Les hommes politiques accusent l’armée de tous les mots d’oiseaux, ne lui trouvant que des défauts, alors que son parcours depuis ces dernières années a été des plus bénéfiques pour le pays dans sa marche vers la démocratie véritable.
C’est inadmissible que des leaders politiques adoptent une telle attitude ingrate, évitent de parler des grands sacrifices menés par l’institution militaire pour que la Mauritanie emboîte le pas aux nations modernes, libres et prospères.
A cette lignée de politiques qui refusent de regarder la vérité de face, préférant la dénaturer exagérément pour se frayer une place dans le cœur des citoyens, nous disons qu’il est temps de comprendre que c’est grâce à l’armée que le pays est devenu aujourd’hui, dans le monde arabe et africain, un modèle de multipartisme, de démocratie et d’unité entre ses différentes communautés.
Nous rappelons également à ces leaders politiques que c’est l’armée qui a libéré le pays de la mainmise du parti unique en 1978, en déposant Me Moktar Ould Daddah et son gouvernement dont certains membres sont actuellement des militants au sein de l’opposition, prétextant être des défenseurs de la démocratie.
Ces derniers sont ceux-là même qui ont incité le Père de la nation à entrer en guerre avec les sahraouis dans laquelle beaucoup de nos officiers et soldats ont laissé leur vie, dont personne n’a parlé depuis. Convenons-en, une seule formation politique ne peut point bâtir une démocratie.
Nos forces armées se sont elles aussi qui mettent leur vie en danger pour défendre la nation contre l’ennemi et assurer une réelle sécurité aux populations.
Pendant la guerre du Sahara, des attaques de Lemgheity, de Tourine, d’El Ghallaoui, ce sont nos officiers et nos soldats qui sont tombés sur le champ de la bataille pour empêcher toute infiltration de la menace terroriste vers les villes et les cantons.
Ces braves officiers et soldats sont morts l’arme à la main dans tout le désert du Sahara, à Ain Bin Tili, à Bir Moghrein, à Awesred, à El Argoub, à Tichla, Zouérate, Tourine, Mijik, Gleibatt Leglieya…etc. Nous reviendrons sur ces grands héros, pour savoir qui sont-ils, où sont-ils tombés dans un prochain article.
Tout proche de nous, en juin 2005, c’est aussi l’armée qui a sauvé le pays de la seconde tentative de mettre le pays à la solde du parti unique de l’époque qu’est l’ex Prds.
Cela s’est également reproduit le 6 août 2008, quand le président démocratiquement élu a commencé à tourner le dos à la majorité et à inscrire l’action de la République dans celle d’un groupe restreint d’hommes politiques opportunistes.
C’est donc cette modeste présentation qui peut être considérée comme un semblant de portrait de la vraie histoire de nos forces armées et de sécurité. Autant dire qu’il est temps pour les dirigeants de rendre à cette armée tous les honneurs et d’immortaliser ses martyrs. Nous l’avions dit, le répétons et continuerons à réclamer des hommages à notre vaillante armée.
Des carrefours, des grandes routes ou des quartiers devront porter les noms de nos martyrs. Il faut que les fils de ces officiers tombés sur le champ de bataille réalisent que leurs pères sont des héros, sont des icônes nationales, des symboles du patriotisme et du dévouement pour la cause du pays.
Comme nous l’avions déjà signifié, nous sommes toujours confiants dans l’actuel Président de la République Mohamed Ould Abdel Aziz, pour rétablir cette page glorieuse de l’histoire de nos forces armées et de sécurité.
Ceci est d’autant plus vrai si l’on sait que le Général Ould Abdel Aziz est un homme qui apprécie à sa juste valeur la grandeur de l’armée, qui est conscient que les officiers et les soldats de ce cher pays ont bien œuvré pour sa stabilité, sa sécurité et son développement.
Aux politiciens qui ne voient l’armée que de travers, qui pensent qu’il n y a eu jamais de guerre, nous leur rappelons qu’il y a eu bel et bien la guerre du Sahara, de laquelle la Mauritanie est sortie gagnante pour commencer une nouvelle ère de titubation politique, dont les premiers signes prometteurs se profilent désormais à l’horizon, avec l’arrivée au pouvoir du Président de la République Mohamed Ould Abdel Aziz.
Mohamed Salem Ould Haiba
C’est inadmissible que des leaders politiques adoptent une telle attitude ingrate, évitent de parler des grands sacrifices menés par l’institution militaire pour que la Mauritanie emboîte le pas aux nations modernes, libres et prospères.
A cette lignée de politiques qui refusent de regarder la vérité de face, préférant la dénaturer exagérément pour se frayer une place dans le cœur des citoyens, nous disons qu’il est temps de comprendre que c’est grâce à l’armée que le pays est devenu aujourd’hui, dans le monde arabe et africain, un modèle de multipartisme, de démocratie et d’unité entre ses différentes communautés.
Nous rappelons également à ces leaders politiques que c’est l’armée qui a libéré le pays de la mainmise du parti unique en 1978, en déposant Me Moktar Ould Daddah et son gouvernement dont certains membres sont actuellement des militants au sein de l’opposition, prétextant être des défenseurs de la démocratie.
Ces derniers sont ceux-là même qui ont incité le Père de la nation à entrer en guerre avec les sahraouis dans laquelle beaucoup de nos officiers et soldats ont laissé leur vie, dont personne n’a parlé depuis. Convenons-en, une seule formation politique ne peut point bâtir une démocratie.
Nos forces armées se sont elles aussi qui mettent leur vie en danger pour défendre la nation contre l’ennemi et assurer une réelle sécurité aux populations.
Pendant la guerre du Sahara, des attaques de Lemgheity, de Tourine, d’El Ghallaoui, ce sont nos officiers et nos soldats qui sont tombés sur le champ de la bataille pour empêcher toute infiltration de la menace terroriste vers les villes et les cantons.
Ces braves officiers et soldats sont morts l’arme à la main dans tout le désert du Sahara, à Ain Bin Tili, à Bir Moghrein, à Awesred, à El Argoub, à Tichla, Zouérate, Tourine, Mijik, Gleibatt Leglieya…etc. Nous reviendrons sur ces grands héros, pour savoir qui sont-ils, où sont-ils tombés dans un prochain article.
Tout proche de nous, en juin 2005, c’est aussi l’armée qui a sauvé le pays de la seconde tentative de mettre le pays à la solde du parti unique de l’époque qu’est l’ex Prds.
Cela s’est également reproduit le 6 août 2008, quand le président démocratiquement élu a commencé à tourner le dos à la majorité et à inscrire l’action de la République dans celle d’un groupe restreint d’hommes politiques opportunistes.
C’est donc cette modeste présentation qui peut être considérée comme un semblant de portrait de la vraie histoire de nos forces armées et de sécurité. Autant dire qu’il est temps pour les dirigeants de rendre à cette armée tous les honneurs et d’immortaliser ses martyrs. Nous l’avions dit, le répétons et continuerons à réclamer des hommages à notre vaillante armée.
Des carrefours, des grandes routes ou des quartiers devront porter les noms de nos martyrs. Il faut que les fils de ces officiers tombés sur le champ de bataille réalisent que leurs pères sont des héros, sont des icônes nationales, des symboles du patriotisme et du dévouement pour la cause du pays.
Comme nous l’avions déjà signifié, nous sommes toujours confiants dans l’actuel Président de la République Mohamed Ould Abdel Aziz, pour rétablir cette page glorieuse de l’histoire de nos forces armées et de sécurité.
Ceci est d’autant plus vrai si l’on sait que le Général Ould Abdel Aziz est un homme qui apprécie à sa juste valeur la grandeur de l’armée, qui est conscient que les officiers et les soldats de ce cher pays ont bien œuvré pour sa stabilité, sa sécurité et son développement.
Aux politiciens qui ne voient l’armée que de travers, qui pensent qu’il n y a eu jamais de guerre, nous leur rappelons qu’il y a eu bel et bien la guerre du Sahara, de laquelle la Mauritanie est sortie gagnante pour commencer une nouvelle ère de titubation politique, dont les premiers signes prometteurs se profilent désormais à l’horizon, avec l’arrivée au pouvoir du Président de la République Mohamed Ould Abdel Aziz.
Mohamed Salem Ould Haiba
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