Le wolof est la deuxième langue de communication en Mauritanie. « C’est une langue très séduisante, utilisée surtout pour les jeunes pour qui le wolof est perçu comme une langue d’émancipation…. Chez la jeunesse noire mauritanienne, tout jeune qui ne parle pas le wolof ou le français est considéré comme un démodé ».
L’ancien Président du HCE et l’actuel Président de la République sont quelque part de purs produits de cette communauté. Pourquoi alors l’exclusion et la marginalisation des wolofs?
La composante wolof estimée environ à 9% de la population mauritanienne a toujours été exclue, marginalisée et piétinée par les autorités mauritaniennes. Cet état de fait est incompréhensible et inacceptable.
Ceux qui ont parlé en son nom et qui continuent à le faire aujourd’hui, se soucient très peu ou même pas des préoccupations de cette communauté. Ces préoccupations entre en droite ligne avec celles des exclus et marginalisés de ce pays. La composante nationale wolof est cependant caractérisée par :
- Ses femmes continuant à dominer le marché des bonnes et femmes de ménages,
- De jeunes cadres marginalisés et diabolisés par ceux la même qui devraient assurer leur promotion,
- Une jeunesse désœuvrée et livrée a elle-même,
- Ses terres spoliées,
- La non assistance des autorités et de son élite, hormis quelques jeunes cadres sans fonction mais très dévoués.
Depuis près de 20 ans, quarte leaders (peu charismatique) supposés représenter les wolofs se sont succédés sur la scène. Ces soit disant leader évitent du mieux qu’ils peuvent le contact avec les populations a la base et se soucient plus de leur carrière personnelle que de la situation misérable qui règne dans les villages wolofs.
Aujourd’hui, le constat est que cette communauté reste peu motivée et incapable de se faire entendre. Cette situation est soutenue et encouragée par ceux qui sont sensés la représenter au plus haut niveau. Je veux parler de M’Backe Fall, Nguissaly Fall, Ba Madine et consort.
Appel est lancé au Président de la République, pour ordonner les mesures appropriées pour lever le bouclier sur les jeunes cadres wolofs.
cridem
L’ancien Président du HCE et l’actuel Président de la République sont quelque part de purs produits de cette communauté. Pourquoi alors l’exclusion et la marginalisation des wolofs?
La composante wolof estimée environ à 9% de la population mauritanienne a toujours été exclue, marginalisée et piétinée par les autorités mauritaniennes. Cet état de fait est incompréhensible et inacceptable.
Ceux qui ont parlé en son nom et qui continuent à le faire aujourd’hui, se soucient très peu ou même pas des préoccupations de cette communauté. Ces préoccupations entre en droite ligne avec celles des exclus et marginalisés de ce pays. La composante nationale wolof est cependant caractérisée par :
- Ses femmes continuant à dominer le marché des bonnes et femmes de ménages,
- De jeunes cadres marginalisés et diabolisés par ceux la même qui devraient assurer leur promotion,
- Une jeunesse désœuvrée et livrée a elle-même,
- Ses terres spoliées,
- La non assistance des autorités et de son élite, hormis quelques jeunes cadres sans fonction mais très dévoués.
Depuis près de 20 ans, quarte leaders (peu charismatique) supposés représenter les wolofs se sont succédés sur la scène. Ces soit disant leader évitent du mieux qu’ils peuvent le contact avec les populations a la base et se soucient plus de leur carrière personnelle que de la situation misérable qui règne dans les villages wolofs.
Aujourd’hui, le constat est que cette communauté reste peu motivée et incapable de se faire entendre. Cette situation est soutenue et encouragée par ceux qui sont sensés la représenter au plus haut niveau. Je veux parler de M’Backe Fall, Nguissaly Fall, Ba Madine et consort.
Appel est lancé au Président de la République, pour ordonner les mesures appropriées pour lever le bouclier sur les jeunes cadres wolofs.
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