Les Maures blancs veulent des Morts noires en Mauritanie



Les Maures blancs veulent des Morts noires en Mauritanie
L'esclavage continue dans la République Islamique de Mauritanie, bien qu'il ait été aboli en 1981 !

La population de ce pays se divise en trois: 1) Les Maures blancs, qu'on appelle les Beydanes -2) Les Maures noirs appelés les Haratines -3) Les Négro-Mauritaniens qui sont des Halpoulars, des Soninkés ou des Wolofs. Les Maures blancs sont des arabo-berbères qui parlent l'arabe, le asanyiah, et qui ont toujours détenu le pouvoir par la force. Et, pourtant, ils ne représentent que 33% de la population, les Négro-Mauritaniens 33%, les Haratines 33%.

Les Haratines sont les descendants des esclaves noirs que les Beydanes avaient l'habitude d'aller capturer, comme des animaux, au cours d'incursions dans les régions Sud. Chaque famille Beydane a, en ce moment le 18 juillet 2002, sous sa tente, ses propres Haratines qui effectuent naturellement les tâches les plus pénibles. Ces haratines (esclaves) sont nourris avec les restes des Beydanes, habillés avec les vieux "costumes" des Beydanes. Quant aux enfants des Haratines, ils sont les esclaves des enfants Beydanes. L'islam, dans ce pays, interdit à tout esclave, sous peine de mort, de tenter de retrouver la liberté. Les rares esclaves, qui voulurent se libérer, durent gagner le Sénégal et les missions chrétiennes.

Les esclaves noirs Haratines, qui sont tous des noirs Africains, se prennent pour des Maures blancs. Ils ne parlent que la langue de leurs maîtres, ils s'appellent tous "Ould quelque chose" comme les Maures blancs, ils ont reconstitué, en fonction de leurs maîtres respectifs, les castes des Maures : il y a les Haratines marabouts, les Haratines guerriers, les Haratines forgerons, etc.. inconsciemment, ils ont l'impression que, s'ils quittent leurs maîtres, ils reviendront noirs Africains. Quel lavage de cerveau ? Ces esclaves, on le voit, ont toujours été "dressés" depuis des siècles dans le plus profond mépris des Africains. Dans les rues de la capitale, on repère facilement les esclaves. Ils sont noirs, mais eux, ils portent la fameuse grande robe de leurs maîtres, une robe bleue rapiécée, délavée, sans âge. Ils ont aussi, dans leur regard, la tristesse craintive et résignée des esclaves. 700 000 de nos frères noirs sont esclaves en plein coeur de l'Afrique, on parle de démocratie, de multipartisme, des droits de l'homme et, surtout, de l'O.N.U (Organisation des Nations Unies). L'ONU n'est qu'un coquille vide pour endormir les Africains.

Dans ce pays, chaque fois que les blancs Beydanes ont voulu "casser du nègre", ils se sont servis de leurs esclaves Haratines comme troupe de choc. On l'a encore vu lors du conflit sénégalo-mauritanien en 1989. Ce sont les esclaves Haratines qui ont massacré les noirs africains du sud, qui ont pillé les villages de la vallée au Sénégal. En fait, ces Haratines esclaves ont échangé leur liberté contre l'illusion qu'ils sont blancs. N'allez pas dire à un esclave Haratine qu'il est noir, il se prend pour un Maure blanc. Il préfère croire qu'il est un "Blanc" en esclavage plutôt que de s'apercevoir qu'il est un noir libre, même s'il est totalement négroïde. Les Beydanes ont lavé complètement leurs cerveaux, au nom de l'islam. C'est monstrueux.

Les Beydanes, esclavagistes, quittent leurs tentes et le désert pour s'agglutiner en ville, et leurs Haratines esclaves les suivent, comme des "animaux". Les esclaves Haratines, dont le cerveau a été complètement lavé, croient profondément à leurs maîtres Haratines qui bafouent les droits les plus élémentaires d'un individu. IL FAUT CASSER DEFINITIVEMENT L'ARCHITECTURE ET LE SYSTEME ORGANIQUE DE CETTE BARBARIE, car les esclaves n'ont aucun droit, leurs enfants ne sont pas admis à l'école. Plusieurs mouvements politiques, et notamment l'Union des Forces Démocratiques (U.F.D.) d'Ahmed Ould Daddah, ont toujours tenté de récupérer les voix des esclaves Haratines, en manipulant le mouvement " El-Hor". Mais son chef, Messoud Ould Boulkeïr, qui se donne parfois des allures de "Black Panter", a fini par trouver qu'Ould Daddah et les autres partis politiques lui parlent "Comme un maître n'oserait pas parler à son esclave". Alors, depuis, il attend et il espère visiblement qu'un jour que les esclavagistes s'intéresseront à ses "frères esclaves".

Réveillés, enfin libérés, ils pourraient représenter une force considérable dans leur propre pays. Mais, pour l'instant, il ne semble pas que les Beydanes racistes et esclavagistes soient favorables à leur émancipation. Dans les Ministères de Nouakchott, il y a un vrai problème Haratine. Depuis la soi-disant indépendance de ce pays, les esclaves Haratines accèdent difficilement à la fonction publique. Ils restent chez leurs maîtres et font les tâches les plus pénibles. Depuis toujours ces Beydanes ont vendu des enfants Haratines en Arabie Saoudite et au Kowët. Avec 500 000 ou 1000 000 de Fr CFA, on peut acquérir une jeune vierge ou un garçon de 10 ou 12 ans. Ce sont les prix à payer par certaines associations "Caritatives" islamistes financées par les pays du Golfe (Arabie Saoudite et Kowët) qui, en retour, fournissent de la chair fraîche pour LES HAREMS DE LEURS BIENFAITEURS.

Source: http://blaguesdepat.skyrock.com

Samedi 11 Juin 2011
Boolumbal Boolumbal
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