Des députés de l’opposition ont déploré hier dans les locaux de l’assemblée nationale la répression musclée menée le même jour par les forces de l’ordre contre les manifestants des jeunes du 25 février, évoquant une « journée noire de l’histoire du pays » et affirmant avoir été empêchés d’exercer leur travail portant sur la surveillance des actions de l’autorité.
Les députés Ufp Moustapha Ould Bedreddine, Rfd Abderrahmane Ould Mini, Tawassoul Mohamed Mahmoud Ould Saleck en plus de l’App ont unanimes indiqué qu’ils ne permettront pas la répression des jeunes, soulignant qu’ils seront proches des manifestations pour suivre de prés l’évolution des événements, regrettant d’avoir constaté des traitements abusifs à l’endroit de certaines personnes arrêtées dont le refus de leur donner à boire, à manger ou à leur servir du thé.
Les députés de l’opposition avaient également évoqué leur visite effectuée aux commissariats de police où sont détenus les jeunes interpellés, saluant l’attitude de certains commissariats (n° 4) qui leur ont permis de s’enquérir des conditions des personnes arrêtées et déplorant le comportement d’autres (Tevragh-Zeina n° 3) qui leur ont refusé tout accès.
Ould Mini a indiqué dans son intervention que la Mauritanie passe par une période sans précèdent de débâcle morale, s’étonnant des grands déploiements policiers dans un espace vide (blocs rouges ) alors que la sécurité des citoyens et des édifices publics est fortement compromise, citant des informations selon lesquelles il y a des personnes armées qui menacent les jeunes manifestants sans que ce danger suscite de la part des forces de l’ordre la moindre réaction.
Les députés ont enfin souligné qu’ils sont unanimes pour accompagner les jeunes manifestants, en vue de les protéger contre les répressions musclées, ainsi qu’à visiter les jeunes interpellés pour assurer leur libération, indiquant que le pays vit actuellement une situation effroyable similaire à celle vécue ces derniers jours par des Etats arabes.
Source : Le Véridique (Mauritanie)
Les députés Ufp Moustapha Ould Bedreddine, Rfd Abderrahmane Ould Mini, Tawassoul Mohamed Mahmoud Ould Saleck en plus de l’App ont unanimes indiqué qu’ils ne permettront pas la répression des jeunes, soulignant qu’ils seront proches des manifestations pour suivre de prés l’évolution des événements, regrettant d’avoir constaté des traitements abusifs à l’endroit de certaines personnes arrêtées dont le refus de leur donner à boire, à manger ou à leur servir du thé.
Les députés de l’opposition avaient également évoqué leur visite effectuée aux commissariats de police où sont détenus les jeunes interpellés, saluant l’attitude de certains commissariats (n° 4) qui leur ont permis de s’enquérir des conditions des personnes arrêtées et déplorant le comportement d’autres (Tevragh-Zeina n° 3) qui leur ont refusé tout accès.
Ould Mini a indiqué dans son intervention que la Mauritanie passe par une période sans précèdent de débâcle morale, s’étonnant des grands déploiements policiers dans un espace vide (blocs rouges ) alors que la sécurité des citoyens et des édifices publics est fortement compromise, citant des informations selon lesquelles il y a des personnes armées qui menacent les jeunes manifestants sans que ce danger suscite de la part des forces de l’ordre la moindre réaction.
Les députés ont enfin souligné qu’ils sont unanimes pour accompagner les jeunes manifestants, en vue de les protéger contre les répressions musclées, ainsi qu’à visiter les jeunes interpellés pour assurer leur libération, indiquant que le pays vit actuellement une situation effroyable similaire à celle vécue ces derniers jours par des Etats arabes.
Source : Le Véridique (Mauritanie)
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