Les jeunes sont forts. Ils sont enthousiastes. Il rêve d’un monde meilleur, et c’est le cas pour un maximum de jeunes. Les autres sont vieux avant d’être jeunes. Ça a toujours existé.
Un jeune a toute sa vie devant lui. Il a des projets dans sa tête et une idée du monde dans lequel il aimerait vivre. Si le monde qui l’entoure n’y ressemble pas, il est tout à fait naturel et humain de vouloir le transformer, c’est ça aussi, être jeune. Nous l’avons fait lorsque nous étions jeunes.
Ceux de mon âge et ceux de la génération avant qu’on appelle les soixante-huitards continuent à rêver de changer le monde qui ne ressemble toujours pas à celui que nous espérions ; même si il faut bien le dire, ça c’est plutôt aggravé depuis l’avènement au pouvoir suprême du gouvernement* actuel.
Nous devons laisser la place aux jeunes qui rêvent à leur tour. Nous avons empêché nos enfants de rêver le leur. En fait nous les avons embarqués dans nos propres rêves, parce qu’ils nous faisaient confiance. Ils pensaient qu’on allait finir ce que nous avions commencé.
Il me semble que les jeunes qui sont dans la rue aujourd’hui nous ressemblent. Ils avaient des slogans d’espoir de monde meilleur, de société plus solidaire, de non violence, de « merdes aux profits » et d’appel à la vraie vie,
Aziz Dème
cridem
Un jeune a toute sa vie devant lui. Il a des projets dans sa tête et une idée du monde dans lequel il aimerait vivre. Si le monde qui l’entoure n’y ressemble pas, il est tout à fait naturel et humain de vouloir le transformer, c’est ça aussi, être jeune. Nous l’avons fait lorsque nous étions jeunes.
Ceux de mon âge et ceux de la génération avant qu’on appelle les soixante-huitards continuent à rêver de changer le monde qui ne ressemble toujours pas à celui que nous espérions ; même si il faut bien le dire, ça c’est plutôt aggravé depuis l’avènement au pouvoir suprême du gouvernement* actuel.
Nous devons laisser la place aux jeunes qui rêvent à leur tour. Nous avons empêché nos enfants de rêver le leur. En fait nous les avons embarqués dans nos propres rêves, parce qu’ils nous faisaient confiance. Ils pensaient qu’on allait finir ce que nous avions commencé.
Il me semble que les jeunes qui sont dans la rue aujourd’hui nous ressemblent. Ils avaient des slogans d’espoir de monde meilleur, de société plus solidaire, de non violence, de « merdes aux profits » et d’appel à la vraie vie,
Aziz Dème
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