Le parti Hatem a dénoncé le recours des autorités à ce qu’il a qualifié de "militarisation des établissements d’enseignement et sa propension à faire face aux revendications professionnelles et populaires par des répressions policières qui risquent, à la longue, d’aggraver la crise ou lieu de la résoudre".
Dans un communiqué dont Sahara média a reçu une copie, le parti Hatem dit refusé catégoriquement "toutes sortes de violences contre les manifestants" sa dénonciation de l’entrée des forces de l’ordre dans l’enceinte universitaire.
Il a appelle ainsi les autorités à libérer sans tarder les étudiants arrêtés et à "faire évacuer les lieux de toutes présences policières" et à travailler plutôt pour le règlement de la crise de l’Institut supérieur des études et recherches islamiques (ISERI) en recourant à la négociation avec les étudiants".
Source : Sahara Medias (Mauritanie)
Dans un communiqué dont Sahara média a reçu une copie, le parti Hatem dit refusé catégoriquement "toutes sortes de violences contre les manifestants" sa dénonciation de l’entrée des forces de l’ordre dans l’enceinte universitaire.
Il a appelle ainsi les autorités à libérer sans tarder les étudiants arrêtés et à "faire évacuer les lieux de toutes présences policières" et à travailler plutôt pour le règlement de la crise de l’Institut supérieur des études et recherches islamiques (ISERI) en recourant à la négociation avec les étudiants".
Source : Sahara Medias (Mauritanie)
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