéger la bande à Ely ould Dah condamné à dix ans de réclusion criminelle pour barbarie maure sur des hommes Noirs, et les autres assassins notoires maures, et la liste qui s’allonge de jour en jour d’esclavagistes maures. C’est aux Noirs qu’il injurie de ne pas donner la seconde joue pour se faire gifler. Mais il a choisi sa cible, sans aucun argument que les humiliations ouvertes : ces Noirs qui se coalisent dans une majorité d’esclavagistes et de criminels maures qui ne méritent plus de sérieux, donc le ridicule. Quand on les insulte, ils n’ont rien à redire. Ils ne demandent pas plus que de se donner en clown.
Chapitre 1. Des Noirs qu’on respecte
Tous les analystes maures ont essayé de discuter avec Biram Dah Abeid. Par respect envers son intégrité à ses principes. En présentant des arguments. En désespoir de cause, au plus fort de leur délire esclavagiste et raciste, ils ont commencé à proférer des calomnies, diffamations et menaces contre Biram Dah Abeid. C’est dire que les barrières religieuses sont tombées comme toute mystification démise, des impostures contre les principes d’humanité jadis tenues pour des barrières psychologiques inconscientes à ménager. En réalité, ces esclavagistes maures ne furent tenus par aucun pacte religieux, nous comprenons désormais que l’esclavage et l’apartheid constituent pour eux un système devenu intellectuellement réfléchi et entretenu par la force bestiale qui a animé les racistes afrikaners, klux klux klan, les Claude Cafard, autant que tous les groupuscules ultras et criminels à travers l’histoire du monde.
14 Septembre 2010, c’est au faussaire Beheit Birame Ould Dah Ould Abeid, OU les « mensonges fondateurs » de tomber sa hideuse mascarade de chroniqueur, Il est seulement regrettable que ce pachyderme désespéré nous parle d’équilibre nécessaire où le Hartani resterait le garde-chiourme du maure. Il montait au créneau à mauvais escient. Dans le point le point 5 de sa geste imposteur, il fait une relation essentielle entre le niveau intellectuel et le niveau d’engament pour une cause juste. Pour la Mauritanie, c’est l’ineptie morale des plus grands intellectuels ou ceux-là qui avaient bénéficié dans les premières heures et les périodes suivantes des plus grandes formations qui se sont laissés surprendre par la rage de la perduration esclavagiste maure pour être pendus haut et cours dans tous les rangs des fonctions publiques et armées.
L’ « extrémiste suicidaire Beheit », d’après ses termes, pourquoi pas esclavagiste et génocidaire, chevauche des grands airs en demandant que la lutte contre l’esclavage soit laissée aux maures, les esclavagistes par essence dans leur ensemble, pour preuve Habib Mahfoudh l’eût bien fait, plus perfide encore l’opposition croupion du premier et dernier esclavagiste ould Daddah et ses acolyte seraient anti-esclavagiste. Si et seulement si ces maures opposés à tout sauf l’esclavage mettaient plus de verve à la lutte contre l’esclavage qu’à l’accord de Dakar ou la reconnaissance du putsch comme moyen légitimement maure de recyclage et rééquilibrage du pouvoir intra-maure, nous sortirions en moins d’une semaine du moyen-âge esclavagiste et raciste maure vers les Lumières légitimement espérées par Biram Dah Abeid pour une Mauritanie juste qui réponde à la vocation de sa multi-culturalité et surtout de son slogan sacrilège d’Islam dans la bouche d’un cafard.
15 sept. 2010. La mauvaise foi maure compare l'esclavage moderne en France à l'esclavage de traite négrière en Mauritanie : « Racisme, esclavagisme et pauvreté: Un débat en cours », par Tawfik Mansour : "L’illégalité du statut d’esclave et la variété de ses avatars modernes, notamment dans le secteur de la domesticité, rendent très incertaine l’estimation de son ampleur contemporaine. 1 à 3% du groupe «Affranchis/Esclaves» apparaît, cependant, une fourchette plausible, au regard des cas recensés par les associations de défense des droits de l’Homme – à comparer au 0,3% de la population française, regroupant prostituées «maquées», travailleurs forcés et esclaves domestiques, selon les estimations du Comité Contre l'Esclavage Moderne (CCEM)"
Dans ces dérives à la sémantique floue, la population française est ramenée à la proportion d’esclaves et affranchis en Mauritanie, tout en ignorant l’intensification de l’apartheid qui tend à transformer tous les Noirs de Mauritanie en ESCLAVES authentiquement ESCLAVES, par la coercition de la terreur affameuse des Noirs du régime maure.
Se fonder sur les données du Comité Contre l'Esclavage Moderne, qui parle notamment de l'esclavage moderne en France sous forme de prostitution, esclavage domestique, travail forcé comme esclavage moderne, des phénomènes qui se passent couramment dans les villas des ambassadeurs maures, et le comparer avec l'esclavage nationaliste et national en Mauritanie, c'est vraiment audacieux. Le Comité Contre l'esclavage Moderne, basé à paris, et l'Etat français seront contents d'apprendre cette comparaison.
12 décembre 2010, il y a aussi Ely Ould Krombelé, genre pacotille, en tout cas quelque chose de con qui voit des israéliens partout ! D’après lui, un cercle d'intellectuels maures est persuadé que son excellence Biram Dah Abeid roule pour « Israël et ses alliés. » Des débiles, il n’en manque pas chez ses gens-là comme le journaliste du Calame Jiddou ould Hamoud, qui trahit une feuille de bonne réputation grâce à la terreur que lui inspire le président Biram.
12 décembre 2010 : la bestialité des esclavagistes maures arrêtent Biram Dah Abeid et des Membres d’IRA et du FLERE
Ce n’est que le commencement d’un mauvais cauchemar pour les Cafards. Toute l’histoire est là : « un groupe d’intellectuels maures ». Seulement, il s’agit d’un groupuscule d’esclavagistes, de racistes, nazis, esclavagistes religieux obscurantistes, esclavagistes imposteurs intellects, bref, toute la racaille en panne d’inspiration menacée dans les privilèges que leur procurait le marché d’esclaves que représente le territoire de la Mauritanie sous la dictature maure et que ne cesse de menacer les vérités que distille Biram Dah Abeid comme un vin de grand cru dont le peuple Noir mauritanien a grand soif. La menace pressentie s’est élevée jusqu’à la terreur face aux déclarations cinglantes de Biram Dah Abebid. Twafiq Mansour est extrêmement inquiet par ce qu’il appelle une stigmatisation de la race maure. Pouvait-il en être autrement ?
Fall Moctar
Chapitre 2. Des Nègres qu’on insulte
Claude K ou Claude Cafard : quelle différence quand il nous traite de Nègre en nous rappelant le marché aux esclaves de Gorée des siècles derniers. La Mauritanie actuelle est un marché aux esclaves : Les maures trafiquent les Noirs, les tuent, les emprisonnent, les attachent, à leur bon gré, comme au bon vieux temps dans d’autres parties du monde. Mais de la part d’un Cafard, c’est de bonne guerre. Il espère protéger la bande à Ely ould Dah condamné à dix ans de réclusion criminelle pour barbarie maure sur des hommes Noirs, et les autres assassins notoires maures, et la liste qui s’allonge de jour en jour d’esclavagistes maures. C’est aux Noirs qu’il injurie de ne pas donner la seconde joue pour se faire gifler. Mais il a choisi sa cible, sans aucun argument que les humiliations ouvertes : ces Noirs qui se coalisent dans une majorité d’esclavagistes et de criminels maures qui ne méritent plus de sérieux, donc le ridicule. Quand on les insulte, ils n’ont rien à redire. Ils ne demandent pas plus que de se donner en clown.
Chapitre 1. Des Noirs qu’on respecte
Tous les analystes maures ont essayé de discuter avec Biram Dah Abeid. Par respect envers son intégrité à ses principes. En présentant des arguments. En désespoir de cause, au plus fort de leur délire esclavagiste et raciste, ils ont commencé à proférer des calomnies, diffamations et menaces contre Biram Dah Abeid. C’est dire que les barrières religieuses sont tombées comme toute mystification démise, des impostures contre les principes d’humanité jadis tenues pour des barrières psychologiques inconscientes à ménager. En réalité, ces esclavagistes maures ne furent tenus par aucun pacte religieux, nous comprenons désormais que l’esclavage et l’apartheid constituent pour eux un système devenu intellectuellement réfléchi et entretenu par la force bestiale qui a animé les racistes afrikaners, klux klux klan, les Claude Cafard, autant que tous les groupuscules ultras et criminels à travers l’histoire du monde.
14 Septembre 2010, c’est au faussaire Beheit Birame Ould Dah Ould Abeid, OU les « mensonges fondateurs » de tomber sa hideuse mascarade de chroniqueur, Il est seulement regrettable que ce pachyderme désespéré nous parle d’équilibre nécessaire où le Hartani resterait le garde-chiourme du maure. Il montait au créneau à mauvais escient. Dans le point le point 5 de sa geste imposteur, il fait une relation essentielle entre le niveau intellectuel et le niveau d’engament pour une cause juste. Pour la Mauritanie, c’est l’ineptie morale des plus grands intellectuels ou ceux-là qui avaient bénéficié dans les premières heures et les périodes suivantes des plus grandes formations qui se sont laissés surprendre par la rage de la perduration esclavagiste maure pour être pendus haut et cours dans tous les rangs des fonctions publiques et armées.
L’ « extrémiste suicidaire Beheit », d’après ses termes, pourquoi pas esclavagiste et génocidaire, chevauche des grands airs en demandant que la lutte contre l’esclavage soit laissée aux maures, les esclavagistes par essence dans leur ensemble, pour preuve Habib Mahfoudh l’eût bien fait, plus perfide encore l’opposition croupion du premier et dernier esclavagiste ould Daddah et ses acolyte seraient anti-esclavagiste. Si et seulement si ces maures opposés à tout sauf l’esclavage mettaient plus de verve à la lutte contre l’esclavage qu’à l’accord de Dakar ou la reconnaissance du putsch comme moyen légitimement maure de recyclage et rééquilibrage du pouvoir intra-maure, nous sortirions en moins d’une semaine du moyen-âge esclavagiste et raciste maure vers les Lumières légitimement espérées par Biram Dah Abeid pour une Mauritanie juste qui réponde à la vocation de sa multi-culturalité et surtout de son slogan sacrilège d’Islam dans la bouche d’un cafard.
15 sept. 2010. La mauvaise foi maure compare l'esclavage moderne en France à l'esclavage de traite négrière en Mauritanie : « Racisme, esclavagisme et pauvreté: Un débat en cours », par Tawfik Mansour : "L’illégalité du statut d’esclave et la variété de ses avatars modernes, notamment dans le secteur de la domesticité, rendent très incertaine l’estimation de son ampleur contemporaine. 1 à 3% du groupe «Affranchis/Esclaves» apparaît, cependant, une fourchette plausible, au regard des cas recensés par les associations de défense des droits de l’Homme – à comparer au 0,3% de la population française, regroupant prostituées «maquées», travailleurs forcés et esclaves domestiques, selon les estimations du Comité Contre l'Esclavage Moderne (CCEM)"
Dans ces dérives à la sémantique floue, la population française est ramenée à la proportion d’esclaves et affranchis en Mauritanie, tout en ignorant l’intensification de l’apartheid qui tend à transformer tous les Noirs de Mauritanie en ESCLAVES authentiquement ESCLAVES, par la coercition de la terreur affameuse des Noirs du régime maure.
Se fonder sur les données du Comité Contre l'Esclavage Moderne, qui parle notamment de l'esclavage moderne en France sous forme de prostitution, esclavage domestique, travail forcé comme esclavage moderne, des phénomènes qui se passent couramment dans les villas des ambassadeurs maures, et le comparer avec l'esclavage nationaliste et national en Mauritanie, c'est vraiment audacieux. Le Comité Contre l'esclavage Moderne, basé à paris, et l'Etat français seront contents d'apprendre cette comparaison.
12 décembre 2010, il y a aussi Ely Ould Krombelé, genre pacotille, en tout cas quelque chose de con qui voit des israéliens partout ! D’après lui, un cercle d'intellectuels maures est persuadé que son excellence Biram Dah Abeid roule pour « Israël et ses alliés. » Des débiles, il n’en manque pas chez ses gens-là comme le journaliste du Calame Jiddou ould Hamoud, qui trahit une feuille de bonne réputation grâce à la terreur que lui inspire le président Biram.
12 décembre 2010 : la bestialité des esclavagistes maures arrêtent Biram Dah Abeid et des Membres d’IRA et du FLERE
Ce n’est que le commencement d’un mauvais cauchemar pour les Cafards. Toute l’histoire est là : « un groupe d’intellectuels maures ». Seulement, il s’agit d’un groupuscule d’esclavagistes, de racistes, nazis, esclavagistes religieux obscurantistes, esclavagistes imposteurs intellects, bref, toute la racaille en panne d’inspiration menacée dans les privilèges que leur procurait le marché d’esclaves que représente le territoire de la Mauritanie sous la dictature maure et que ne cesse de menacer les vérités que distille Biram Dah Abeid comme un vin de grand cru dont le peuple Noir mauritanien a grand soif. La menace pressentie s’est élevée jusqu’à la terreur face aux déclarations cinglantes de Biram Dah Abebid. Twafiq Mansour est extrêmement inquiet par ce qu’il appelle une stigmatisation de la race maure. Pouvait-il en être autrement ?
Fall Moctar
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