Au moins 38 personnes ont été blessées dans les affrontements à Benghazi, ville située à l’est de Libye, a rapporté mercredi un journal libyen.
Les forces de sécurité et les manifestants se sont opposés mardi soir, a indiqué le journal libyen Quryna.
La manifestation a commencé par un sit-in des familles des prisonniers tués dans une fusillade en 1996 à la prison Abu Salim de Tripoli pour demander la libération de leur avocat Fethi Tarbel.
M. Tarbel a été arrêté pour avoir "propagé des rumeurs selon lesquelles la prison (à Tripoli) "était en feu, selon Quryna, mais a été libéré après la manifestation.
Les manifestants se sont rassemblés aux premières heures de la matinée devant le siège de la police et ont scandé des slogans contre "les dirigeants corrompus du pays".
Quatorze personnes ont été blessées dans ces affrontements, dont trois manifestants et 10 officiels de la sécurité.
Les manifestants anti-gouvernementaux ont également appelé les citoyens à se mobiliser jeudi lors de la "Journée de la colère", dans l’espoir d’imiter les récents soulèvements populaires en Tunisie et en Egypte et ainsi mettre fin aux 41 années de règne du colonel Mouammar Kadhafi.
L’agence de presse officielle du pays n’a pas mentionné les manifestations, ne rapportant que la manifestation organisée par les partisans de Kadhafi dans la capitale Tripoli, à Benghazi et dans d’autres villes.
Les forces de sécurité et les manifestants se sont opposés mardi soir, a indiqué le journal libyen Quryna.
La manifestation a commencé par un sit-in des familles des prisonniers tués dans une fusillade en 1996 à la prison Abu Salim de Tripoli pour demander la libération de leur avocat Fethi Tarbel.
M. Tarbel a été arrêté pour avoir "propagé des rumeurs selon lesquelles la prison (à Tripoli) "était en feu, selon Quryna, mais a été libéré après la manifestation.
Les manifestants se sont rassemblés aux premières heures de la matinée devant le siège de la police et ont scandé des slogans contre "les dirigeants corrompus du pays".
Quatorze personnes ont été blessées dans ces affrontements, dont trois manifestants et 10 officiels de la sécurité.
Les manifestants anti-gouvernementaux ont également appelé les citoyens à se mobiliser jeudi lors de la "Journée de la colère", dans l’espoir d’imiter les récents soulèvements populaires en Tunisie et en Egypte et ainsi mettre fin aux 41 années de règne du colonel Mouammar Kadhafi.
L’agence de presse officielle du pays n’a pas mentionné les manifestations, ne rapportant que la manifestation organisée par les partisans de Kadhafi dans la capitale Tripoli, à Benghazi et dans d’autres villes.
Actualités













