En un mot, chacun de nous peut, à sa manière, lire en diagonal, en horizontal et en vertical le champ sémantique de ce mini-remaniement ministériel révélateur et qui vient à un moment crucial de l’apogée d'un hémicycle que certains observateurs politiques jugent à tord ou à raison un peu de trop mais à y voir de près,
on voit bien que nos parlementaires, nos élus, nos cadres et nos ministres ne manquent ni de maturité, ni d'imaginations et encore moins de pertinences malgré tout.
Le mini-remaniement ministériel du 10 janvier 2017 qui vient d’attribuer à Mme Maïmouna Mint Taghi et à Mr Mohamed Ould Jibril des portes feuilles de ministres vient dans un contexte particulier certes mais est ce qu’il n’a pas un soubassement de non-dits et surtout un message bien particulier que le Président de la République veut bien lancer en ce début d’année et ce pour donner le ton et le pas à une Mauritanie émergente et une Mauritanie qui gagne et une Mauritanie qui, plus que jamais, bouge, parle et innove ne serait-ce que par le biais des larmes qui se versent en public ?
Verser des larmes chaudes ou de crocodiles dira une députée est le point commun donc entre ces deux nominations qui, rappelons-le sont venues à un moment précis : Le Dr Mohamed Ould Jibril qui était le Directeur de Cabinet du Premier Ministre Yahya Ould Hademine s’est distingué par les pleurs lors des meetings explicatifs du discours de Mohamed Ould Abdel Aziz à Nema, discours que certains politiques voulaient y incriminer les Hratines pour leur faire croire qu’Aziz critique ouvertement la natalité dans ce milieu pauvre …
Par ailleurs, lorsque le Député islamiste de Tawassoul Ould Ghoulam fondit en larmes à l’hémicycle pour dénoncer à sa manière la torture infligée aux détenus d’Ira dans les prisons nationales en évoquant son emprisonnement en Israël pour dire qu’Israël respectait mieux ses prisonniers.
on voit bien que nos parlementaires, nos élus, nos cadres et nos ministres ne manquent ni de maturité, ni d'imaginations et encore moins de pertinences malgré tout.
Le mini-remaniement ministériel du 10 janvier 2017 qui vient d’attribuer à Mme Maïmouna Mint Taghi et à Mr Mohamed Ould Jibril des portes feuilles de ministres vient dans un contexte particulier certes mais est ce qu’il n’a pas un soubassement de non-dits et surtout un message bien particulier que le Président de la République veut bien lancer en ce début d’année et ce pour donner le ton et le pas à une Mauritanie émergente et une Mauritanie qui gagne et une Mauritanie qui, plus que jamais, bouge, parle et innove ne serait-ce que par le biais des larmes qui se versent en public ?
Verser des larmes chaudes ou de crocodiles dira une députée est le point commun donc entre ces deux nominations qui, rappelons-le sont venues à un moment précis : Le Dr Mohamed Ould Jibril qui était le Directeur de Cabinet du Premier Ministre Yahya Ould Hademine s’est distingué par les pleurs lors des meetings explicatifs du discours de Mohamed Ould Abdel Aziz à Nema, discours que certains politiques voulaient y incriminer les Hratines pour leur faire croire qu’Aziz critique ouvertement la natalité dans ce milieu pauvre …
Par ailleurs, lorsque le Député islamiste de Tawassoul Ould Ghoulam fondit en larmes à l’hémicycle pour dénoncer à sa manière la torture infligée aux détenus d’Ira dans les prisons nationales en évoquant son emprisonnement en Israël pour dire qu’Israël respectait mieux ses prisonniers.
La députée Mint Taghi lui répondit par les pleurs et larmes en dénonçant la torture subie par les Palestiniens dans les prisons israéliennes pour dire que l’État hébreu ne mérite même pas d’être cité comme référence ou modèle de Pays en matière des droits de l’Homme …
Plus, la Députée Souadetou Mamadou Wane de l’AJD/MR en réponse aux deux députés Ghoulam et Mint Taghi se lâche, elle aussi, à sa manière et dit avec pertinence que ce ne sont que des larmes de crocodiles qui se versent et qu’au lieu de pleurer la cause palestinienne, il fallait pleurer la cause des frères négro-africains déportés, tués, privés de leurs droits dans leur propre pays …
C’est dans ce contexte particulier que Dr Yahya ould Hademine, le Premier Ministre reste en place selon le principe qui veut dire qu’on ne change pas une équipe qui gagne et c’est dans ce contexte aussi et sur fond de brouille avec le Maroc qu’on procède à un remaniement de décors et la seule chose qui a retenu vraiment mon attention est le cas de la Ministre Dr Vatimetou Mint Habib, la Ministre des Affaires Sociales, de l’Enfance et de la famille, anciennement ministre de l’élevage qui, selon les dires, a refusé de défendre le projet de loi sur les Violences Basées sur le Genre (VBG), projet présenté au parlement.
Pour elle, selon beaucoup de sources, ce projet en plus d’être en porte à faux avec la religion musulmane ou du moins la Chariaa islamique a été conçu et concocté sans l’aval et la collaboration de son Ministère … Si de tels propos sont vrais, qu’elle trouve, ici, toute ma solidarité.
Car, en réalité, le statut de la femme mauritanienne ne doit en aucun cas être dicté par les Ong et tous ceux qui parlent au nom des droits de l’Homme, ceux qui agissent dans l’ombre pour créer les troubles en connexion avec ces féministes osés comme si, le monde musulman n’avait pas connu les droits de l’Homme et de la femme bien avant tous ceux là. Agir de manière à ce que la femme puisse traduire en Justice et trainer son mari devant les tribunaux, pas même un cadi, et voir ainsi le noyau de la société, la famille, les enfants…tout partir en lambeaux ne sert pas les bonnes causes et si tel est l’objectif du projet, je demande à ce que des comptes soient demandés aux initiateurs car, je vois là un coup fourré à nos équilibres et surtout à la quiétude et stabilité sociale dans un monde qui se cherche car victime des terrorismes de toutes les couleurs …
Bravo donc aux nouveaux ministres promus qui ont su innover pour s’attirer les faveurs et être récompensés de telle manière et un clin d’œil particulier à Mr Seydna Aly Ould Mohamed Khouna, frère cadet de l’ex Premier Ministre Mr Cheikh el Avia O Mohamed Khouna qui, calme, discret, fidèle, compétent et bénéficiant d’une grande aura dans son fief natal d’Amourj, bénéficie lui aussi d’une promotion méritée malgré tout ce qui se dit …
Félicitations aussi parce que ami, promotionnaire, Homme politique et allié politique d’un groupe de notables assez forts, d’élus et de cadres disposés même si la Moughataa d’Amourj, notre bled commun, malgré les quelques gestes hésitants encore depuis l’ère d’Aziz, reste malheureusement, un haut lieu de coups bas, de coups hauts, de calculs et où la misère, l’analphabétisme, la marginalisation, l’exclusion, l’impartialité des choix, l’héritage du tribalisme, les séquelles de l’esclavage en plus de la délimitation arbitraire administrative en trois communes au lieu de Huit, les tares sociales, les mentalités…restent un handicap pour le développement d’une moughataa où votent potentiellement plus de 50.000 fidèles électeurs laissés pour compte dans un environnent assez ingrat.
Confinés dans trois communes rurales de fortunes et où le seul lot qu’on se partage tous en commun est un océan de pauvreté et de misère, nous continuons dans cette Moughataa à scruter l’avènement d’approches plus pertinentes afin que l’on puisse tous dire, ensemble, plus jamais çà …
En un mot, chacun de nous peut, à sa manière, lire en diagonal, en horizontal et en vertical le champ sémantique de ce mini-remaniement ministériel révélateur et qui vient à un moment crucial de l’apogée d’un hémicycle que certains observateurs politiques jugent à tord ou à raison un peu de trop mais à y voir de près, on voit bien que nos parlementaires, nos élus, nos cadres et nos ministres ne manquent ni de maturité, ni d’imaginations et encore moins de pertinences malgré tout.
Idoumou Ould Beiby
Voir aussi l’intervention du Ministre de la Justice Brahim Ould Daddah
Pour elle, selon beaucoup de sources, ce projet en plus d’être en porte à faux avec la religion musulmane ou du moins la Chariaa islamique a été conçu et concocté sans l’aval et la collaboration de son Ministère … Si de tels propos sont vrais, qu’elle trouve, ici, toute ma solidarité.
Car, en réalité, le statut de la femme mauritanienne ne doit en aucun cas être dicté par les Ong et tous ceux qui parlent au nom des droits de l’Homme, ceux qui agissent dans l’ombre pour créer les troubles en connexion avec ces féministes osés comme si, le monde musulman n’avait pas connu les droits de l’Homme et de la femme bien avant tous ceux là. Agir de manière à ce que la femme puisse traduire en Justice et trainer son mari devant les tribunaux, pas même un cadi, et voir ainsi le noyau de la société, la famille, les enfants…tout partir en lambeaux ne sert pas les bonnes causes et si tel est l’objectif du projet, je demande à ce que des comptes soient demandés aux initiateurs car, je vois là un coup fourré à nos équilibres et surtout à la quiétude et stabilité sociale dans un monde qui se cherche car victime des terrorismes de toutes les couleurs …
Bravo donc aux nouveaux ministres promus qui ont su innover pour s’attirer les faveurs et être récompensés de telle manière et un clin d’œil particulier à Mr Seydna Aly Ould Mohamed Khouna, frère cadet de l’ex Premier Ministre Mr Cheikh el Avia O Mohamed Khouna qui, calme, discret, fidèle, compétent et bénéficiant d’une grande aura dans son fief natal d’Amourj, bénéficie lui aussi d’une promotion méritée malgré tout ce qui se dit …
Félicitations aussi parce que ami, promotionnaire, Homme politique et allié politique d’un groupe de notables assez forts, d’élus et de cadres disposés même si la Moughataa d’Amourj, notre bled commun, malgré les quelques gestes hésitants encore depuis l’ère d’Aziz, reste malheureusement, un haut lieu de coups bas, de coups hauts, de calculs et où la misère, l’analphabétisme, la marginalisation, l’exclusion, l’impartialité des choix, l’héritage du tribalisme, les séquelles de l’esclavage en plus de la délimitation arbitraire administrative en trois communes au lieu de Huit, les tares sociales, les mentalités…restent un handicap pour le développement d’une moughataa où votent potentiellement plus de 50.000 fidèles électeurs laissés pour compte dans un environnent assez ingrat.
Confinés dans trois communes rurales de fortunes et où le seul lot qu’on se partage tous en commun est un océan de pauvreté et de misère, nous continuons dans cette Moughataa à scruter l’avènement d’approches plus pertinentes afin que l’on puisse tous dire, ensemble, plus jamais çà …
En un mot, chacun de nous peut, à sa manière, lire en diagonal, en horizontal et en vertical le champ sémantique de ce mini-remaniement ministériel révélateur et qui vient à un moment crucial de l’apogée d’un hémicycle que certains observateurs politiques jugent à tord ou à raison un peu de trop mais à y voir de près, on voit bien que nos parlementaires, nos élus, nos cadres et nos ministres ne manquent ni de maturité, ni d’imaginations et encore moins de pertinences malgré tout.
Idoumou Ould Beiby
Voir aussi l’intervention du Ministre de la Justice Brahim Ould Daddah
Source:http://rimweekly.net