
La manifestation organisée le dimanche 16 avril 2017 à Nouakchott par une jeunesse victime de discriminations a été violemment réprimée par la soldatesque de Mohamed OULD Abdel AZIZ.
Vingt-six (26) jeunes ont été arrêtés, dix(10) d'entre eux ont été déférés et seront jugés le jeudi 20 avril 2017 à Nouakchott « en procédure de flagrant délit ». Une fois de plus, face à des revendications légitimes exprimées par des manifestants pacifiques qui ne demandent que la justice sociale, l’égalité et l’accès aux droits, comme tout citoyen normal, le régime ne trouve comme réponse que répressions, violences et arrestations.
apportent leur soutien à cette jeunesse consciente et engagée qui n’entend pas subir plus longtemps l’injustice;
tiennent le gouvernement entièrement responsable de tout préjudice physique et morale qui pourrait survenir pendant leur détention arbitraire ;
exigent leur libération immédiate et sans condition.
Les FLAM :
condamnent fermement la politique de répression et de violence du Système beydane, raciste et esclavagiste contre les protestations régulières des populations qui ne réclament que leurs droits sociaux;
continueront à œuvrer pour la destruction de ce système exclusionniste, raciste et esclavagiste.
Les Forces de libération africaines de Mauritanie (FLAM)
Département de la communication
Paris le 18 avril 2017
Vingt-six (26) jeunes ont été arrêtés, dix(10) d'entre eux ont été déférés et seront jugés le jeudi 20 avril 2017 à Nouakchott « en procédure de flagrant délit ». Une fois de plus, face à des revendications légitimes exprimées par des manifestants pacifiques qui ne demandent que la justice sociale, l’égalité et l’accès aux droits, comme tout citoyen normal, le régime ne trouve comme réponse que répressions, violences et arrestations.
apportent leur soutien à cette jeunesse consciente et engagée qui n’entend pas subir plus longtemps l’injustice;
tiennent le gouvernement entièrement responsable de tout préjudice physique et morale qui pourrait survenir pendant leur détention arbitraire ;
exigent leur libération immédiate et sans condition.
Les FLAM :
condamnent fermement la politique de répression et de violence du Système beydane, raciste et esclavagiste contre les protestations régulières des populations qui ne réclament que leurs droits sociaux;
continueront à œuvrer pour la destruction de ce système exclusionniste, raciste et esclavagiste.
Les Forces de libération africaines de Mauritanie (FLAM)
Département de la communication
Paris le 18 avril 2017