Ministère des Finances : Rupture avec le passé pour une amorce de la bonne gouvernance.

En effet, il existait des choses étranges au sein de nos administrations. Nous voulons faire allusion aux pratiques qui consistent à choisir ses collaborateurs non pas sur la base des critères de compétences mais plutôt à partir des affinités personnelles.



Ministère des Finances : Rupture avec le passé pour une amorce de la bonne gouvernance.
Il est impensable de développer une nation dans la frustration de ses cadres et dans la discrimination d’une quelconque frange pour des motifs non avouables et malsains.

En effet, il existait des choses étranges au sein de nos administrations. Nous voulons faire allusion aux pratiques qui consistent à choisir ses collaborateurs non pas sur la base des critères de compétences mais plutôt à partir des affinités personnelles.

Conscient des enjeux du monde moderne et des aspirations les plus profondes du peuple mauritanien, le Président de la République, Son Excellence Mohamed Ould Abdel Aziz, a entrepris depuis son accession à la magistrature suprême de mettre en place une autre façon de gouverner.



Parmi ces actions salutaires, il convient de le souligner, le choix à des postes importants « l’homme qu’il faut » parce que compétent, intègre et consciencieux. La nomination du Ministre des Finances illustre, si besoin est, cette détermination à promouvoir la compétence et la rigueur dans la gestion de la chose publique.

Ce Ministre, il n’est point utile de le démontrer, est un professionnel dans les finances ; il connaît bien ses rouages pour avoir occupé des fonctions d’importance : Directeur Adjoint du Budget, Directeur du Budget, Directeur des Impôts, Directeur des Domaines, Inspecteur général d’Etat et Trésorier.

Autre preuve de cette nouvelle orientation est la nomination au poste de Trésorier Général, un technocrate et pur produit du Département. Le Trésorier Général est donc quelqu’un qui connait parfaitement bien ce service tant dans son fonctionnement que dans ses ressources humaines.

Il a ainsi « gravi les échelons » en faisant montre de ses compétences dans les différentes fonctions de Chef du Service de la Comptabilité, Trésorier Général Adjoint, Directeur de la comptabilité publique et Payeur Général du trésor public.

L’importance des actes posés par le Président de la République a été appréciée à sa juste valeur par tous les segments de la société mauritanienne. Le temps est donc au travail pour accompagner la nouvelle dynamique qui consacre la bonne gouvernance.

Ghazali Abdallah.



cridem

Dimanche 6 Mars 2011
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