Il considère également qu'il en sera le favori, même si plusieurs dissidents ont annoncé leur candidature ou devraient le faire d'ici l'élection. "J'étais le seul à poser des problèmes à (Zine) Ben Ali", président déchu de la Tunisie, a-t-il dit. "Je serai le premier président de la Tunisie révolutionnaire, je serai le président le plus moderne et le plus démocratique du monde arabe", a-t-il ajouté.
Ben Brik a passé six mois en prison entre novembre 2009 et avril 2010 pour faits de violence. Une femme l'avait accusé d'agression, d'atteinte aux bonnes mœurs et de dégradation de biens. Ses partisans avaient évoqué une affaire montée de toutes pièces en raison de ses articles critiques du régime. Il est exilé en France depuis sa libération, en avril dernier, et collabore à plusieurs médias français.
"RÉVOLUTION TRAHIE" DU PEUPLE TUNISIEN
Dans une chronique publiée lundi sur le site Internet Slate, M. Ben Brik dénonce la "révolution trahie" du peuple tunisien : "Il est vrai qu'on s'est débarrassé de Ben Ali, mais son legs est toujours resplendissant. On a coupé la tête, mais le canard court toujours, vif. Le système bâti minutieusement par le général des services de renseignement, Ben Ali, perdure à travers ses PPP. Pègre, Parti, Police."
Comme le peuple tunisien et d'autres opposants politiques, il réclame aujourd'hui le départ du gouvernement des membres du Rassemblement constitutionnel démocratique (RCD), le parti jadis tout puissant du président déchu.
le monde
Ben Brik a passé six mois en prison entre novembre 2009 et avril 2010 pour faits de violence. Une femme l'avait accusé d'agression, d'atteinte aux bonnes mœurs et de dégradation de biens. Ses partisans avaient évoqué une affaire montée de toutes pièces en raison de ses articles critiques du régime. Il est exilé en France depuis sa libération, en avril dernier, et collabore à plusieurs médias français.
"RÉVOLUTION TRAHIE" DU PEUPLE TUNISIEN
Dans une chronique publiée lundi sur le site Internet Slate, M. Ben Brik dénonce la "révolution trahie" du peuple tunisien : "Il est vrai qu'on s'est débarrassé de Ben Ali, mais son legs est toujours resplendissant. On a coupé la tête, mais le canard court toujours, vif. Le système bâti minutieusement par le général des services de renseignement, Ben Ali, perdure à travers ses PPP. Pègre, Parti, Police."
Comme le peuple tunisien et d'autres opposants politiques, il réclame aujourd'hui le départ du gouvernement des membres du Rassemblement constitutionnel démocratique (RCD), le parti jadis tout puissant du président déchu.
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