Le festival international Les Blues du fleuve a démarré le 24 décembre à Podor.
Programmée pour durer trois jours, cette manifestation culturelle a choisi pour thème la Culture et l’Education.
La cérémonie d’ouverture, très haute en couleurs – avec un spectacle de piroguiers sur le fleuve – a eu lieu sur le quai Boubou Sall, un endroit chargé d’histoire comme d’ailleurs la ville, elle même . Podor est une ancienne cité escale, une place forte dans le négoce à l’époque coloniale. Son fort, tricentenaire témoigne de son passé florissant.
La ville est cosmopolite. Plusieurs ethnies y cohabitent paisiblement. Les peuls, les maures, les wolofs, les bambaras…C’est tout ce réceptacle culturel qui abreuve « Les Blues du fleuve », un événement qui intéresse particulièrement le maire de la ville, Me Aissata Tall Sall qui lui accorde un intérêt particulier et compte s’investir profondément pour le développer davantage. L’invité d’honneur de cette année est Elhadji Mansour Mbaye, un griot légendaire, communicateur talentueux et connaisseur de l’histoire récente du Sénégal. Il a été très honoré par le producteur du festival, Elhadji Baaba Maal qui lui a remis le « Trophée de l’Excellence » offert à son groupe le Daandé Légnol par la CEDEAO, pour service rendue à la Culture. Dans la soirée, plusieurs artistes se sont succédés sur la scène de la quai. Le jeune Djiby Sall, le nostalgique Sidi Bailel Thiam, Demba Ndiaye Dillane et Baaba Maal. Une fois encore le fleuve a charrié très loin les voix de ces virtuoses à la rencontre de d’autres peuples et cultures en Mauritanie, au Mali et en Guinée. C’est là où réside tout le sens des « Blues du fleuve ».
Yero Amel Ndiaye
Source: Le divan
Programmée pour durer trois jours, cette manifestation culturelle a choisi pour thème la Culture et l’Education.
La cérémonie d’ouverture, très haute en couleurs – avec un spectacle de piroguiers sur le fleuve – a eu lieu sur le quai Boubou Sall, un endroit chargé d’histoire comme d’ailleurs la ville, elle même . Podor est une ancienne cité escale, une place forte dans le négoce à l’époque coloniale. Son fort, tricentenaire témoigne de son passé florissant.
La ville est cosmopolite. Plusieurs ethnies y cohabitent paisiblement. Les peuls, les maures, les wolofs, les bambaras…C’est tout ce réceptacle culturel qui abreuve « Les Blues du fleuve », un événement qui intéresse particulièrement le maire de la ville, Me Aissata Tall Sall qui lui accorde un intérêt particulier et compte s’investir profondément pour le développer davantage. L’invité d’honneur de cette année est Elhadji Mansour Mbaye, un griot légendaire, communicateur talentueux et connaisseur de l’histoire récente du Sénégal. Il a été très honoré par le producteur du festival, Elhadji Baaba Maal qui lui a remis le « Trophée de l’Excellence » offert à son groupe le Daandé Légnol par la CEDEAO, pour service rendue à la Culture. Dans la soirée, plusieurs artistes se sont succédés sur la scène de la quai. Le jeune Djiby Sall, le nostalgique Sidi Bailel Thiam, Demba Ndiaye Dillane et Baaba Maal. Une fois encore le fleuve a charrié très loin les voix de ces virtuoses à la rencontre de d’autres peuples et cultures en Mauritanie, au Mali et en Guinée. C’est là où réside tout le sens des « Blues du fleuve ».
Yero Amel Ndiaye
Source: Le divan
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