
Interprétant dans la khotba de la prière du vendredi d’aujourd’hui, les déclarations de l’astronome koweitien Saleh El Ajiri, fixant le dimanche 20 septembre courant, jour de l’Aid Del Fitr, l’Imam de la mosquée générale de la capitale Ahmedou Ould Lemrabott ould Habibou Rahman a dit qu’elles ne confirment en aucun cas l’observation du 1er Chewal (mois qui suit le Ramadan).
L’Imam a ajouté que la commission nationale d’observation du croissant lunaire est la seule habilitée à trancher sur ce sujet et qu’elle tiendra sa première réunion demain soir pour le suivi de la scrutation lunaire et pour informer l’opinion des résultats auxquels elle est parvenue de tous les coins du pays.
Dans ses propos, l’Imam de la mosquée saoudienne Ahmedou Ould Lemrabott ould Habibou Rahmane entend demander aux musulmans de se limiter aux méthodes classiques d’observation du croissant lunaire, à l’aide de l’œil nu, au lieu des recours aux prodiges de la science qui sont toujours faillibles.
Demain, samedi 19 septembre, le ciel donnera raison à l’astrologue ou à l’Imam, sans que l’un ou l’autre n’est totalement tort dans sa propre approche, car à l’heure actuelle, la science devient incontournable pour dresser certains fatwas qui dépassent l’entendement habituel des musulmans.
D’ailleurs, les émissions organisées par les médias officiels, animées de manière concomitante par des voughaha et des médecins montrent que chacun a besoin de l’avis de l’autre sur la problématique posée pour affiner ses réponses.
Source : Alakhbar.Info
L’Imam a ajouté que la commission nationale d’observation du croissant lunaire est la seule habilitée à trancher sur ce sujet et qu’elle tiendra sa première réunion demain soir pour le suivi de la scrutation lunaire et pour informer l’opinion des résultats auxquels elle est parvenue de tous les coins du pays.
Dans ses propos, l’Imam de la mosquée saoudienne Ahmedou Ould Lemrabott ould Habibou Rahmane entend demander aux musulmans de se limiter aux méthodes classiques d’observation du croissant lunaire, à l’aide de l’œil nu, au lieu des recours aux prodiges de la science qui sont toujours faillibles.
Demain, samedi 19 septembre, le ciel donnera raison à l’astrologue ou à l’Imam, sans que l’un ou l’autre n’est totalement tort dans sa propre approche, car à l’heure actuelle, la science devient incontournable pour dresser certains fatwas qui dépassent l’entendement habituel des musulmans.
D’ailleurs, les émissions organisées par les médias officiels, animées de manière concomitante par des voughaha et des médecins montrent que chacun a besoin de l’avis de l’autre sur la problématique posée pour affiner ses réponses.
Source : Alakhbar.Info