Le président de l'Assemblée nationale, Messaoud Ould Boulkheir a reçu, lundi, dans son bureau, une mission du parlement européen chargée des relations entre l'Union Européenne et l'UMA sous la conduite de M. Pier Antonio Panzeri.
Auparavant, la délégation européenne a rencontré, le président du sénat, la ministre des Affaires Etrangères et le ministre de l’Intérieur.
Lors de la rencontre à l’Assemblée nationale, qui s'est déroulée en présence d'une délégation parlementaire mauritanienne, le volet politique a accaparé les discussions. Les observations du président de l’APP ont tourné, essentiellement, autour de trois points.
D’abord, il a évoqué les griefs portés à l’Accord de Dakar que l’Union européenne a parrainé et dont certains termes n’ont pas été appliqués. Le comité de suivi de cet accord a tout simplement démissionné. Ensuite, il y a cette dérive autocratique du pouvoir qui se traduit par l’instrumentalisation de la justice et des médias publics. Et enfin, il y a les problèmes liés à la sécurité et aux trafics qui mettent le pays en proie à une instabilité récurrente et permanente car les appareils sécuritaires s’occupent plus de la gestion des affaires politiques.
mck/ainrim
Source: AINRIM
Auparavant, la délégation européenne a rencontré, le président du sénat, la ministre des Affaires Etrangères et le ministre de l’Intérieur.
Lors de la rencontre à l’Assemblée nationale, qui s'est déroulée en présence d'une délégation parlementaire mauritanienne, le volet politique a accaparé les discussions. Les observations du président de l’APP ont tourné, essentiellement, autour de trois points.
D’abord, il a évoqué les griefs portés à l’Accord de Dakar que l’Union européenne a parrainé et dont certains termes n’ont pas été appliqués. Le comité de suivi de cet accord a tout simplement démissionné. Ensuite, il y a cette dérive autocratique du pouvoir qui se traduit par l’instrumentalisation de la justice et des médias publics. Et enfin, il y a les problèmes liés à la sécurité et aux trafics qui mettent le pays en proie à une instabilité récurrente et permanente car les appareils sécuritaires s’occupent plus de la gestion des affaires politiques.
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