La jeunesse noire, en détresse, car exclue de la scolarisation depuis 2012 à
cause des combines d’enrôlement, a déclenché des actions de révoltes à
Nouakchott, Rosso et Boghé pour exprimer son rejet de ce système raciste. Dans
ces mouvements, le régime s’est permis d’infiltrer des délinquants qui ont
agressé des commerçants maures, et de ce fait, faire croire à une attaque
perpétrée par des Noirs en falsifiant des images montrant des maures
soi-disant blessés. Cette démarche ne cache-t-elle pas des actions punitives
du système, visant à réprimer cette jeunesse qui n’arrête pas d’exprimer
son rejet. Face à cette menace, le régime commence à mettre en place des
accusations de manipulation extérieure comme à chaque fois qu''une réaction
légitime de la population a lieu. La manœuvre est claire. C’est le remake
de 1986 quand le régime de Maouiya Ould Sid’ Ahmed Taya falsifia le manifeste
du Négro-Mauritanien opprimé produit par les FLAM, qu’il distribua pour
mobiliser la communauté beydane autour du « péril noir » qu’il fallait
stopper. La suite nous la connaissons : arrestation des cadres des FLAM, dont 4
moururent dans des conditions de détention extrême, déportation de milliers
de Noirs au Sénégal et au Mali en 1989, massacres de populations dans la
vallée dont des fosses ont été découvertes à Wothié et à Sorimalé entre
autres, massacres de militaires négro-mauritaniens en 1990-1991 avec les 28
soldats pendus le 28 novembre 1990 pour célébrer l’indépendance de la
Mauritanie. Cette fois-ci, le but de la manœuvre est de tenter de déclencher
une guerre raciale dont les Noirs feront les frais. Depuis des années, le
régime s’est permis de distribuer des armes lourdes et légères à la
communauté maure pour la préparer à un nouveau pogrom, car cette dernière
est consciente que la communauté harratine ne se fera plus manipuler pour
constituer leur bras armé. Le décès d’Ely Ould Mohamed Vall ancien
directeur de la Sûreté nationale durant des années de braise, survenu le 5
mai 2017 sans avoir répondu de ses actes devant la justice (tortures, massacres
et déportations de populations noires mauritaniennes etc.) pose la question du
« passif humanitaire » et l’impunité dont bénéficient à ce jour tous les
criminels et assassins qui continuent à se pavaner librement dans le pays. Et
aujourd’hui, on assiste à une tentative de minimaliser la composante noire en
Mauritanie par le biais d’un recensement de la population qui s’apparente
plutôt à un génocide biométrique du fait des artifices mis en place pour
empêcher les véritable autochtones de se réclamer du pays de leurs ancêtres,
la Mauritanie. Le régime sera considéré comme seule responsable et coupable
de toute action de soi-disant vengeance exercée par certains maures manipulés
contre les Noirs. La Communauté noire doit refuser toute action
d’intimidation et faire preuve de vigilance face à ces nouvelles menaces.
1966, 1979,1986-1987,1989, 1990-19091 ne se reproduiront plus. Seule la chute de
ce système beydane inique pourra arrêter la marche dangereuse du pays vers une
implosion certaine. Toutes les organisations soucieuses de justice,
d’égalité doivent s’unir pour mettre fin à ce système.
Source: flammauritanie@gmail.com
cause des combines d’enrôlement, a déclenché des actions de révoltes à
Nouakchott, Rosso et Boghé pour exprimer son rejet de ce système raciste. Dans
ces mouvements, le régime s’est permis d’infiltrer des délinquants qui ont
agressé des commerçants maures, et de ce fait, faire croire à une attaque
perpétrée par des Noirs en falsifiant des images montrant des maures
soi-disant blessés. Cette démarche ne cache-t-elle pas des actions punitives
du système, visant à réprimer cette jeunesse qui n’arrête pas d’exprimer
son rejet. Face à cette menace, le régime commence à mettre en place des
accusations de manipulation extérieure comme à chaque fois qu''une réaction
légitime de la population a lieu. La manœuvre est claire. C’est le remake
de 1986 quand le régime de Maouiya Ould Sid’ Ahmed Taya falsifia le manifeste
du Négro-Mauritanien opprimé produit par les FLAM, qu’il distribua pour
mobiliser la communauté beydane autour du « péril noir » qu’il fallait
stopper. La suite nous la connaissons : arrestation des cadres des FLAM, dont 4
moururent dans des conditions de détention extrême, déportation de milliers
de Noirs au Sénégal et au Mali en 1989, massacres de populations dans la
vallée dont des fosses ont été découvertes à Wothié et à Sorimalé entre
autres, massacres de militaires négro-mauritaniens en 1990-1991 avec les 28
soldats pendus le 28 novembre 1990 pour célébrer l’indépendance de la
Mauritanie. Cette fois-ci, le but de la manœuvre est de tenter de déclencher
une guerre raciale dont les Noirs feront les frais. Depuis des années, le
régime s’est permis de distribuer des armes lourdes et légères à la
communauté maure pour la préparer à un nouveau pogrom, car cette dernière
est consciente que la communauté harratine ne se fera plus manipuler pour
constituer leur bras armé. Le décès d’Ely Ould Mohamed Vall ancien
directeur de la Sûreté nationale durant des années de braise, survenu le 5
mai 2017 sans avoir répondu de ses actes devant la justice (tortures, massacres
et déportations de populations noires mauritaniennes etc.) pose la question du
« passif humanitaire » et l’impunité dont bénéficient à ce jour tous les
criminels et assassins qui continuent à se pavaner librement dans le pays. Et
aujourd’hui, on assiste à une tentative de minimaliser la composante noire en
Mauritanie par le biais d’un recensement de la population qui s’apparente
plutôt à un génocide biométrique du fait des artifices mis en place pour
empêcher les véritable autochtones de se réclamer du pays de leurs ancêtres,
la Mauritanie. Le régime sera considéré comme seule responsable et coupable
de toute action de soi-disant vengeance exercée par certains maures manipulés
contre les Noirs. La Communauté noire doit refuser toute action
d’intimidation et faire preuve de vigilance face à ces nouvelles menaces.
1966, 1979,1986-1987,1989, 1990-19091 ne se reproduiront plus. Seule la chute de
ce système beydane inique pourra arrêter la marche dangereuse du pays vers une
implosion certaine. Toutes les organisations soucieuses de justice,
d’égalité doivent s’unir pour mettre fin à ce système.
Source: flammauritanie@gmail.com