Au moment où l’accès aux sources d’information est une demande pressante de tous les acteurs politiques et médiatiques, le PM muselle tous les membres du Gouvernement en leur imposant un motus et bouche cousue.
Pour preuve, cette circulaire qu’il a adressé, au lendemain de l’investiture d’Ould Abdel Aziz et qui impose aux ministres de "ne plus s’adresser à la presse qu’à titre exceptionnel et après autorisation expresse des autorités supérieures compétentes".
La circulaire, toujours en vigueur, est brandie à chaque fois qu’un ministre tente de "vulgariser" l’action de son département. Résultat : la communication du gouvernement est en piètre état.
Totalement retranché, le PM dont les sorties sont rares, vient d’échouer dans ses négociations avec l’Opposition qui l’a disqualifié.
canalrim
Désireux de transformer ce lamentable échec en "exploit", Ould Mohamed Laghdaf a demandé à la TVM d’en assurer la couverture afin d’en porter la responsabilité aux opposants et montrer que le PM est un homme de dialogue. Pour le moment, la TVM et les autres médias de l’Etat résistent à cette pression.
Pour preuve, cette circulaire qu’il a adressé, au lendemain de l’investiture d’Ould Abdel Aziz et qui impose aux ministres de "ne plus s’adresser à la presse qu’à titre exceptionnel et après autorisation expresse des autorités supérieures compétentes".
La circulaire, toujours en vigueur, est brandie à chaque fois qu’un ministre tente de "vulgariser" l’action de son département. Résultat : la communication du gouvernement est en piètre état.
Totalement retranché, le PM dont les sorties sont rares, vient d’échouer dans ses négociations avec l’Opposition qui l’a disqualifié.
canalrim
Désireux de transformer ce lamentable échec en "exploit", Ould Mohamed Laghdaf a demandé à la TVM d’en assurer la couverture afin d’en porter la responsabilité aux opposants et montrer que le PM est un homme de dialogue. Pour le moment, la TVM et les autres médias de l’Etat résistent à cette pression.
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