Tromper loin d’être un crime en politique peut constituer une stratégie pour calmer un peuple. Mais le cas Mauritanien relève d’une autre dimension difficile à comprendre. L’exception est devenue la règle au point où le citoyen doit suivre pour survivre.
Mais ceux qui croient encore à l’existence d’une divinité savent que ce monde ne mérite que sincérité et vérité afin de vivre pour l’éternité. Les mensonges de notre gouvernement cachent en réalité une incompétence qui ne dit pas son nom et un forcing injustifiable.
Certes l’espoir est la seule chose qui permet à un peuple de tenir debout dans les décombres des crises politiques, sociales ou économique mais le jeu de la tromperie est la plus grande immoralité qui force une nation à perdre toute patience.
Aujourd’hui, au lendemain du mois de Mars ou mois des grandes promesses, le pouvoir d’Aziz prend l’identité de beaucoup de promesses sans lendemain, des règlements de compte au quotidien, des accusations politiques, une justice hors norme, une gestion qui force le regret etc.
Pour preuve :
- Où et quant à eu lieu l’organisation des états généraux de l’éducation que l’on nous promettait pour Mars ?
- Où sont les 250 nouveaux postes que nous promettait notre incroyable Laghdaf pour Mars ?
- Peut-on encore croire aux plus de 3000 postes de la SNIM ?
- Combien de citoyens ont une pièce d’identité valable ?
- Depuis quant devait débuter le recensement ?
- Combien de nouveaux majeurs marchent encore sans carte d’identité ?
- Dans quelle condition les élections municipales et législatives respecteront le calendrier de 2011 ?
- Qu’elle est la crédibilité d’un gouvernement qui confond Mars et Avril pour nous servir des poissons de « praaaaaaaaaa » sur les questions les plus éventuelles de notre peuple ?
Loin de terminer les interrogations, Aziz doit comprendre que pour une Mauritanie Nouvelle il est temps de recadrer les choses.
Cissé Housseynou Birama
L’avocat du Peuple et le plus proche conseiller
Source: Cissé Housseynou Birama
Mais ceux qui croient encore à l’existence d’une divinité savent que ce monde ne mérite que sincérité et vérité afin de vivre pour l’éternité. Les mensonges de notre gouvernement cachent en réalité une incompétence qui ne dit pas son nom et un forcing injustifiable.
Certes l’espoir est la seule chose qui permet à un peuple de tenir debout dans les décombres des crises politiques, sociales ou économique mais le jeu de la tromperie est la plus grande immoralité qui force une nation à perdre toute patience.
Aujourd’hui, au lendemain du mois de Mars ou mois des grandes promesses, le pouvoir d’Aziz prend l’identité de beaucoup de promesses sans lendemain, des règlements de compte au quotidien, des accusations politiques, une justice hors norme, une gestion qui force le regret etc.
Pour preuve :
- Où et quant à eu lieu l’organisation des états généraux de l’éducation que l’on nous promettait pour Mars ?
- Où sont les 250 nouveaux postes que nous promettait notre incroyable Laghdaf pour Mars ?
- Peut-on encore croire aux plus de 3000 postes de la SNIM ?
- Combien de citoyens ont une pièce d’identité valable ?
- Depuis quant devait débuter le recensement ?
- Combien de nouveaux majeurs marchent encore sans carte d’identité ?
- Dans quelle condition les élections municipales et législatives respecteront le calendrier de 2011 ?
- Qu’elle est la crédibilité d’un gouvernement qui confond Mars et Avril pour nous servir des poissons de « praaaaaaaaaa » sur les questions les plus éventuelles de notre peuple ?
Loin de terminer les interrogations, Aziz doit comprendre que pour une Mauritanie Nouvelle il est temps de recadrer les choses.
Cissé Housseynou Birama
L’avocat du Peuple et le plus proche conseiller
Source: Cissé Housseynou Birama
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